*bruit de tonnerre* ORIL CONTRE CUIAN !!!!!!!!!!!!

Immense, circulaire et sablonneuse en surface. Les gradins de bois entourant le terrain était plein à craquer de la masse humaine venue assister à ce combat titanesque.

Cuian contre Oril

Romput aux arts martiales Aline, s'entrainant depuis l'âge tendre, il avait laissé ses sentiments et émotions de côté pour un art mortel qu'il avait rarement appliqué. La puissance éxaltait de son corps jeune, et une aura de mystère impénatrable émanait de sa personne. Manieur émérite de la faux, il pourrait put être qualifié de bras droit de la Mort s'il était devenue un tueur.

Oril contre Cuian

Aussi cruel que fourbe, ce seigneur noir du Chao était habité pour une seconde personalité au nom de Toraup. Meurtrier dans l'âme, il semait la mort et la souffrance autant par plaisir que par devoir. Ses envoleurs classé n°1 dans l'élite témoignaient de sa puissance et de sa finesse. Cette homme était la mort. Ou du moins son plus fidèle représentant humain. Aussi inhumain qu'il était; combien d'âme trouvèrent le repos éternelle sous la lame? Personnellement j'ai arrêté de compter.



La foule trépignait d'impatience, les discussions allaient de bon train. Les parieurs étalaient leurs manche, leur mise au creux de la main. Auncun favoris n'était désigné, même si la cruauté d'Oril faisait légèrement pencher la balance de son côté; mais une chose serait sur dans ce match serré, c'est qu'aucun des deux ne sortirais dans l'arêne en entier.
De chaque éxtremités les portes s'ouvrirent; un roulement de tambour stoppa la foule en délire; le murmure du vent ammena avec lui un silence de mort, que les crissements des grilles s'abattant sur le sol brisa comme de la glace.

*********

D'un geste lent et monotone, sa cape balayait tristement le sol. Faux à la main, l'autre sabre au clair; son regard se perdait dans les méandres haineux des émeraudes d'Oril. D'un geste gracieux il retira sa coiffe, offrant à son adversaire la vue de ses yeux, si rare...

L'Aline face à un seigneur du Chaos
Le tueur passionné et l'ancien paysans
Faucheur des villes, Faucheur des champs

D'un commun accord ou par pur hasard, les deux être s'élancèrent, prêt au combat.

Un endroit sombre, humide. Une salle d’attente. Non, c’était bien plus que cela. Il s’agissait de la salle dans laquelle les combattants se préparer avant d’entrer dans l’arène. L’arène, grand, majestueuse. Elle a sans doute vus coulé autant de sang qu’Oril. Oril, justement, était adossé à la paroi de pierre grise de la salle d’attente. Sa tête tombant, sur sa poitrine. Ces yeux clos. Les bras croisaient sur sont torse. On pourrait croire qu’il attendait, voir même, qu’il se concentrait. Il en était rien. Ainsi adosser, Oril ressentait les vibrations, provoquaient par les milliers de spectateurs entassé dans les tribunes. C’est vibrations, semblables à un battement de cœur. Le cœur, celui d’Oril était calme. Il battait à grand coup, régulièrement et lentement. Après tout, le combat n’avait pas encore commencé. Oril, fort de sont âge avancer, avait l’habitude des combats, des mises à mort. Sont adversaire, un aline rompus aux combat et de surcroit un dessinateur, n’avait qu’à bien se tenir. Cuian, c’était ainsi, que sa future proie s’appelait. Il n’en avait que faire. Oril ne retenait jamais les noms de ces victimes. Trop nombreuses. Tandis que le commentateur, annoncer l’entrée en piste des deux combattant, Oril, après avoir poussait un dernier soupir, se mit face à la porte. Grand, massif. Elles représenter l’entrée des artistes. Pour certains, leur dernière entrée. Oril se mis donc face à la porte, il décroisa les bras et mis chacune de ces mains sur les hanches. Une position d’attente indigne d’un combattant. Surtout que d’après les rumeurs, sont adversaire n’était pas un combattant ordinaire. Non, il était bien plus. Il était un valeureux guerrier. Un grondement sourd se fit entendre des gradins. Les portes s’ouvraient, dans un craquement puissant, un grondement sourd, qui annonçait se que tous était venus cherchaient. Un combat, non bien plus que cela, un spectacle. Et si c’est se qu’il voulait, ils seront servis. Les portes finirent de s’ouvrir, révélant à Oril, un spectacle éblouissant que peut d’homme avait eut la chance de voir. Le soleil, était au dans le ciel et éclairait de ces rayons le sable de l’arène. Cette arène qui toise de toute sa taille les deux combattants. Se moquant éperdument du résultat. Les deux combattants, face à face, chacun séparé de l’autre et du sable de l’arène par une grille. La foule, hurle, rit encourage rabaisse les combattant. Les paris viennent de se clore. Au même instant, les grille tombe, dans un grincement métallique annonçant le début du spectacle. La ferveur des spectateurs redouble d’intensité. Chacun encourageant sont combattant. Oril s’avança, lentement, appréciant de sortir enfin de la salle d’attente. Il avance vers sont adversaire, telle un prédateur. Ces yeux, envoyant à l’ennemi, là seul indication qui intéresse se dernier. Oui, Oril le hait, oui, Oril veut sa mort. Pourquoi ? A-t-on besoin d’avoir un prétexte, lorsque l’on se trouve être le fil de la mort ? Tandis que les adversaires se rapprochent lentement, chacun sait que le combat est sur le point de débuter. Tout d’un coup, en moins d’une fraction de secondes, les adversaires passent du statue d’immobile, à celui de rapidité absolue. Oril, court a présent vers sont adversaire, sabre en main. Mais comment sont sabre qui était à sa taille, a bien pus se retrouver dans ces mains? Voilà là question que les spectateur se pose. Rapide, précis. Oril devait sa réputation, à sont talent inouï pour l’art du combat. Un talent, que pour une fois n’est pas coutume, n’eut que peut d’effet sur sont adversaire. Cela promettait un combat magique. Tandis que les lames se rencontraient pour la première fois, sous les vivats de la foule, Oril souriait. Il était ravi, enfin, un combattant digne de se nom, s’offrait à lui pour une lutte sans merci…

Le premier croisement des deux lames résonna tel le tintement du cristale, provoquant une ovation du publique, face à ce premier échange. Entre les deux combattants, c'était devenue un concours de force, visant à faire crouler l'autre sous la pression de sa lame. Malgré le fait qu'il tenait son sabre par la garde, alors que lui Tenait le manche de la main droite, et soutenait sa lame de la gauche, Cuian n'arrivait pas à faire plie,r ne serais-ce que d'une once, Oril. Même si celui-ci était dans la même impasse, sa position désaventageuse par rapport à celle de Cuian, indiquait clairement que le rapport de force entre les deux était remarquable, résultant de la différence d'âge, de pratique et d'éxperience entre les deux guerriers.
Sous l'impulsion de leurs maitres, la faux et le sabre, se séparèrent brusquement, pour revenir à la charge, porté par ces mains agiles et vivaces qui faisaient décrire aux armes de fine courbes parfaites, et des entrechocs violent, au milieu desquels de multitude gerbes d'étincelles venaient voleter dans l'atmosphère poussiéreuse, avant de s'éteindre doucement sur le tapis de sable.
Les spectateurs quand à eux de par leurs positions, ne voyaient qu'une unique lueur rougeâtre, semblable à un feu follet géant aux gracieuses virvoltes, s'agitant frénetiquement autours de la danse des lames.

L'escrime son adversaire en était maitre, au point de mettre Cuian en péril, comme le témoignaient d'ailleurs les multiples déchirures de ses habits, d'où perlait la sueur et son fluide vitale rouge vif. L'imposant volume que représentait sa faux était un désavantage car sa tactique portait sur de puissant coup difficilement parable; mais même en combat plus rapproché, il était apte à répondre violemment, usant de l'angle de la lame et du bâton pour attaquer l'adversaire sur deux fronts.
Repoussant un piqué d'Oril, il fit faire à son arme un tour complet rapide, balayant du bâton son flanc droit, profitant du fait que sa garde fut brisé amoindris à cet endroit.
Cherchant à profiter de la situation, Cuian plongea sa faux en direction de la cage thoracique, quand subitement, Oril se fondit sur le côté, se faisant simplement éffleurer la poitrine par la lame acerée, alors que la sienne fouetta l'air en une fraction de seconde, obligeant Cuian à se jetter sur le côté, échappant de peu de se faire trancher la tête, tandis qu'une longue éstafilade brulante barrait sa joue désormais.
Même en adittionnant tout cela, ses pertes de sens étaient éxtrenements minimes, bien que désagréable. Mais cela clarifiait les difficultés de Cuian dans une pareille situation face à Oril. Il fallait que leurs positions s'échangent ; il fallait faire entrer Oril dans son jeu et l'abattre...
Se relevant lestement, il recula rapidement d'une bonne dizaine de pas, et à la surprise générale, il prit sa faux à deux mains par le manche, et l'envoya de toute ses forces vers les cieux. Emporté par un vent minutieusement dessiné pour n'affecter que l'arme, son ascencion dura si longtemps qu'elle disparut aux yeux du publique.. et d'Oril. Son adversaire étant un mercenaire du Chao en puissance, le lancer de sa faux n'était qu'une maigre diversion futile, mais suffisante au début pour que Cuian tire ses dagues, et qu'un second courant tempête l'emporte jusqu'au côté d'Oril, sur lequel il bondit dague brandie, lui marquant le bras d'une croix de belle envergure, avant qu'il ne réorganise sa garde face au nouvel assaut de Cuian.

Mais pendant que l'échange reprennait avec encore plus de hargne et de violence, la faux, elle, avait atteint dans une série de rotation la paroxysme de la hauter voulut par le dessinateur. Le dessin concernant également la chute, la lame adressa un sourire carnassier et figé à l'astre solaire, avant de replonger en tourbillonant vers la masse terrestre.
En bas, l'agilité procuré par ses dagues permettait à Cuian d'opposer une alternance éfficace entre défense et attaque contre Oril. Soudain, des éxclamations de surprise surgissaient de part et d'autre dans l'assemblé alors qu'ils pointaient du doigt le cel, tandis que le sinistre sifflement de mort vibrait dans les tympans. Malgré les déplacements constants des deux guerriers, Cuian savait que sa faux se calquait sur ceux d'Oril; en effet, le phase finale de son dessin était ancré sur son corps. Et tant que la faux était à bonne distance, le fluide le suivrait dans ses moindres déplacements; et la vitesse de chute combiné à celle du vent, lui assurait une chance supplémentaire d'atteindre la cible.

A une quinzaine de metres du sol, Cuian fit un bond en arrière, échappant au champs d'action de son arme, qui venait de s'abbatre en piqué droit devant lui, dans un épais nuage de poussière, ruisselant de multiple hypothèses...

[Je l'ai fais entre 22h et 23h, j'ai école demain matin, mais purée au moins je l'ai fais. (parfois faut que j'arrête avec les vers aussi..) ]

WAOOOH ! Queel super rp !
J'attends la suite du combat avec impatience... Tu t'es surpassé Cuian !

[héhé^^ merci Thowind, sa fait toujours plaisir ]

Premier tintement des lames. Premier sourire. Première note d’une symphonie que les deux combattants vont écrire et jouaient sous les yeux médusé des spectateurs. Premier tintement, première note, mais surtout, premier test. Un test de force. Oril, fort de sont expérience, avait envoyé un coup, tenant sa lame du manche, négligemment, comme si sont adversaire n’en valait pas la peine. Se fût une grave erreur. Sont adversaire était fort, très fort. Il avait réussi à stoppait la lame d’Oril, et maintenant, se débrouillait fort bien durant cette épreuve, devant se prélude au combat qu’était cette épreuve de force.
Comme d’un accord commun, les deux hommes rompirent la lutte. Sabre et faux partir en arrièrent, dans une grâce majestueuse et lentement, revinrent l’une vers l’autre pour se retrouvaient. Un tintement, une joie, celle du combat. Pour qui sait écouter, les lames, émettaient de joyeuses notes. Des notes synonyme de vie, des notes tantôt lente, tantôt rapide. Des notes que les deux guerriers se plaisaient à produire avec leur merveilleux instrument. Instrument de mort par excellence. La symphonie qui résultait de ces quelques coups, fit frémir le public. Le frisson gagna en intensité, lorsque les deux combattants, haussaient le rythme, proposant aux spectateurs, un véritable spectacle avec sons et lumières. En effet, depuis quelques passes, les lames des deux combattants se percutaient avec force, une force sauvage, éblouissante qui ajoutait une note totalement féérique à se grandiose spectacle.
Tandis que les spectateurs appréciaient comme il se doit le splendide combat proposait, en bas, dans l’arène, dans les coulisses du spectacle, les combattants préparaient leur plus magnifique coup. Un coup de taille, se transformant en moins d’une seconde en un revers diriger vers la carotide, un fléchissement des genoux, un pivotement des hanches et une lame de faux qui vient arrêter le revers du sabre. Un spectacle, une œuvre, non, tout simplement une osmose parfaite de deux redoutables guerriers.
Le combat était magnifique, les guerriers de valeur égal. Non, les guerriers étaient loin d’être de valeur égal. Tandis que Cuian éprouvait tout les difficultés du monde à ne pas mourir sous les coups d’estoc d’Oril, se dernier semblait bien plus à l’aise dans se combat rapprocher. Soudainement, la foule retint sont souffle, Oril avait placé un coup imparable. Un coup imparable pour le commun des mortels. Hors Cuian ne faisait pas partit de ces derniers. Il réussit à esquivait tant bien que mal le coup mortel et s’en sortit avec une simple estafilade sur la joue. Le public qui voyait en cette passe, la fin du jeune Cuian, fut des plus surprise lorsque se derniers rompit le combat rapprochait pour se placé à une dizaine de mètres de sont adversaire afin d’envoyait sa faux dans les cieux. Surpris par cette ruse des plus grossière, Oril ne vis qu’au dernier moment, sont adversaire sortir des dagues et foncé littéralement sur lui, sans doute à l’aide d’un dessin. Oril ne pu parer le coup. Jurant contre sont adversaire, le combat repris de plus bel. Cuian débarrassait de sont encombrante faux, pu utiliser toute l’agilité dont il faisait preuve. Cependant, Oril était un guerrier accompli et de surcroit, un chasseur de marchombre. Le combat fût certes moins tourné à l’avantage d’Oril, mais Cuian, peinait toujours énormément quand à trouvait une brèche dans la défense de sont adversaire. Tandis que le combat battait sont plein, soudainement, Cuian recula précipitamment. Oril fit tout de suite le rapprochement dans sa tête. La faux ! A peine eut il le temps d’y repensait, que cette dernière s’abattis avec force projetant un nuage de poussière impressionnant. Lorsque se dernier retomba, les spectateurs tout comme Cuian purent enfin apercevoir Oril. Il était face à Cuian, un genou à terre, sont sabre planté dans le sable de l’arène, les paumes de ces mains sur la garde. Il lança un regard moqueur à Cuian tandis que les spectateurs se trouvant dans le dos d’Oril pouvait voir que la faux, planté dans le sable, derrière Oril avait déchirait les vêtements de se dernier et avait tracé une longue ligne rouge sang dans tout sont dos. Un mini mètre ! La victoire aurait pu appartenir à Cuian pour un mini mètre ! Soudainement, un hurlement roque résonna dans l’arène. Faisant taire tout les spectateurs. Une onde glaciale, parcourrait le stade et vint se plantait dans le cœur de Cuian, au moment ou se dernier regarda de nouveau dans les yeux d’Oril. Justement, ces yeux n’étaient plus ceux d’Oril, mais ceux de monstre assoiffait de sang qui lança un regard digne des plus grand prédateur à Cuian. Alors que tout était immobile, Toraup se retourna subitement et attrapa le manche de la faux de Cuian. Il le casse afin de raccourcir considérablement se dernier. Puis, il lança la faux vers sont destinataire. Se derniers dévia la faux d’une puissante rafale de vent. Pendant se temps, Toraup avait bondit telle un animal sauvage sur Cuian. Abandonnant sont sabre sur le sable de l’arène pour utiliser deux magnifique dague dissimulaient dans ces bottes. Le combat reprit avec une violence hors du commun. A chaque choque des lames, les bras de Cuian vibraient avec force. Le tintement n’était plus emprunt de mélodie, mais ressemblé plus à des cris perçant. Des cris monstrueux synonymes de mort prochaine. Pendant se temps, la faux repoussait par Cuian, et qui grâce à Oril ressemblait d’avantage à un boomerang maintenant, commença à faire demi tour. Toraup le savait, cela faisait partit de sont plan. Il se plaça délibérément entre Cuian et la faux interdisant ainsi à Cuian, l’usage de sont dont du dessin. A la dernière seconde, Toraup se baissa tout en projetant un coup de dague dans le bas ventre de Cuian. Tandis que la faux n’était plus qu’à quelques centimètres de sont visage.
Un sourire cruel barrait le visage de Toraup…

[ Désolé du retard mon cher Cuian et pis en plus, j'ai eu beaucoup de mal, j'étais très peu inspiré^^]

Depuis nombreuses années, il avait arpenté les chemins les plus sombres et les plus dangereux. Des créatures des plus redoutables avaient montrés leurs crocs face à lui. Et pourtant, il s'en était toujours sorti vivant, dans les crix d'agonie bestiaux que lui offraient son adversaire. Parmis ses escarmouches, se trouvaient deux goules qu'il avait liquidé par hasard avec le manche en bois de sa faux, et plusieurs fois il avait échappé à la charge dévastatrice d'un bruleur affamé.
Alors aujourd'hui, au milieu du sable serpenté de sang, ce ne serait pas Toraup, un monstre sanguinaire aussi unique qu'il est, qui mettra Cuian à terre une bonne fois pour toute ! Dans l'arêne, pour le dessinateur, la scène semblait se passer au ralentit:
Dagues brandits en position défensive, celle de Toraup plongea dans son ventre, alors que sa faux, retourné contre lui, décrivait les deux dernières rotations avant que le tranchant ne le fauche au niveau de la poitrine Depuis le début du combat, il sentait son coeur battre à tout rompre.
Premier battement...
Faisant fit de l'arme qui éffleurait déjà ses vêtements, il plongea dans l'Imagination et dessina.
Second battement...
La lame pénetra au quart dans son ventre, mordant sa chair et déchirant ses nerfs, alors qu'il deversait son dessin dans la réalité. La faux entammait sa dernière rotation.
Troisième battement...
Ses pieds s'arrachèrent à l'atraction terrestre, la dague ressortie de son ventre recouverte de sang, et un bond surnaturelle, il laissa son dessin le souffler à l'autre bout de l'arêne, à une vitesse si ahurissante, que l'on croirait qu'il avait fait un Pas sur le côté. Cuian cessa de se focaliser sur la scène, et le temps retrouva un "cours" normale. Le public époustouflé, envoya une gigantesque ovation en son honneur, tapant des mains et des pieds pour saluer sa sortie magistrale. La faux quand à elle émettait toujours ses sifflements, mais le mouvement monotome était faiblissant, alors dans une dernière courbe lente, elle acheva sa course déchirante, balayant le sable, comme par repantement. Avec quelques plantes curatives et un bandages, Cuian entreprit alors de soigné ses nombreuses plaits, remarquant au passage que la dernière faite au ventre etait forte heureusement béguine.
Da l'autre cpoté de l'arêne, Toraup lui faisait face, son regard meurtrier lançant des éclairs, mais il n'entreprenait rien, profitant de ce moment unique où le repos leur était accordé. Assit au sol, Cuian se remémorait rapidement la suite de sa stratégie, et les différentes étapes qui la composaient. Fouillant alors dans son sac, il en sortie sa collection entière de couteau de chasse, de boucherie, et d'artisanat, en choisit dix qui lui semblait correcte, et rangea les autres. Puis, après un rapide passage dans l'Imagination, il envoya en direction de son adversaire. Pour une telle distance, réussir à faire traverser un projectile lancer était impossible; mais ses lames étaient imprégnés de dessin, et il avait relié chacune d'elle à un de ses doigts, pour influencer la direction à prendre. Les armes volèrent littéralement, et Cuian leur fit prendre un angle d'attaque plus ou moins différend, pour taillader Toraup sur plusieurs front, comptant sur le nombre de lames pour qu'il ne puisse pas tous les parer ou esquiver. C'était un paris risqué, vue l'experience et l'agilité de son adversaire.
Mais faire de telles attaques à distance, ou détourné n'était pas sans but. En voulant l'affaiblir ainsi, il comptait ensuite porter un coup fatal, que l'autre aurait du mal à esquiver. Ramenant à lui sa faux, il s'entoura alors d'un mur de vent protecteur, qui soufflait si fort que même Toraup ne pourrait franchir. Il constata qu'au mieu, il pourrait le faire tenir cinq minutes sans lui imprégner d'avantage de volonté. Il échangea alors un dernier regard avec son adversaire, qui se tenait debout loin de lui, et ferma les yeux, pour créer le dessin censer lui permettre de gagner.

[pas aussi long que le tien^^, mais là j'ai moins d'action à raconter aussi. à mon prochain poste, j'éspère faire mieu^^]

Le sourit qui il y avait encore quelques secondes barrait le visage de Toraup, disparu rapidement. Sont adversaire avait réussi l’impossible. Il avait réussi à dessiné dans un temps record. Il avait esquivé la faux. Toraup se retourna vers l’endroit ou c’était réfugier sont adversaire. Contrairement à sont habitude, Toraup ne fonça pas sur sont adversaire. Après avoir jeté un rapide regard à ces dagues, Toraup se permit un immense sourire. Sont adversaire n’avait pas réussi à totalement esquivé sont attaque. Certes, la faux qui devait le tuer, avait échoué, mais sont poignard, l’avait touché. Sa chair avait était mordu par la lame d’acier de sa dague. Ces dagues, qui brillaient d’une lueur étrange, ces dagues que Toraup aimait imprégner de poison paralysant. Sont adversaire était fait, cinq minutes, dix tout au plus. Voilà le temps qu’il restait à sont adversaire avant de se retrouvait paralyser. Toraup sourit, tandis que sont adversaire se soigner. Il lui suffisait d’attendre, mais Toraup n’était pas de se genre de personne qui se défile en attendant la fin. Non, Toraup devait, voulait tuer de ces mains cet incroyable adversaire. Tandis que se dernier se préparait à repartir à l’attaque, Toraup, sentant un danger immense planer sur lui, décida de sortir les grand moyen. Il sortit de sont serre poignets, un jolie collier, un collier au bout du quel, se trouver une sphère graph. Elle l’aiderait à contré les pouvoirs dévastateur de dessinateur que possédaient sont adversaire. Il enleva aussi les lacets de ces chaussures. Ces lacets, étaient en fait bien plus que sa. Un cadeau de l’un des seigneurs du chaos. Un dessin, éternel. Deux files, pouvant s’allonger ou se réduire à volonté, deux fils, plus résistant que de l’acier. Il attacha à chacune des extrémités de ces files, une de ces dagues empoisonnées. Apparemment, la suite du combat serait un combat à distance. Un sourire n’acquit sur les lèvres de Toraup. Sont adversaire était encore loin d’imaginer se qu’il allait devoir subir. Enfin, si il était assez chanceux, il pourra peut être tenir les 5 ou 10 minutes qu’il lui reste avant que le poison le paralyse.

Tandis que Toraup commencer à s’avançait vers sont adversaire, sa sphère graph le chauffa, indiquant que sont adversaire utiliser l’art du dessin. Toraup commença à faire tourné au dessus de sa tête, ces dagues, maintenant attachait à ces files indestructibles. Le dénouement de se magnifique combat approché…

Le mur de vent s'évanouis, laissant retomber le sable qui avait été emporté dans le mouvement frénétique et puissant. Cuian s'extirpa de sa position en lotus, et se campa fierement sur ses jambes, paumes refermés, en position de combat à main nue. Oril de son côté avait sortie une nouvelle carte; il avait attaché ses dagues aux extremités d'un de ses lacets de chaussure. Et vue la longueur qu'il avait maintenant, le dessinateur se doutait bien qu'il n'avait pas atteind sa longueur maximale. En ressentant les émanations spécifique qu'il dégageait, Cuian compris que ce lacet était un dessin éternelle... et interdit .
Subitement, une faiblesse se fit sentir au niveau du ventre; ses jambes se fléchirent, mais il réussi à rester debout. Que diable lui avait-il injecté comme poison ? Mais l'heure était grave, et il fallait faire vite ! Saisissant alors une dague, il rouvrit la plaie, pour pratiquer ainsi une saigné, sous le regard narquois de son adversaire, et médusé du publique, en le voyant se mutiler ainsi. Puis il plaça rapidement un cataplasme de diverse plante curative, et renoua rapidement un nouveau bandage.
Trop concentré, il ne remarqua pas qu'Oril venait de bouger, et c'est de justesse qu'il esquiva la dague et son attache, qui lui frolèrent la poitrine alors qu'il se glissait sur le côté. Vif comme l'éclair, il répondit en frappant la corde de sa lame; seul une note clair et stridente répondit à son acte vain. La lien était indestructible. Et comme s'il maniait un fouet, le mercenaire fit claquer la corde dans le vide, entrainant dans le mouvement la dague empoisonné, qui fusa une nouvelle fois vers lui.
Cette fois, il répondit par une bourrasque, contre laquelle l'assaut se brisa. Il envoya alors une série d'étoiles de jet sur Oril, se rapprochant en même temps de lui.
Sans dague, sans faux, sans arme en main, juste ses poings,, Cuian bondit vers son adversaire, pointa Oril de sa paume droite, et libéra le premier dessin...

[Petite précision, tenir 3 dessin en même temps est assez fatiguant, surtout que deux sont de très haut niveau. Les dessins dans ma paume sont des vents forts et concentrés, agissant sur une surface limité, et pouvant déraciné et abattre un chêne ayant survécue à quinze hivers]