NOM Luume, le nom de sa mère
PRENOM Elandili en faël simplifié en Elendil pour la langue des humains
SURNOM AGE 17
SEXE masculin
RACE demi-faël
GUILDE aucune pour l’instant
CARACTERE Le demi-faël est en parfaite harmonie avec lui-même, il cache pourtant une blessure intérieure en bonne voie de cicatrisation. Plutôt sauvage, farouche et indiscipliné, il est très calme, ne s’énerve jamais sinon contre lui-même, il est un modèle de sérénité et de sang froid mais il n’est pas très sociable car il ne supporte pas qu’on le colle, qu’on lui dicte sa conduite et qu’on empiète sur sa liberté et son indépendance. Pour cela il se revêt d’un masque de froideur alors quand son for intérieur il ne l’est pas du tout, au contraire. Mais il ne montre sa face réelle qu’à ceux à qui il voue une confiance totale ; donc personne pour l’instant. Il exècre le vol (mais il rêve de pouvoir voler) et encore plus l’injustice.
Il reste quelqu’un de très mystérieux qui cultive le secret et évite de se mêler aux autres mais il adore s’occuper des affaires d’autrui.
QUALITES / DEFAULTS Il dispose d’une vraie beauté qui cache une intelligence tout aussi grande, il est souple, rapide, précis et endurant. Il et d’une grande légèreté, en effet il peut marcher sur la neige sans laisser de trace. Il est aussi discret et silencieux ; silence est d’ailleurs l’un de ses maîtres mots et il possède un sang froid sans failles.
Il est aussi solitaire, impitoyable, distant, obstiné, il se moque souvent des autres (intérieurement en général) et il sait lire dans le regard des gens ce qui le fait parfois passer pour quelqu'un qui juge à la première impression, ceux qu’il est assurément. Il est à la fois avide et avare de compliments, il prend un certain plaisir à se faire admirer (sans pour autant qu’il le laisse voir) mais complimenter les autres … c’est pas sont truc. Il est un peu anti-social car les gens l’insupporte, surtout les humais tellement prétentieux de leur maigres capacités…
GOUTS Il apprécie particulièrement sa liberté, la forêt, les collines et les falaises en bord de mer, le vent, les rivières mais aussi les villes qui en vaillent la peine tel Al-Jeit. Il aime également l’état d’esprit des marchombres , regarder les étoiles , lire , la musique … il aime relever les défis qu’il se jette à lui-même.
il déteste les gens en général (sauf les marchombres les faëls et les rêveurs) ; mais il n’a que du mépris pour les gens : gros , petits , trop grands , chiants , maladroits , ne tenant pas l’alcool , alcooliques , roux , superficiels , qui prétendent bien tirer à l’arc , fanfarons , peureux , ridicules , malhonnêtes , prétentieux , déloyales , soumis , immatures , lents ,perfides, manquants d’intelligence ou d’imagination , fainéants , de mauvaise humeur , n’ayant aucun sens esthétique…
En gros il méprise une bonne partie de la race humaine, mais il hait par-dessus tout les raïs et les mercenaires du chaos. Elandili est presque végétarien.
Il ignore pourquoi mais il n’a pas peur de la mort, à moins que celle-ci ne soit lente et douloureuse.
DESCRIPTION PHYSIQUE Grand, assez large d’épaule il a une musculature fine et efficace et un corps bien dessiné, une peau blanche et le corps entièrement dépourvu de pilosité excepté sur son visage qui n’en demeure pas moins rasé la plupart du temps. Ses longs cheveux blonds parsemés de quelques fines tresses, perles et autres plumes lui arrivent presque au milieu du dos et encadrent un beau visage aux traits harmonieux. Il a de magnifiques yeux bleu pale, des oreilles pointues, des lèvres pulpeuses et des dents parfaites. Ses mouvements sont fluides tout comme sa démarche ou sa manière de nager, parfaitement silencieuse. De sa célèbre beauté émane une aura envoûtante de mystère et de sérénité.
PARTICULARITE(S) Il est l’un des rare demi faël de Gwendalavir. Il parle et écrit aussi bien la langue des faëls que celle des humains. Malgré sont apparence humaine et sa peau blanche ( qui bronze très rapidement), il a les oreilles pointus. Ses sens sont ceux des faëls, parfaitement épanouis contrairement à ceux atrophiés des humains.
Il est le fils d’un père inconnu dont il ne sait rien excepté qu’il était marchombre.
Dernièrement il s’est fait tatouer un étrange symbole tout autour du cou.
OBJETS / ARMES Il est habillé de cuir souple noir (parfois aussi vert et marron). Il possède un arc court de couleur sombre dont il ne se sépare jamais, composé d’une seule pièce de bois rare hérité de son père. Il l’a fabriqué lui-même, tout comme ses flèches empennées de blanc rangées dans un carquois dorsal de bois recouvert de cuir orné de feuilles d’or. Sur son dos se trouvent également quatre dagues d’acier faël très légères parfaitement équilibrées avec des lames légèrement recourbées de 40 cm destinés principalement à être lancées. Elles sont disposées de sorte que deux dagues sont accessibles au niveau des épaules tandis que les deux autres sont accessibles au dessus des anches. Il a également un poignard à double tranchant beaucoup plus court au niveau de chaque mollet. Il camoufle un fin stylet dans sa manche. Il ne voyage quasiment jamais sans son luth ni sans ses deux sac qu’il porte en bandoulière : l’un contenant ses réserves d’eau et de nourriture, l’autre des choses plus diverses notamment une pierre à aiguiser, deux pain à savon, sa brosse à dent. un objet de sa création, le nécessaire pour réparer ou fabriquer des flèches (plumes, colle, pointes, fil de ligature …) des aiguilles , ainsi que des vêtements légers de rechanges , des crochets pour les serrures ...
Il a hérité de la maison de sa mère, située loin au sud d’Illuin à 10 minutes (à pied) de la mer.
C’est une très grande maison sylvestre érigé dans un rejeton de l’Arbre Talisman de la Foret Maison solitaire au sommet d’une colline à deux pas d’une source d’eau gazeuse. Cette maison a connu maintes générations de faëls et de ce fait elle est très spacieuse et à la fois solide et esthétique.
DON SPECIAL Il possède un 6eme sens hérité de la lignée sa mère, tout comme ses 5 autres qui sont bien supérieur la majorité de son peuple, qui lui permet de reconnaître les arbres passeurs ainsi que la possibilité de rester autant de temps qu’il désir à l’intérieur de l’un d’eux. Il peut aussi en créer mais un de ces arbre doit être âgé d’au moins 5 ans avant de pouvoir être utilisé.
Le secret des arbres passeurs a toujours été jalousement gardé par sa famille maternelle si bien qu’Elandili est certain qu’aucun faël ou alavirien n’en connaît l’existence, même parmi ceux qui ont fait un séjour dans la Foret Maison où il a déjà voyagé plusieurs fois.
HISTOIRE Il naquit et vécut pendant son enfance dans la maison de sa mère, élevé par elle seule.
Un jour alors qu’il avait 12 ans il aperçu un humain qui arrivait à cheval, venant de l’est, vers son habitation. Cet homme vint rendre visite à la mère d’Elandili, Megrilë, et ensembles ils discutèrent un long moment. Le matin suivant l’homme partait en direction du nord et le demi-faël qui l’avait observé pendant le dîner de la veille été certain d’une chose ; cet homme était son père, bien qu’il ne l’ai aperçu qu’à de rares fois pendant son enfance, il en été certain. Ils se ressemblaient traits pour traits, les mêmes yeux, le même nez, la même corpulence… et il était certain qu’il atteindrait dans quelques années la même taille que lui.
Avant de partir l’homme lui offrit une longue branche bien droite et dépourvue de nœud de bois d’une variété aujourd’hui disparue. Devant ce présent le demi-faël remercia l’étranger dans la langue des humains mais celui-ci ne répondit pas et bondit sur son cheval, se retourna alors et dit « Adieu » et ses yeux ajoutèrent « mon fils ». Une unique larme coula sur la joue d’Elandili qui répondit « Adieu, père » dans un murmure à peine perceptible et ses yeux dirent le reste.
La semaine suivante sa mère était clouée au lit et n’arrêtait pas de pleurer car elle venait de revoir l’homme quelle aimait plus que tout au monde, mais qui avait jadis refusé de s’unir avec elle. Megrilë avait alors annoncé à son fils que cet homme été son père, elle refusa de lui donner un nom, et qu’il était … marchombre. Ce mot sortit de ses lèvres en même temps que son dernier souffle.
Un grand désespoir s’empara alors de lui, quelle horreur que de mourir de chagrin !
-Un mois plus tard dès qu’il eu fait son deuil et répandit les cendre de sa mère dans le vent , il partis de sa maison sylvestre à pied , emportant avec lui un arc , une bonne vingtaine de flèches, 2 dagues à doubles tranchant faites d’acier faël , ainsi que son sac. Il ferma les 3 portes aux 7 serrures à contrepoids de sa demeure, portant la clé ouvragée comme un pendentif.
Il camoufla le mécanisme faisant apparaître l’escalier de pierre tournant autour de l’arbre. Ainsi il été certain que personne ne s’installerait ou volerait quelque chose la demeure familiale millénaire, et dire qu’il était l’ultime descendant de cette lignée ! Les gens ne pouvaient deviner q’une habitation se trouvait là-haut, dans cet arbre de plus de 300 mètres de hauteur. L’escalader n’était pas chose aisé, même pour un faël , étant donné que son tronc avait été polie par le vent et qu’il n’est parcouru par aucune faille, qui plus est la branche la plus basse se trouve à 80 mètres du sol . Sur celle-ci se trouve une plate forme composée d’une terrasse crénelée de 100 mètres carrés sur laquelle sont bâties 5 tourelles de bois ainsi qu’un petit bâtiment pouvant servir d’entrepôt ou de chambre d’amis (la demeure est très vaste Elandili n’est plus à une pièce près) et au centre de la terrasse il y a une grande vasque en albâtre servant de citerne. Il fallait encore monter de 100 mètres et traverser 6 branches pour arriver à la triple porte.
*Cette maison est vraiment … impénétrable* pensa Elandili en traversant les magnifiques jardin sur la colline.
Il but une dernière fois directement à la source et rempli sa gourde de l’eau limpide et gazeuse qui sortait des racines de l’arbre, desservant une multitude de bassin relié entre eux par des rigoles, traversant les jardins sur la colline ainsi que ceux situés à ses racines, continuant ainsi dans les champs à 1 kilomètres de la source et tout autour de l’arbre, formant ensuite 2 ruisseau , un allant vers le nord l’autre vers le sud , mais se jetant dans la même rivière indolente dans laquelle le jeune demi-faël avait pour habitude de nager et de naviguer sur ces eaux calmes se jetant à la mer .
Il adressa un adieu silencieux à sa maison et son passé pour enfin accueillir son avenir. Il avait choisi de partir pour illuin pour ensuite peut-être obliquer ver Gwendalavir … il avait tout son temps devant lui.
Ainsi trois ans plus tard il avait voyagé dans tout le pays Faël et jusqu’au plateau d’Astariul et à la Foret Maison.
Il avait changé, physiquement et mentalement, et avait sans cesse repoussé ses limites en s’imposant un entraînement rigoureux : chaque jour, au levé du soleil il avait couru de plus en plus longtemps jusqu’à pouvoir courir de longues heures sans éprouver la moindre fatigue, chaque jours il s’exerçait au tir pendant au moins 5 heures, il avait commençait cet entraînement dès son départ avec la distance de 30 mètres puis chaque semaine il augmentait la distance de 3 mètres, variant les angles de tir et les conditions climatiques si bien qu’il arrivait à toucher une pièce de monnaie à 500 mètres dans des conditions idéales et dans les pires conditions (vent violent, pluie forte, neige, brume, grêle ou même toutes à la fois) il avait 3 chances sur 10 de toucher la pièce, 5 de la planter dans l’arbre dans laquelle elle été accrochée et, au pire, il la tirait à mois de 2 mètres de l’arbre ; et il n’arrêter pas de progresser. Il maîtrisait également le lancé de couteau et, avec d’autres Faëls qu’il avait rencontré il s’exerçait au combat rapproché recréant diverses situation, égales ou inégales, de combat. A chaque fois qu’il en rencontrait un, il essayer de graver la situation géographique de chaque arbre passeur. Il fit de nombreuses rencontres, avec des marchombres de renom ainsi qu’avec des artisan de renommé auprès desquels il appris à fabriquer des arc et des flèches, non dans le but de devenir artisan , bien qu’il lui arrivait de vendre quelques unes de ses création, mais dans le but de pouvoir un jour se créer un arc parfait avec la branche offerte par son père. Il avait acheter des armes qu’il utiliser toujours aujourd’hui et il avait appris à jouer du luth. Et il avait fait une rencontre qui allait changé sa vie :
A SUIVRE...
Avez-vous lu les règles? : oui
Preuve: "juillet"
Comment avez-vous connu le forum? : en recherchant des sites ou poster des poésies marchombres
Idée d'amélioration ? : aucune
Remarques: non plus