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 Présentation de Thowind Kil' Muirt, NOUVELLE VERSION *o*

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AuteurMessage
Thowind Kil' Muirt
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Thowind Kil' Muirt


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Age : 28
Race : Humain
Guilde : Sentinelle
Date d'inscription : 19/08/2009

Feuille de personnage
Âge: 23 ans
Don: Dessin

Présentation de Thowind Kil' Muirt, NOUVELLE VERSION *o* Empty
MessageSujet: Présentation de Thowind Kil' Muirt, NOUVELLE VERSION *o*   Présentation de Thowind Kil' Muirt, NOUVELLE VERSION *o* Icon_minitimeVen 1 Oct - 18:26


    Informations de base :

    NOM : Kil’ Muirt

    PRÉNOM : Thowind

    SURNOM : Thow, ou Tho, bien que dernièrement, il ne soit plus trop tenté que ses subordonnés le nomment ainsi... Ca reste pour les très proches.
    Il y avait aussi un temps où certains de ses professeurs le nommaient quelquefois « Dessinateur à la courte lame ».

    ÂGE : 21 ans.

    SEXE : Masculin

    RACE : Humaine

    GUILDE ET/OU FONCTION ET/OU CLAN : Dessinateur ; Sentinelle (responsable de la supervision et de l’intervention auprès des armées)

    _______


    Qui suis-je vraiment ? :


    CARACTÈRE : En cours

    QUALITÉS/DÉFAUTS :
    • Persévérant – Stratégique - Ingénieux – Généreux – Opiniâtre – Réfléchi en certaines circonstances - Déterminé – Fiable – Paternel (même s’il est très jeune, il est père) - Talentueux au sabre, au Dessin – Surprenant.
    • Envieux – Vantard intérieur (mais sauve les apparences) – Haïssant – Jaloux de ceux qui lui sont réellement supérieurs – Coléreux – Cruel si poussé à bout – Peu réfléchi en certaines circonstances – Trop ambitieux – Présomptueux – Exaspérant pour beaucoup – Susceptible - Très jeune pour une Sentinelle – Imprécis – Surprenant.

    GOÛTS :
    Il aime : Sa fiancée, sa promise, son aimée ; ses compagnons d’armes ; ses parents ; ses précieux amis ; ses anciens mentors ; le sirop d’érable ; son titre tant attendu ; son Don ; admirer les nuages et les paysages alaviriens ; son sabre ; Al-Jeit ; la Citadelle des Frontaliers ; voyager ; les duels ; plaire ; créer.
    Il n’aime pas : L’idéologie du Chaos ; les mercenaires du Chaos (Mentaïs et Envoleurs inclus) ; décevoir ; surexploiter le Dessin (il en a déjà fait les frais) ; les Géants du Septentrion ; les Ts’liches (il en reste encore et Thow tente de convaincre l’Empire, sans succès) ; l’incrédulité ; le Dragon (une entité peu digne de respect malgré sa sagesse et sa puissance...) ; se ridiculiser ; son oncle ; le déshonneur.

    ________

    Mon aspect, mes petites spécificités :



    [IMAGE] + DESCRIPTION PHYSIQUE :

    Spoiler:
    Description physique en cours.

    OBJETS, ARMES, POSSESSIONS :
    - Un sabre alavirien presque classique, propre, solide et efficace, façonné aux Forges Nobles d’Al-Jeit. La lame, longue de plus de 75 cm environ, est polie et nettoyée régulièrement. Son manche ouvragé, aux teintes brunes et grises, est agrémenté d’un pommeau où le forgeron y a gravé le blason de la cité d’Al-Jeit. Thowind enroule souvent le manche dans un tissu sombre pour améliorer sa prise en main, mais laisse toujours apparaître le blason. Il possède cette épée depuis ses seize ans et en prend grand soin. Bien entendu, c’est son arme favorite, qu’il respecte beaucoup et maîtrise presque aussi bien qu’un Frontalier de sa tranche d’âge. Il l’a toujours sur lui et, quand il apparaît sur un champ de bataille pour y intervenir, tous le reconnaissent grâce à cette arme symbolique, devenue l’emblème même de la Sentinelle militaire. Tous savent qu’il favorise le combat au sabre plutôt que l’utilisation systématique de son redoutable Dessin.
    Quelques-unes de ses bottes :
    * La Frappe ancestrale frontalière (enchaînement d’une demi-douzaine de coups d’épée suivi d’un puissant coup de pied, consistant à faire trébucher violemment la cible, puis à l’achever. L’ayant apprise par Barahir Til’ Illïen, elle a longtemps été sa botte secrète avant l’Assaut de la Sentinelle)
    * Le Revers d’Edwin (une frappe redoutable nommée ainsi en référence au plus grand maître d’arme de Gwendalavir, elle consiste à capter le temps d’attaque de son adversaire, à l’esquiver lors d’un de ses coups d’estoc et à le frapper un unique coup, souvent fatal)
    * La triple Chaîne alavirienne (puissante botte d’Al-Jeit consistant à attaquer l’ennemi à l’aide de coups multiples, d’une vitesse immodérée, puis à lui faire lâcher son arme ou à le blesser grièvement. Epuisante et inefficace si mal exécutée, Thowind n’est parvenue à la maîtriser qu’au bout de deux ans d’entraînement)
    * L’Estoc de l’Honneur (botte inventée par Thowind lui-même, consistant à contrer une dizaine d’assauts de l’ennemi, puis à le surprendre dans une violente piquée inévitable, améliorée par le Dessin. Il travaille encore actuellement cette botte, qu’il trouve trop hésitante)
    * L’Assaut de la Sentinelle (botte secrète de Thowind, inventée par une très ancienne Sentinelle militaire. Terrifiante d’efficacité, elle consiste à électrifier, enflammer ou illuminer la lame grâce au Dessin puis à attaquer dans un enchaînement de coups latéraux rendus surpuissants)

    - Une armure alavirienne légère, grise-argentée, avec quelques teintes dorées, façonnée aux Forges Nobles d’Al-Jeit. Il la revêt uniquement lorsqu’il doit intervenir dans une bataille, mais l’apprécie beaucoup pour sa souplesse étonnante, sa formidable solidité, son esthétisme remarquable et son poids très modeste. Elle ne lui a pas encore sauvé la vie mais il se sent protégé à l’intérieur. Il sait qu’un jour ou l’autre, elle lui sera indispensable... Et c’est pour cela que dès sa nomination, il se l’était offerte. Elle a coûté les yeux de la tête, (rien que dans la commande personnalisée) mais Thowind sait que ce n’était pas cher donné au vu de tous ses avantages.
    - Un bouclier alavirien rouge et or, aux armes des Kil’ Muirt - répliquant avec talent le blason d’Al-Jeit dans une version remaniée, plus détaillée que l’habituelle – solide comme le diamant et léger comme du bois. Ce n’est pas une de ses « possession » à proprement dire, mais c’est une arme qu’il aime beaucoup dessiner lorsqu’il se sent en insécurité. Simple et direct, ce bouclier a déjà repoussé de nombreuses flèches, armes de jet ou de mêlée.
    - Une dague très simple accrochée au dos de son armure, qui lui a déjà servi pour attaquer par surprise des adversaires très défensifs ou les quelques rares qui sont parvenus à lui faire lâcher son sabre.
    - Un gantelet de l’Académie d’Al-Jeit, noir et or. Il l’enfile à la main droite lors de ses duels singuliers.
    - Un veston rouge orangé, son vêtement favori depuis ses dix-huit ans. Il s’est offert récemment une version plus large et ouvragée que celui qu’il portait depuis ses dix-huit ans.
    - Un cheval à la ramure marron bien sympathique du nom de Canton, qu’il n’utilise que très rarement, en tant que médiocre cavalier. Il se prélasse tranquillement aux Ecuries Nobles d'Al-Jeit. Ce fut Selena qui le lui offrit.

    DON SPÉCIAL : L’Art du Dessin. Il le maîtrise suffisamment pour réussir à faire quelques Pas sur le côté à la suite, ce qui est remarquable, mais il n’est jamais parvenu à exécuter le célèbre Grand Pas. C’est l’un des grands objectifs de sa vie.
    De plus, il a un jour provoqué un orage destructeur qui a causé la mort d’un très grand nombre d’Envoleurs lors d’un déploiement de haine surhumain. Mais cette surprenante anecdote ne lui inspire qu’un souvenir très amer. Evitez d’en parler devant lui comme s’il s’agissait d’un exploit...
    - Résultats de son Analyse (Analyste ; maître Duom ; âge : 18 ans) :
    Cercle de Volonté : Très grand.
    Cercle de Créativité : Assez grand.
    Cercle de Pouvoir : Modeste.
    Conclusion du maître : « Une bonne prédisposition aux Dessins d’envergure et aux réactions instinctives. Si tu travailles correctement et si tu affines ton Pouvoir à travers de bons entraînements, tu auras les capacités requises pour devenir Sentinelle. Mais n’en espère pas trop non plus ! La route et longue et il n’y a pas de raccourci ! Ha, ha, ha ! »
    ________


    Mon histoire :

    Thowind Vivyo Rocelem* Kil’ Muirt est né à Al-Jeit, par un bel après-midi de mai, dans le cabinet d’un Rêveur de Tintiane spécialisé dans les naissances.
    L’accouchement, réalisé sans le moindre problème, apporta à Symphia et Vivyo Kil’ Muirt un petit bonhomme en pleine santé qui installa le bonheur dans la petite famille. Gens aisés, le couple Kil’ Muirt vivait paisiblement, sans ennuis, même lors de la période troublée de l’Empire.

    La branche noble des Kil’ Muirt provenait de la mère de Thowind, Symphia, dont les aïeuls étaient de père en fils des Dessinateurs de renom.
    Cependant, ces dernières années, la famille avait perdu beaucoup d’éclat et sa réputation, ternie, en avait subi de lourdes conséquences. En effet, le nom des Kil’ Muirt devint hélas trop bien connu suite à de fâcheux évènements qui eurent lieu dans de bien pitoyables circonstances. A ce propos, au premier abord, le nom de Thowind a dû vous inspirer, à sa lecture, quelque désagréable personnage ayant pu tacher l’honneur de sa digne famille ; vous ne vous êtes pas fourvoyé...
    Symphia était la sœur du ô ! combien déplaisant Holts Kil’ Muirt, nommé aussi la « Sentinelle Déchue » après avoir échoué dans sa lamentable tentative d’assassinat de la très respectable Ewilan Gil’ Sayan. Encore aujourd’hui réduit à souffrir d’infinis troubles mentaux après le combat singulier face à la célèbre Dessinatrice ayant libéré l’Empire de ses multiples troubles, Holts est devenu la bête noire de la famille. « Sa punition ne lui suffira jamais. C’est un traître, lâche et perfide ! » avait tant répété sa sœur Symphia, terriblement déshonorée par la cupide bêtise de ce qu’il lui restait de frère. Même si, bien entendu, il n’en avait pas toujours été ainsi.
    Il y avait un temps où Holts était un élève de l’Académie travailleur, très consciencieux, étudiant avec une application extrême toutes les facettes de son Don, aux côtés de sa sœur, qu’il aimait beaucoup. Il n’avait jamais été particulièrement intelligent, mais son rude labeur et sa volonté sans faille avaient porté leurs fruits ; il en était devenu très doué. Dans son adolescence, Holts Kil’ Muirt était rejeté partout où il allait, sous prétexte qu’il était « vraiment trop peu fréquentable ». Injustice sociale ou réaction aisément justifiable ? Pour tout dire, ce n’était pas complètement infondé : déjà très jeune, il menait une petite vie de complot assez peu discrète, allant de simples jeux de hasard dans les tavernes jusqu’à de sombres affaires de faux-monnayeurs distribuant de vulgaires pièces dessinées. Fort heureusement pour le futur traître, rien de tout cela ne fut prouvé et Holts réussit à convaincre ses proches de l’inexistence de tels outrages. Et, peu à peu, son Dessin tant travaillé réussit à lui faire atteindre le titre de Sentinelle tant espéré, après l’examen final et de longues années d’attente, sa nomination fut précipitée la mort bien mystérieuse de l’une d’entre elle.
    Symphia, de son côté, aurait pu sans difficulté devenir Sentinelle, mais avait préféré vivre une vie tranquille, sans les innombrables responsabilités et les dangers qu’imposaient le titre. Comme son frère Holts, elle avait perdu sa mère, une Sentinelle, très jeune. Elle avait été tuée par son propre époux, rongé par la folie et l’avarice, qui s’était lâchement enfui vers le Continent de l’Est (encore inconnu à l’époque) avec presque toute la fortune des Kil’ Muirt (qu’il livra bien plus tard à son fils aîné). Holts et Symphia n’avaient que deux ans d’écart et ils ne furent jamais informés des rudes réalités de leurs géniteurs ; ils ne surent jamais que leur père était un assassin démentiel, qu’ils avaient tous deux un frère aîné du nom de Trioms (ayant treize ans de plus que Symphia et quinze de plus que Holts, ce mystérieux aîné, parti vivre en ermite aux alentours de la forêt Maison des Petits très jeune, conserve aujourd’hui une fortune surprenante qu’il refuse de révéler à quiconque. Bien entendu, personne n’a de nouvelles de lui et on a fini par oublier son hypothétique existence) et que leur mère était l’une des plus respectables Sentinelles qui ait jamais été... Leur nourrice, une sainte femme, les éleva comme elle put, entre la dizaine d’orphelins d’Al-Jeit dont elle était responsable. Bien heureusement pour cette généreuse dame, le Don des deux enfants apparut très vite, chez l’un comme chez l’autre, et la nourrice n’eut d’autre alternative que de les livrer, à l’âge de onze et neuf ans, dans un internat représentant la section « Jeunes talents » d’un établissement inférieur à l’Académie, dédié aux enfants de Sentinelles ou aux plus jeunes alaviriens ayant développé une certaine capacité à utiliser l’Imagination.
    L’Académie d’Al-Jeit leur fut rapidement accessible, au bout de quelques années, et ils la rejoignirent avec une grande fierté. Dés lors, Holts travailla très dur, sans trop réfléchir à ses actes, attiré de plus en plus par la gloire et l’argent, s’imaginant qu’il allait pouvoir rétablir le nom des Kil’ Muirt en amassant une grande fortune. Débutèrent alors les années de ses premiers complots.
    Symphia, de son côté, détenait un véritable talent à réussir ses évaluations sans étudier ni s’entraîner. Tout allait naturellement chez elle, et elle favorisa la surveillance de son inconscient de frère à l’étude. Plus les années passèrent, plus elle se méfiait. Elle portait un regard plein de suspicion sur ses Pas sur le côté très tardifs, ses agissements bien mystérieux et les petites discussions louches qu’il partageait avec ces hommes encapuchonnés des tavernes, lorsqu’ils sortaient en ville ensemble. Elle se doutait bien qu’il profilait avec l’un ou l’autre malfrat d’Al-Jeit, et elle tenta de le raisonner, sans succès. Holts s’obstinait à nier avec une ineffable volonté, et ce jusqu’à ce que Symphia prit conscience de l’état réel des choses et de son amour inconsidéré pour Eléa Ril’ Morienval, la petite surdouée de la classe de Préparation pour Sentinelle. Holts ne put se résoudre à mentir à sa sœur et avoua tout, avant de fuir le lendemain vers la perfide traîtresse, devenant peu à peu son esclave... Aveuglé par l’hypocrite intelligence et la sournoise beauté de celle qui devint la plus célèbre Sentinelle traîtresse de tous les temps, pour Holts, tout ne devint que trahison, lâcheté, faiblesse, et son âme plongea dans les ténèbres. Il n’était devenu qu’un serviteur, un pion ; et, obnubilé par Ril’ Morienval, sa sœur semblait avoir complètement disparu de sa vie...
    Symphia ne parvint pas à le ramener à la réalité. Il était désormais entré dans une voie que personne ne pouvait modifier. Il était devenu un traître, et avant même son attentat contre Gil’ Sayan, c’était déjà, aux yeux de Symphia, une « Sentinelle Déchue »... Elle en souffrit beaucoup. Elle avait déployé tant d’efforts, pour que le cadet des Kil’ Muirt finisse aussi bas ! Longtemps, elle pleura son départ vers la souffrance et la servilité. Mais Symphia finit par tourner la page et tenta d’oublier Holts Kil’ Muirt, son frère bien-aimé, l’élève le plus travailleur de l’Académie, si ambitieux, devenu si faible... La Sentinelle Déchue ne fut qu’un fantôme dans son âme, mais jamais elle ne parvint à se défaire complètement de son visage satisfait, de la sueur des études qui coulait sur sa tempe, de ses yeux verts qui semblaient toujours dire : « Tu verras, Symphia, j’y arriverai... Moi, Sentinelle, je redorerai le blason des Kil’ Muirt, j’installerai la paix et la gloire sur notre famille, je retrouverai notre père... »
    Plus jamais il ne répéta ces paroles.


    Les années ont passé. Symphia est devenue une bien belle femme, une artisane renommée pour ses doigts de fée taillant, sculptant, enjolivant, travaillant le verre, la porcelaine, le cristal et toutes les autres matières relativement fragiles requérrant douceur et doigté. Elle s’aidait sans retenue de son Don, si instinctif mais si productif... A ses 23 ans, elle devint la plus douée de toutes les artisanes de vases et de verres de tout Al-Jeit. Elle s’arrangea pour rester discrète et, malgré son talent extraordinaire, ses employeurs, de braves hommes, firent en sorte que son anonymat reste entier.
    Elle tomba amoureuse d’un grand maître bijoutier d’Al-Jeit, Vivyo Tjylien, et tous deux s’installèrent dans un grand appartement au second étage de l’une des innombrables tours de la capitale de l’Empire. Leur couple vivait très bien, sans ennuis majeurs et, aux 26 ans de Symphia, naquit Thowind Kil’ Muirt.

    Le jeune Dessinateur grandit tranquillement et dans la sérénité. Entre l’éducation assidue de sa mère relatant les facettes de l’Art du Dessin et celle, plus sévère - mais tout aussi fructueuse de son droit homme de père, il devint un jeune homme saint et bien éduqué. Sa petite enfance n’eut rien de bien palpitant, si ce n’est une ou deux relations amoureuses futiles et quelques petites amitiés à peine conservées.

    Ce n’est qu’à ses 15 ans que sa vie prit un nouveau tournant, presque décisif. Ce fut au cours de l’une de ses multiples promenades dans la grand-rue de centre-ville qu’il le rencontra, se désaltérant sur l’une des terrasses d’une grande taverne d’Al-Jeit... Ce surprenant Frontalier de passage.
    L’homme, rompu aux entraînements physiques et mentaux, dégageait une aura de force et de respect hors du commun. Il fascinait Thowind au plus haut point et longtemps, il le regarda d’un air désemparé, devant tant de puissance... Et, lorsqu’il se décida enfin, après de longues minutes d’hésitation, à le saluer et lui demander s’il pouvait voir le sabre attaché à son dos, il fut sous le charme. Dès lors, il se fit un premier grand serment : « Je me dois de devenir aussi charismatique que cet homme, au moins une fois dans ma vie. Il le faut... »
    L’homme, intéressé par l’étonnante attirance de l’adolescent sur sa lame et son matériel, lui proposa de faire un « petit tour en ville » à ses côtés, proposition immédiatement acceptée. Entre quelques petits conseils en matière d’échoppes militaires et explications rapides concernant la culture et le célèbre état d’âme frontaliers, il exécuta sous les yeux ébahis de la future Sentinelle quelques modestes mais surprenantes bottes frontalières, capables de transpercer, en quelques secondes, un poignée de guerriers cochons. Avant de retourner à ses occupations, le saint homme*² lui confia de menus mais précieux conseils sur les bases du combat au sabre et, sur un dernier salut plein de sagesse, s’en alla. Tout cela acheva de contenter Thowind qui se jura de posséder une lame similaire à celle de cet intrigant Frontalier, un jour ou l’autre. Guidé par cette nouvelle obsession, il poursuivit ses études avec régularité, même si le « travail bien fait » ne le rendait pas fou de satisfaction.
    Ce fut seulement un an plus tard qu’il révéla un Don du dessin assez développé : il avait dessiné, sans le vouloir, un superbe glaive orné de pierres précieuses qui disparut une minute après son arrivée, au grand regret de son créateur. Vous l’aurez compris ; son premier Dessin fut la représentation directe de son plus grand désir, comme il en a souvent été dans l’histoire de l’Imagination.
    Le lendemain, il réussit à basculer dans la réalité un grand vase rempli de pièces triangulaires dont il avait désespérément besoin pour s’offrir la lame trop vite disparue. (l’argent finit par disparaître à son tour et Thowind se mit sérieusement au travail, dans ses études et auprès d’un maître forgeron d’Al-Jeit. Son ardeur à ce second boulot, assez physique, lui façonna ses premiers véritables muscles). Son labeur ne fut récompensé que de longs mois plus tard, lorsqu’il s’offrit enfin son précieux sabre.*3
    Il eut alors l’autorisation de ses parents de pouvoir se faire analyser, sa plus grande récompense, qui lui servit presque de ticket d’entrée à l’Académie.
    Cependant, il parvint, au prix d’une somme exorbitante, d’être reçu par le plus célèbres des analystes, le grand Maître Duom en personne. Ce fut donc à Al-Vor que son analyse fut faite et il s’avéra qu’il possédait un cercle de Volonté très important, un cercle de Créativité au diamètre presque aussi grand mais un cercle de Pouvoir moins éminent. Il commença alors ses études à l’Académie, se fit des amis fidèles, et se rapprochant, contrairement à sa mère, du grade de Sentinelle qu’il espèrera arborer avec fierté pour remettre au goût du jour la renommée, la fierté et l’honneur des Kil’ Muirt.


    A SUIVRE...

    * A noter : en Gwendalavir, seul le premier prénom donné est réellement pris en compte, que l’on naisse « noble » ou non. Mais il est dans les droits des alaviriens d’en donner plusieurs à leurs enfants. Pour Thowind, on note une référence à son père et à son arrière-grand-père. (Ce dernier apparaît comme le plus respectable des Kil’ Muirt qui ait jamais été, et le fondateur de la lignée.

    *² A noter : Ce frontalier est aujourd’hui assidûment recherché par Thowind Kil’ Muirt. Il tient cependant à le trouver de ses propres moyens, mais si vous avez des indices, n’hésitez surtout pas... Il ne s’agit pas de Barahir Til’ Ilïen, bien entendu, ni d’Edwin Til’ Illan (encore moins ! :p) Il porte ses soupçons sur un certain Maximilian Sil' App...

    *3 Cf. OBJETS, ARMES, POSSESSIONS pour plus d’informations à propos de ce sabre devenu célèbre.





    ________


    PREUVE DU REGLEMENT* : Nan mais vous rigolez ? x’)

    COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Cela remonte à un an. Je m’étais lancé dans une recherche intensive de forums rpg, au temps où je n’y jouait que très peu, et Google m’a guidé jusqu’à ce thème que j’admirais beaucoup : les créations de Pierre Bottero, Ewilan et Gwendalavir. J’ai immédiatement accroché à GRPG et j’ai de suite entamé la première fiche de présentation de Thowind.

    IDÉE D'AMÉLIORATIONS ? : QUE JE DEVIENNE ADMIN ! AHAHAHAHA !! Cool Naaan, je rigole, je suis déjà très content comme ça =) Continuons ainsi, et n’abandonnons jamais, ce forum a un charme et une intrigue immensément riches, que je n’oublierai pas de sitôt !

    REMARQUES : Voici ma seconde fiche de présentation, après mon année de rp sur Ewie et mon choix de faire enfin évoluer Thowind. Enjoy ! =D Ne supprimez pas la première version, qu’on mette bien en relief la progression de ce beau prétentieux de Thow :p


CE N’EST PAS FINI ! Very Happy
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