Voili, voilou cela fait un moment, que j'avais dans la tête une idée d'histoire. Et pendant un interminable vol aérien, pendant que madame dormait, j'ai pu enfin commencer l'écriture de cette dernière. J'espére qu'elle vous plaira, sinon je suis impatient d'avoir votre avis. A oui, petit détail, la casi-totalité des personnage de cette histoire sont des personnages dont j'avais déjà fait des fiche et qui sont accessible dans l'auberge à flooder. Sinon, une petite précision, l'histoire se déroule environ 300 ans avant Ewilan. Et si vous pouvais, j'aimerais savoir qu'elle est votre personnage préférer . Voilà, sur ceux bonne lecture!


La nuit était tombée sur Al-Jeit, la capital de Gwendalavir depuis déjà de nombreuses heures. Pourtant, des rayons lumineux perçaient toujours de plusieurs salles du palais de l’empereur. Même dans le bureau privé de se dernier, les lumières était encore allumé, se qui tenter à prouver, que se dernier travailler encore dur. La pièce était de belles tailles, habillées tout de rouge et or. D’épais tapis couvraient le sol et de magnifique tableau décoraient les murs. Un homme d’une cinquantaine d’années tournée en rond dans se bureau. L’empereur. Le front plisser, il tournait machinalement en rond au tour de sont bureau. S’arrêtant de temps à autre pour fixer d’un œil terne l’un des tableaux accrochaient aux murs. Soudain, l’un de ces conseillers entra dans le bureau. Il s’inclina respectueusement devant l’empereur et lui dit :

- Seigneur, ils sont tous là.

L’empereur fixa quelque seconde sont conseiller puis, d’une voie las et fatigué, lui répondit :

- Bien, merci Thil’Buck. Je vais les rejoindre de se pas.

Joignant le geste à la parole, l’empereur emboita le pas à sont conseiller et sortit de son bureau. Il longea un long couloir, éclairait par les faibles lueurs de la lune et s’immobilisa devant une double porte en bois. Les rayons de lumière qui percé au travers des interstices montré, que la pièce était occuper. L’empereur rajusta sa cape de cérémonie et ouvrir les doubles porte. A l’intérieur de la pièce, se trouvait quatre personnes. Le plus proche de la porte, un homme grand, massif habillait d’une belle armure noir qui brillait aux éclats qui s’était mis au garde à vous, lorsque l’empereur était entré. Il s’agissait d’Arg’Huril le général en chef de ces armées. Assis dans un fauteuil, à quelque pas du général, un homme d’une quarantaine d’année, habillait d’une armure de cuir souple, les cheveux gris blanc, un sabre accrocher dans sont dos, se leva lentement et salua d’un signe de tête l’empereur. Arn Til’Hillan, seigneur de la citadelle. De l’autre côté de la pièce, assis sur l’une des chaises qui entourait la table central, un homme assez âgé, habillait d’une longue robe de cérémonie d’un bleu nuit très sobre. Il ne se leva pas, mais sourit à l’empereur tout en inclinant respectueusement la tête. Il s’agissait Howing, le leader de la guilde des rêveurs. Enfin, tout au fond de la salle, assise sur l’encadrement de la fenêtre, se tenait le dernier des invités de l’empereur. Une femme d’une trentaine d’année, fine et élancé, elle posséder des cheveux châtain mi long attaché en une queue de cheval dans sont dos, et des yeux marrons, pétillant de malice. Elle adressa à l’empereur un sourit assez espiègle. Qui fit soupirait l’empereur.

- Les marchombres doivent ils toujours cherché à se soustraire aux protocoles ?

La jeune femme à la queue de cheval sourit fasse à la question de l’empereur, et sans daigner répondre, s’avança souplement vers la table central ou elle prit place à côté du rêveur. Comme hypnotisaient, les autres personnes présentes prirent elles aussi place. Le général et le seigneur de la citadelle, en face de la marchombre et du rêveur. Tandis que l’empereur, se mis en bout de table. Lorsqu’il s’assit, tous les regards convergèrent vers lui. Après un nouveau soupir, l’empereur commença.

- Bien, déjà je vous remercie d’avoir répondu à mon appel et d’être venus aussi rapidement, l’empereur marqua une pose pendant laquelle il fixa chacun des convives droits dans les yeux. Je ne vous apprendrais rien, en vous disant que l’empire est en train de subir une terrible période noir. Au nord, les raïs ont reprit leur assauts, Til’Hillan acquiesça d’un rapidement mouvement de tête. Au sud, les pirates alines deviennent de plus en plus incisif dans leur incursion dans nos terres. Se fût la le général qui confirma les dires de l’empereur par un hochement de tête. Et pour finir, les mercenaires du chaos continu à nous détruire de l’intérieur, apportant désordre et peur partout dans nos campagnes. Se fût la jeune marchombre qui hocha à sont tour la tête, les mâchoires serrait par la rage. A tout cela, il ne faut pas oublier d’ajouter la menace que représente toujours les Ts’Liches.

L’empereur stoppa son monologue, afin de regard un par un ces invités. Il voulait leur transmettre par le regard ces sentiments. Sentiment d’impuissance, de tristesse mais aussi un brin de désespoir.

- Comme vous pourrait l’appréciez, l’empire est au plus mal. Nos armées souffrent et nos dessinateurs ne suffisent plus. Nous devons impérativement trouvé une solution. C’est pour cela que je vous ais fait venir.
- Il est vrai que la situation de l’empire est très préoccupante, commença Howing.
- La question n’est pas là, se n’est pas en se lamentent que l’on trouvera une solution ! Gronda Arg’Huril en frappant du poing sur sa table.
- Je suis d’accord avec votre général, empereur, continua Til’Hillan.

Tous se retournèrent vers la marchombre pour attendre son approbation. La marchombre sourit à ces différents regards. Se fût le rêveur qui rompit le silence avant que la marchombre ne répondre.

- Vous savez, ma très cher Ellundril, même si les marchombres sont une guilde appart, vous êtes autant concerné par les problèmes de l’empire que n’importe lequel de ces habitants.

Un murmure d’approbation parcourut la table. Ellundril prit la parole. D’une voie calme et posé remplie de sagesse qui contrasté un peu avec son physique encore assez juvénile.

- Cher amis, ne croyait pas que les marchombres ne vous soutiens pas ! Cela fait maintenant longtemps que les marchombres voient l’empire prendre la direction qui est la sienne à l’heure actuelle. Cela fait donc un petit moment, que le conseil à prit des mesures pour ne pas laissé Gwendalavir tombé dans le chaos.
- Et quelles sont ces mesurent ? Questionna l’empereur.
- Nous avons envoyés plusieurs des notre fouinait à droite ou à gauche pour trouver quelque chose qui permettrait à l’empire de se sortir de cette situation délicate.
- Avez-vous trouvé quelque chose d’intéressant ? Questionna Howing.

Ellundril sourit, puis après avoir laissé coulé quelques secondes d’un silence pesant, reprit :

- Oui, nous avons réussi à trouver quelque chose.

Ellundril ménagea encore un de ces silences dont elle avait le secret puis rajouta :

- Ilfasidrel !

Un nouveau silence accueilli cette déclaration.

- Ilfasidrel ? Répéta Arg’Huril totalement interdit. Qu’est ce que c’est ?
- Ilfasidrel, aussi appelé le joyau aux mille facettes, est une sphère graph d’une taille incroyable qui permettrait d’apporté énormément de puissance à nos dessinateur.

Un nouveau silence accompagna l’explication d’Howing.

- Bien sur, se joyau n’a jamais était trouvé par quiconque. Ajouta t il.
- Une quête impossible, voilà la solution proposée par les marchombres ! L’empereur était dépitait.
- Une de nos sources sur, nous a dit que les Ts’Liches eux même tenté de mettre la main dessus. Il ne faudrait surtout pas qu’il l’obtient ! Répliqua Ellundril.
- Effectivement, si ce joyau est à la hauteur de sa réputation, mieux vaut qu’il soit de notre côté ! Rajouta Arg’Huril.
- Et puis, votre altesse, nous n’avons aucune autre solution sous la main alors pourquoi ne pas essayer celle là ? Finit Til’Hillan.
- Effectivement, cela ne nous couterais pas grand-chose, car je suis pose que pour une quête comme celle-ci, mieux vaut rester discret ? Demanda l’empereur.
- Oui, la discrétion et de mise. J’ajouterais, qu’il faudrait voir à constituer rapidement la compagnie qui s’occuperais de trouver Ilfasidrel.

Tout le monde acquiesça silencieusement à la remarque de la marchombre. Puis, s’en suivit de longue discutions, qui se prolongèrent jusqu’au petit matin, pour décider qui serait les heureux élu, qui formeraient la compagnie d’Ilfasidrel comme il l’avait surnommé.
Finalement, il avait était convenus, que les marchombres mettrait un des leur dans l’équipe, que la légion noir offrirait un commandant digne de se nom et que 10 frontaliers seront choisi par Til’Hillan lui même. Un rêveur sera également de la partie, ainsi qu’un dessinateur de la cour. Enfin, il avait était convenus, que la compagnie serait présenter à l’assemblé dans une semaine jour pour jour, à la tombée de la nuit.

Oderic, quitté la salle ou un repas avait était organiser par les divers jeunes nobles de la cour. Entre les jeunes nouveaux nobles, et les fils et filles des anciens, la cour de l’empereur regorgeait de jeune gens. Il y a sept jours, lorsqu’il fût convoquer par Thil’Buck, l’un des conseiller de l’empereur, Oderic fut quelque peu surpris. Pourquoi diable l’empereur voulait le voir. Et de surcroit, la nuit dans l’aile est du palais, l’aile la moins fréquenté, celle qui était aussi la moins luxueuse. Se fut la tête plein d’interrogation, qu’Oderic avança vers la pièce situer au fond de l’aile est. Il faisait nuit noir dans les couloirs du palais, et aucun bruit, ne venait perturbait le silence qui régnait. Oderic, vit au fond du couloir, une porte entrouverte, d’où percer une faible lueur. Il s’avança silencieusement, et entra dans la pièce. Cette dernière, était déjà occupée par trois personnages plus ou moins insolites. Tout d’abord, près de l’entrée, se tenait un soldat de la légion noir, facilement identifiable par sont armure de vaguilite noir. Il avait gardé sur sa tête, sont heaume, interdisant ainsi aux autres personnes présente de voir son visage. Assit droit comme un piqué sur une chaise à côté, se trouver un homme proche de la cinquantaine, vêtue d’une simple tunique d’un jolie bleu nuit. L’homme, avait des cheveux brun coupait cour et une fine barbe brune encadrait son visage. Il sourit à Oderic, lorsque leur regard se croisèrent. Enfin, de l’autre côté, se trouvait dans l’ombre une jeune femme. Au tout début, Oderic ne l’avais pas vus. Il ne la remarqua que lorsque cette dernière bougea. Elle n’était vraiment pas grande. Pas plus que les Faëls qu’Oderic avait rencontrés il y a quelque temps. Elle possédait une peau assez blanche, ainsi que des cheveux coupés à la garçonne d’un châtain très clair, tirant sur le blond. Elle portait une tenu intégralement en cuir noir, et possédait à sa ceinture, de chaque côté de ces hanche, une dague d’une bonne trentaine de centimètre. Mais se qui surpris le plus Oderic, se fût le regard dur et glacial que la jeune fille porta sur lui. Elle posséder des yeux gris métal assez effrayant. Tandis Oderic entré dans la pièce, des bruits de pas dans le couloir se firent entendre. Thil’Buck entra à son tour dans la pièce. Il sourit aux quatre personnes présentes puis leur dit :

- Bien, je vois que tout le monde est là, et à l’heure. Si vous voulait bien me suivre.

Dans un même mouvement, les quatre personnes, se levèrent et suivirent dans un silence religieux Thil’Buck. Se dernier, les emmenas au travers les étages, de l’aile est. Enfin, il s’immobilisa devant une double porte d’où s’échapper une forte lumière ici que plusieurs voies. Thil’Buck leur fit signe d’attendre là, puis il entra. Quelque secondes passèrent, puis Thil’Buck revint vers eux, en leur faisant signe d’entrée. Une fois les quatre personnes entrée, Thil’Buck sortis et ferma la porte derrière lui. Oderic, ouvrit des yeux comme une soucoupe. Se trouvait présent devant lui, Sil’Clovia, l’empereur, mais aussi Arg’Huril, le général en chef des armée Alvarienne et enfin, Til’Hillan le seigneur de la citadelle. Un silence accompagna l’entrée des quatre personnes. L’empereur dévisagea chacune des personnes présentes. Oderic, senti le soldat retirait sont heaume sur sont côté droit, cependant, il ne le regarda pas. Restant concentré sur les cinq personnes qui lui faisait face. Puis soudain, après de longues secondes de silence, l’empereur se leva et s’adressa directement à eux.

- Bonsoir à vous tous. Je suis heureux de vous voir tous ici réunis. Pour se qui ne le savent pas, laissait moi me présentait, ainsi que vous présentait les personne qui m’accompagne. Je suis Sil’Clovia, empereur de Gwendalavir. Voici, à ma droite, Arg’Huril, général en chef des armée Alvarienne et Til’Hillan seigneur de la citadelle des frontaliers. Voici à ma gauche, Ellundril Chariakin voie du conseil marchombre et maître Howing, représentant de la guilde des rêveurs.

Un lourd silence suivit les présentations de l’empereur. Oderic se demander bien pourquoi l’empereur et quatre des personnes les plus importante de Gwendalavir avait voulu le voir lui, un simple dessinateur de l’académie d’Al-Jeit. Mais Oderic n’eut pas le loisir de se questionnait plus longtemps. En effet, l’empereur reprenait la parole :

- Bien, je suis pose que vous ne vous connaissaient pas encore. Alors je vais vous présentaient les uns aux autres on gagnera du temps. Alors tout d’abord, Akill Carnit, le dénommé Akill s’avança d’un pas, se qui permis à tous de pouvoir le voir. Il s’agissait de l’homme d’une cinquantaine d’années avec sa fine barbe. Alors pour tous, Ankill est un rêveur du 6ème cercle, il s’occupe de la confrérie de Tintiane. Ensuite, Voici Oderic Nil’Burg.

Oderic fit un pas en avant comme sont compère rêveur. Tout le monde put apprécier la belle stature du jeune homme. Agé de seulement 20 ans, Oderic est blond, les cheveux semi-long, retombant avec désinvolture sur ces yeux d'un très joli bleu roi, très profond. Il possédait une très belle carrure, ni trop fine, ni trop imposante. Musclé mais sans l'être à outrance. Tandis que l’empereur le définissait aux yeux des autres comme le fil d’un de ces plus loyaux conseillers, et comme un dessinateur de talent. Oderic regardait avec une certaine fierté les cinq personnages les plus importants de Gwendalavir. Oderic était fier d’être là, parmi les personnes les plus importantes de l’empire. Enfin, l’empereur lui fit signe de reculer. Oderic s’exécuta tandis que l’empereur présenta le soldat de la légion noir.

- Laisser moi maintenant vous présenter le commandant Alieta. Novak Alieta.

Oderic, trop absorbé par les personnalités qui lui faisait face, n’avait pas remarqué que le commandant de la légion noir, n’était d’autre qu’une magnifique jeune fille. Une jolie blonde, les yeux d’un vert magnifique. L’armure ne laissant pas le loisir de détailler plus en profondeur la jeune femme. Cependant, à ces traits, il n’était pas difficile de deviner qu’elle ne devait pas être beaucoup plus âgée qu’Oderic.

- Et enfin, voici la dernière, il s’agit de Kira Lenko, marchombre de son état.

La minuscule jeune fille de toute à l’heure s’avança enfin devant tut le monde. Elle posa sur les gens qui l’entouraient, un regard tout aussi glacial, que celui auquel Oderic avait gouté il y avait quelques minutes.

- Bien, les présentations faites, je ne tournerais pas autour du pot, et je vais vous expliquais pourquoi nous vous avons fait venir.

La phrase de l’empereur n’avait pas était dite d’une manière particulière, cependant, l’attention de tous fut capter. Le silence se fit plus lourd, tandis que l’empereur reprit la parole.

- Bien, comme vous le savez tous, l’empire va mal, très mal. Pour tenté d’y remédier, les marchombres on pensait utilisé un objet exceptionnel, une sphère graph légendaire, Ilfasidrel. Cependant, pour pouvoir utiliser les pouvoir de cette fameuse sphère graph, nous devons commencer par mettre la main dessus. C’est pour cela que nous vous avons convoqué. Vous travailleraient ensemble, pour mettre la main sur le joyau aux mille facettes, Ilfasidrel. Pour vous aider tout les quatre, le seigneur Til’Hillan mettra à votre disposition 10 frontaliers qui seront sous le commandement de Alieta. Bien, sur ceux, avez-vous quelques questions avant de partir ?

L’assemblé était encore sous le choc, si bien que personne ne posa de question dans l’immédiat. Se fût Oderic qui le premier reprit c’est esprit et demanda :

- Nous quatre plus les dix frontaliers, nous seront donc seulement 14 pour récupérait Ilfasidrel ?
- Oui, nous pensons, que plus la mission sera tenu secrète, mieux cela sera.
- Pourquoi doit-elle resté secrète ? Questionna Akill.
- Et bien, il semblerait que d’autres personnes soit à la recherche d’Ilfasidrel.
- Les mercenaires du chaos ? Demanda Kira.
- Entre autre, mais, d’après Ellundril, les Ts’Liches aussi pourraient être à sa recherche.
L’annonce jeta un froid dans l’assemblé. Se fût Oderic qui brisa à nouveau le silence :
- Mais, si la mission est si importante, pourquoi ne pas avoir envoyé des personne plus qualifier ? Enfin, je veux dire, par exemple, pour se qui est d’un dessinateur, pourquoi ne pas avoir envoyé une sentinelle ?
- La réponse est simple, toutes nos forces sont assignées au front. Nous avons donc fait appelle aux meilleurs éléments restant. Et puis, si malheureusement vous ne parvenait pas à accomplir votre mission,…
- Nous sommes des pions que l’empire peut se permettre de perdre ! Acheva Kira.

Un silence gêné suivi sa déclaration. Cependant, personne ne la reprit. Oui, l’empire pouvait se permettre de les perdre, alors qu’on ne pouvait pas se permettre de perdre par exemple Arg’Huril le général des armées.
Après avoir finit de remplir quelque formalité, surtout lier à l’administration, tout le monde se sépara. La compagnie, se disloqua après s’être donné rendez vous pour le lendemain matin dans l’une des salles de réunion de l’aile est du palais.

Novak était en train de s’étirait dans sont lit si moelleux et tiède. Une sensation de bien être s’emparait d’elle. Puis Soudain, elle se rappela pourquoi elle n’était plus au front, mais dans l’une des chambres du palais de l’empereur. La mission, retrouvait Ilfasidrel le joyau aux mille facettes. Cette mission, si elle l’a menait à bien, lui assurait sans aucun doute une belle promotion au sein de la légion noir. Tandis qu’elle laisser son esprit vagabonder encore dans ces doux rêves, ces yeux se posèrent sur la fenêtre. Au vus de l’éclat du soleil à l’extérieur, la matinée devait être bien avancé. Soudain une panique affreuse s’empara d’elle, la matinée était bien avancée ! Elle avait rendez vous au petit matin avec les autres membres de la compagnie ! Ni une ni deux, elle se leva d’un bond, mis rapidement un pantalon de cuir noir et un débardeur propre de même couleur, puis, tandis qu’elle tentait de mettre ces chaussures, elle essaya de l’autre main d’attrapait son sabre. Elle ne réussi qu’à tombait à la renverse. Après quelques furieuse minutes ou elle réussi à triomphé entre autres de ces chaussures, Novak sortis en trombe de sa chambre et se dirigea vers la salle de réunion. Elle arriva hors d’haleine devant la porte. Elle ne prit pas la peine de reprendre son souffle, et entra sans frapper dans la pièce. Elle s’attendait à devoir affronter les regards plein de reproche de ces nouveaux compagnons, mais le problème était qu’elle était la seule présente dans la pièce. Un affreux doute s’empara d’elle, c’était elle tromper de salle, ou les autres las de l’attendre avaient ils décidé de partir sans elle ? Tandis qu’elle commencé à se posé mille et une questions, quelqu’un entra à son tour dans la pièce. Un profond soupir d’exaspération parvint aux oreilles de Novak. Elle se retourna et reconnu Akill, dans son habituelle robe bleu. Se dernier sourit en voyant Novak et lui dit :

- Et bien, en voici enfin une de réveiller ! Vous vous s’appelait Novak c’est sa ?

Novak acquiesça de la tête puis demanda à Ankill :

- Si je vous suis bien, nous sommes les deux seuls réveillés de l’équipe ?
- En tout cas, nous sommes les deux seuls présents.
- Mais quels heure est il donc ?
- Bientôt 10 heures et demie, ma chère.

Novak sourcilla au surnom employé par le rêveur. Elle ne put s’empêcher de lui rappeler qu’elle était commandante. Puis, en passant devant un miroir accrocher au mur de la salle de réunion, Novak s’aperçut de l’état de sa coiffure, et entrepris de se coiffé correctement en attendant les autres. Il ne fallu pas attendre longtemps. Le jeune dessinateur, Oderic venait d’arriver, lui aussi hors d’haleine.

- Excusez moi je vous pris. J’ai eut une panne d’oreiller.
- Se n’est rien très cher, reprenait votre souffle, et asseyiez vous vous me paraissait palot.

Oderic obéit de suite aux conseils du rêveurs. Alors qu’il était en train de reprendre son souffle, Oderic fût totalement subjugué par la beauté qui lui faisait face sur le fauteuil en face de lui. Novak Alieta, commandante de la légion noire, une femme réellement magnifique. Les vêtements qu’elle avait mise se matin, laisse voir ces courbes, gracieuses, magnifique. Le cœur d’Oderic rata un battement, lorsque son regard croisa celui de la jolie jeune femme. Tandis qu’il essayer de reprendre contenance, la porte s’ouvrit à nouveau, sur le dernier membre manquant. Kira. La jeune femme entra calmement dans la pièce, elle n’était pas essoufflé, et ne daigna pas souhaitait le bonjour à qui que se soit. Pour rompre le silence gênant qui suivi son entrée, Ankill prit la parole :

- Bien, maintenant que nous sommes tous là, nous allons pouvoir commencer à travailler.
- Oui, mais par ou commencer, pour ma part, j’ai appris se qu’était Ilfasidrel hier soir, alors devoir le trouver aujourd’hui, sa fait beaucoup. Dit Novak
- Moi j’y ais réfléchit toute la nuit. Intervint Oderic.
- Et ou ta porté ta réflexion mon cher ami ? Questionna Ankill.
- Et bien... euh... Sans doute qu’Ilfasidrel, doit être caché dans un endroit secret mais assez majestueux !

Ankill ne put s’empêcher d’imité Novak, et leva donc les yeux au ciel face à la réflexion d’Oderic. Seul Kira resta de marbre. Pour se redonner contenance, Oderic poursuivit :

- Bon d’accord, peut être que se que je viens de dire n’est pas des plus important, mais moi au moins je cherche !

Il finit sa phrase en envoyant un regard lourd de sous entendu à Kira. Cette dernière, lui rendit un regard si froid, qu’Oderic eut la chair de poule. Puis, avec un sourit assez cynique, Kira prit la parole, d’une voie toute aussi glacé que son regard :

- Et bien, pour ma part, j’ai passé la nuit à tenter de mettre la main sur l’un de mes camarades marchombre qui avait déjà travaillé sur la recherche d’Ilfasidrel.
- Et ? Ne put s’empêcher de demander Ankill.

Tout le monde, regardé Kira, suspendu à ces lèvres, près à entendre leur futur destination.

- Le pic du destin ! Finit-elle par lâchait.
Tout le monde resta interdit, Oderic lança à Novak un regard signifiant qu’il n’était pas le seul à être à côté de la plaque. Se fût Ankill qui posa la question :
- Et qu’est ce que le pic du destin ?
- Une montagne, en forme d’aiguille, avec en son sommet une grotte.
- Et cette montagne, tu sais ou elle se trouve ?
- Oui, bien sur. Moi quand je réfléchie, je ne fais pas les choses à moitié.

Elle prononça sa fin de phrase en regardant Oderic de son regard glacial. Se qui fit encore frissonner le jeune homme.

- Et ou se trouve-t-elle alors ? Questionna Novak, dont l’excitation était à son comble.
- Elle se trouve sur l’une des îles de l’archipel aline.
- L’archipel aline ! Répéta Oderic.
- Oui, l’archipel aline se trouvant dans le grand océan du sud. Reprit Kira.
- Mais c’est impossible, on ne peut pas aller là bas, c’est bien trop dangereux ! Commenta Oderic.
- L’empereur nous avait déjà dit, que cette quête n’était pas sans dangers. Répliqua Novak.
- Oui, mais bon là quand même. Il s’agit d’aller en territoire ennemi !
- Oderic n’a pas tout à fait tord là-dessus. Dit Ankill. Kira, as-tu déjà mis les pieds là bas ?
- Moi non, mais je connais quelqu’un qui y a déjà était, je pensais que l’on aurait pus aller lui demander conseil.
- Oui, il est vrai que si nous possédons une personne capable de nous guider sur place, le voyage sera un peu plus facile. Commenta Novak.
- Bien, alors si personne n’y voit d’inconvénient, je pense que nous pouvons nous donné rendez vous cette nuit pour le départ, non ? Demanda Ankill.
- Pourquoi cette nuit ? Questionna Oderic.
- Pour la discrétion Oderic ! Soupira Novak.
Kira, quand à elle inclina la tête en signe d’approbation. Puis elle dit :
- Le guide dont je vous ai parlé, habite une petite maison en bord de mer, à une centaine de kilomètres d’Al-Vor.
- Bien, alors je pense que le plus rapide, sera de passé par l’arche, puis la passe de la goule, avant de coupé par les grand plaine non ?
Tandis que Kira et Oderic approuvaient de la tête, Novak, fit signe de négation et s’expliqua :
- Non, je ne suis pas d’accord avec vous Ankill.
- A bon, et pourquoi cela ?
- Et bien, déjà, l’arche est un endroit très fréquenté, même trop fréquenté. Ensuite, passer par les dentelles vives et par la passe de la goule, offrirait à de potentiel ennemi un formidable passage obligatoire, et donc un parfait point pour une embuscade. Non, je serais plutôt d’avis de longer le grand Océan du sud.
- Cela nous rallongera énormément la route. Intervint Oderic.
- Oui, mais le chemin serait plus sur. Et puis, en longeant la route, il n’ait pas dit que l’on ne rencontre pas un pirate aline ou deux.
- Des prisonniers aline, m’a fois, pourquoi pas. Commenta Kira.
Après un bref silence, tout acquiescèrent au plan de route de Novak.
- Bien, reprit Ankill. Dans se cas, se propose que nous prenions la fin d’après midi pour nous préparer et ensuite, on se rejoint tous dans la cour arrière du palais pour le départ. A 11 heures tapante !

Oderic et Novak baissèrent la tête en entendant Ankilll précisez 11 heures tapante. Tandis que Kira se contenta d’inclinait la tête en signe d’approbation, puis elle quitta la pièce, sans adressait un signe ou un mot à personne.

- Et bien, elle n’est pas très loquasse celle là ! Commenta Oderic.
- Bah, tu c’est, les marchombres sont tous un peu mystérieux, elle est simplement comme les autres.
- Moi du moment qu’elle rempli bien sa mission, elle peut être aussi froide qu’elle veut, je m’en fiche ! Déclara Novak.
Ankill émit un grognement d’approbation, et reprit enfin la parole.
- Oui, d’ailleurs en parlant de sa, je vous laisse, je dois finir plusieurs petites tâches avant de partir. A se soir.

Sur un signe de tête des deux autres, Ankill sorti à son tour de la pièce. Dès sa sortis, Oderic, sembla prendre une assurance nouvelle.

- Et bien, nous voilà plus que tout les deux Novak.
- Pas pour longtemps, je dois aller m’entretenir avec les frontaliers qui nous accompagnerons.
- A bon ? Ben… Euh... Je pensais, enfin me disais que l’on aurait put prendre un repas ensemble vus leur qu’il ait…
Novak éclata d’un rire frais, un rire mélodieux, qui ajouta à sa beauté une touche de jeunesse.
- Désolé très cher Oderic, mais le devoir m’appelle.
Elle se dirigea vers la porte, d’une démarche féline qui laissa le jeune dessinateur pantois. Enfin, elle se retourna arriver à la porte et rajouta.
- Au fait, pour la prochaine fois, tache de te souvenir que j’adore les fruits de mers.

Puis, après lui avoir lancé un clin d’œil espiègle et un grand sourire moqueur, elle partit. Laissant un Oderic totalement hagard. Il mit plusieurs minutes à se reprendre et après un long soupir, sorti à son tour de la pièce.