Présentation d'Aristide Bashia (fini)

NOM : Bashia
PRÉNOM : Aristide
ÂGE : 71 ans
SEXE : Masculin
RACE : Humain
GUILDE OU CLAN : Marchombre

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CARACTÈRE : Aristide est un homme jovial et très sociable. Il est de c’est hommes, agréable a vivre. Cependant, il sait entretenir le mystère autour de lui et donc, bien que certain le connaisse depuis fort longtemps, ils leurs restent encore beaucoup de chose à découvrir sur Aristide. Adorant le savoir, Aristide est donc naturellement un très bon pédagogue. Il adore apprendre et se faire surprendre. Bon vivant par nature, Aristide adore mêlée au cours d’une soirée, savoir, bon vin et rire. Aristide est d’un tempérament calme, il n’aime pas se battre, néanmoins si sa vie ou celle de ces proches est en jeu, il n’hésitera pas. Il tuera. Il faut aussi ajouter, comme tout les hommes, Aristide peut entrée dans des colères noirs qui le rendent dès plus impressionnantes, surtout lorsque les spectateurs de ces colères connaissent sont âge. Enfin, l’un des grands défauts d’Aristide, est sans aucun doute, la manière si légère avec laquelle il va traiter des sujets dit important comme par exemple la victoire de l’harmonie sur le chaos ou bien encore, la fin du monde et j’en passe.
QUALITÉS/DÉFAUTS : Ces qualités et défauts sont clairement expliquer dans la description de sont caractère
GOÛTS : C’est là encore expliquer dans la description de sont caractère.

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DESCRIPTION PHYSIQUE / IMAGE : Aristide est un homme de taille moyen. Il possède encore une belle stature pour un homme de cet âge. Sont corps est fins et a conservé sa souplesse ainsi que sa force. Sa musculature est loin d’être impressionnante. Cependant, il joui d’un parfaite maîtrise de sont corps, obtenu par toutes ces années de méditation marchombre. Sinon, Aristide est mat de peau, possède de jolie yeux couleur noisette dans lesquelles brille encore une lueur d’intelligence mêlée à un éclat de malice. Ces cheveux sont coupaient court et de couleur foncés, Quelque part entre le brun et le noir. Aristide, de part son histoire, possède une aura. Une aura propre à chaque grand Homme. Oui, Aristide possède un charisme époustouflant, une maturité et une sagesse hors normes. Enfin, est-il utile de rajouter, que notre homme possède de nombreuse rides qui traduisent sont âge avancé.
PARTICULARITÉS : RAS
OBJETS, ARMES : Une jolie maison sur les bords du grand océan du sud, près d’Al-Vor. Deux jolies dagues offerte par ces enfants, pour sont soixantième anniversaire.
DON SPÉCIAL : Sa greffe.
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HISTOIRE :

Aristide est né dans la ferme fortifié de ces parents, situé à une bonne centaine de kilomètres d’Al-Vor. En plein milieu des grandes plaines. Ces parents étaient les dirigeants d’une trentaine de paysans qui les aidaient à tenir l’exploitation agricole. Issu d’une famille nombreuse, il fût le troisième garçon de la famille qui conté déjà à se moment deux filles. Quelques années plus tard, n’acquit ces deux dernières sœurs, ainsi que le benjamin de la famille, sont dernier frère. Toute sa jeunesse, Aristide la passa à jouer avec ces frères, sœurs et les enfants des autres paysans de la ferme. Puis, une fois devenu un peu plus âgé, il commença à aider les adultes dans leurs tâches à la ferme comme aux champs. Se fût aussi l’époque de ces premiers amours. C’est ainsi qu’Aristide atteint l’âge de 17 ans. Passant sa vie entourait de monde, travaillant durement et passant le peu de temps libre qu’il avait à recherché le calme et le silence sur les dentelles vives, qu’il se plaisait à escalader.

17 ans, âge décisif dans la vie d’Aristide. C’est à cet âge en effet qu’Aristide décida de quitter la ferme afin d’aller découvrir le monde. Il partit avec sont baluchon, un beau cheval blanc et noir et une épée au cas où… Il traversa les dentelles vives, et continua sa route vers Al-Jeits. Il y resta quelques temps, travaillant à gauche et à droite. Il continua ainsi sont exploration du monde, de la vie. Allant d’Al-Jeit à Al-Chen, d’Al-Chen à Al-Far, d’Al-Far à la citadelle, etc…

Cela faisait maintenant un an qu’Aristide vagabonder à travers le monde, goûtant aux plaisirs de la solitude, de l’aventure, s’extasiant devant la beauté du monde. Apprenant de nouveau savoir, apprenant à vivre. A moins qu’il ne vivait pour apprendre…

18 ans, Aristide c’était arrêtait dans une des plus belles auberges d’Al-Jeit afin de se payait un repas digne d’un anniversaire royale. Pour partageait sont repas, Aristide avait trouvé deux jolie jeunes femmes afin de partager et profiter au mieux de se moment magique. Durant le repas, le vin coula à flot et la bonne humeur fût omniprésente. Tandis que la soirée touché à sa fin, Aristide en galant homme qu’il était, se proposa de raccompagner les deux jeunes femmes jusqu’à leur quartier. Arrivant là bas, les jeunes femmes attirèrent Aristide dans un coin sombre où l’attendaient 3 hommes à l’air louche et dangereusement armé. Aristide, fort de sont expérience vus tout de suite qu’il se trouvait en fâcheuse posture. N’étant pas armé, il se mit en position de combat, position de combat apprise au contact des frontaliens. Les 3 hommes entourèrent Aristide et le combat débuta. Il esquiva un coup de couteau venant par l’arrière et envoya à sont adversaire un coup de coude dans le plexus solaire. Avant qu’il ne puisse continuer, l’un des autres hommes lui envoya un coup de dague au niveau des reins. Aristide esquiva de justesse, mais il ne pus esquiver le coup du troisième homme qui lui entailla la cuisse. Sous le coup de la douleur, Aristide ne vit pas arriver un nouveau coup de couteau qui lui perfora un poumon. Aristide s’écroula. Les 3 hommes se mirent à le rouaient de coups de bottes. Soudainement, Aristide sentit que les coups de bottes étaient moins nombreux, puis ils s’arrêtèrent totalement. Sans doute que les 3 hommes en avaient finis avec lui. Cependant, Aristide n’eut pas le loisir de vérifier sa théorie. Il était trop faible et sombra dans le coma…

Il faisait chaud, Aristide était confortablement installer dans... Un Lit ? Il ouvrir les yeux, cherchant du regard une explication. Il se trouvait effectivement dans un lit, se dernier se trouvant dans une jolie chambre aux couleurs rouge. Il n’y avait personne. Soudain, un flash se fit dans la tête d’Aristide. Un couteau de couteau lui avait transperçait le poumon. Il souleva les draps afin de constatait l’étendue des dégâts. Il n’y avait rein. De surprise, Aristide passa ces doigts à l’endroit où le couteau l’avait touché. Rien, même pas une cicatrice. C’était…

- Incroyable n’est ce pas ?

Une jeune femme se tenait là, adosser au mur qui faisait face à Aristide. Comment diable avait elle fait pour entrée dans la pièce sans qu’Aristide le remarque. La femme remarqua l’étonnement d’Aristide et lui sourit, d’un sourit plein de confiance. Elle lui dit enfin d’une voix merveilleusement mélodieuse :

- Je pense que tu n’étais pas encore assez réveillé pour m’entendre entrée.

Effectivement, c’était la conclusion à laquelle Aristide était arrivé. Cependant, le sourire de la femme qui lui faisait face lui laisser pressentir qu’il y avait autre chose. J’ébrouant mentalement, Aristide sourit à la femme qui devait sans doute être sa mystérieuse sauveuse et lui dit :

- Permettais moi de vous remercier de votre aide madame, sans vous, je serais sans doute mort à leur qu’il est.

La femme lança un sourire en guise de merci à Aristide, puis tout en se décollant du mur, elle vint vers lui, d’une démarche incroyable. Sur le coup, Aristide crût à une rechute. Mais il n’en était rien. La jeune femme avançait toujours vers Aristide, le sourire aux lèvres, d’une démarche mit féline, mi… autre chose. C’était difficilement qualifiable. Si Aristide aurait du définir sa manière de se mouvoir, il aurait sans doute reprit une expression, qu’un de ces amis frontaliens lui avait enseignait. Elle était dans le temps ! Tandis qu’Aristide était perdu dans ces pensées, la jeune femme était maintenant proche de lui et commençait à l’examiner. Enfin, elle lui dit :

- Vous me semblait encore faible, reposez vous, je viendrais vous apportais à manger tout à leur.
- Merci… Madame.
- Oh, tu peux m’appelais Fraya.
- Uniquement si vous acceptais de m’appelais Aristide.

La jeune femme sourit et partit en direction de la porte. Elle ouvra cette dernière, et avant de disparaître, elle lui murmura de sa voix si douce et mélodieuse :

- Très bien, alors à tout à l’heure Aristide.

Se dernier, comme berçait par la voix de Fraya, s’endormie sans même pouvoir lui répondre. Lorsque qu’Aristide se réveilla, la journée devait déjà bien être entamait, car il filtrait une puissante lumière par les rideaux de la chambre. Aristide se sentait bizarrement, extraordinairement bien pour quelqu’un qui avait failli mourir. Il se leva, s’étira et pris des vêtements neuf, que Fraya avait du déposait là à sont attention. Une fois, qu’il eut revêtu la jolie chemise de lin blanche et un pantalon noir, Aristide sortie de sa chambre. Il se retrouva dans un petit couloir, au bout duquel, se trouvait un escalier qui descendait au rez de chausser. C’est d’un pas encore un peu hésitant, qu’Aristide descendit les marches de l’escalier. Il arriva dans une belle pièce à vivre, ou il put voir poser sur la table, un plateau repas sans doute pour lui. Aristide s’avança dans le séjour vide. Quand soudain, une voix, non SA voix retenti dans sont dos.

- Alors, bien dormis Aristide ?

Il se retourna vers l’origine de la merveilleuse voix qui l’avait accompagné durant ces rêves. Et il fût forcer de constater que la voix était en parfaite harmonie avait la jeune femme à qui elle appartenait. De taille moyen, Fraya possédait de magnifique cheveux brun bouclé et des yeux vert en amande qui avaient du faire chaviraient de nombreux cœur. Ces lèvres étaient fines, elles paraissaient douces et soyeuse. Une soudaine envie de l’embrasser monta en Aristide. Se fût les joue en feu qu’il répondit à Fraya :

- Oui, merci se sommeil ma fait un bien fou.

Fraya lui sourit ravi de sa réponse. Le cœur d’Aristide s’emballa. Elle s’avança vers lui, c’est courbe était parfaite, ni trop exagéraient, ni trop masculine. Fraya respirait la féminité. Elle semblait aussi douce dans ces mouvements que dans sa voix. Elle arriva à côté d’Aristide et l’invita de la main à s’installer pour déguster sont repas. C’es totalement abasourdi par la belle et douce Fraya, qu’Aristide s’assit bien maladroitement et entama sont repas. Fraya le regarda manger, le couvent des yeux et lui apportant tout se qui lui manquait avant même qu’il ne lui ait demandé. Se fût une fois sont repas engloutie et la vaisselle faite que Fraya vînt s’assoir à ces côté pour discuter. Ils étaient assis dans un canapé, proche de la cheminée qui à se moment de la journée était éteinte. Se fût Aristide qui rompit le silence.

- Euh Fraya, je me demandais, euh… Comment, comment à tu réussi à me soignais sans me laisser aucune cicatrice.
- Avoir des amis peut aider Aristide. Et il se trouve, que dans mes amis, je compte un rêveur qui me devait un service alors… Voilà.

Elle lui avait parlé de sa voix douce et mélodieuse et avait conclut sur un sourire si doux, qu’Aristide se fichait totalement de savoir, se que Fraya avait bien put faire pour qu’un rêveur est une dette envers elle.

- Tu sais Aristide, sa fait un moment que je t’observais.
- Que…Quoi... Comment ?

Fraya sourit devant l’incompréhension du jeune homme. Un rire frais, cristallin. Et toujours aussi doux que sa propriétaire.

- Oui Aristide, cela fait un moment que je t’observe, que je te suis au travers ta… « découverte du monde ».

Aristide ouvrit des yeux ronds comme une soucoupe à cette annonce. Cependant, il fût trop abasourdit pour dire quoi que se soit. Se fut donc Fraya qui repris.

- Si je t’ai suivi, c’est pour une simple raison. Une raison qui tient dans un mot.

Un silence s’installa. Aristide attendait l’explication de Fraya. Cette dernière le regarda droit dans les yeux et lui annonça :

- Marchombre.

Se fût là, le tournant de la vie d’Aristide. Lui qui avait tant voyageait, lui qui avait vus tant de chose. On lui proposait une aventure unique, une voie à arpenter. On lui montrait une possible dans sont avenir. Marchombre. Se fût se jour, après avoir frôlait la mort, qu’Aristide rencontra Fraya Malbuit, maître marchombre. Fraya devînt sont maître, Aristide devînt l’élève. Cette constatation, fuis à l’origine de la première poésie d’Aristide. Cela faisait 6 mois, maintenant qu’il était devenus l’apprentie de Fraya. 6 mois durant lesquels, il comprit l’expression, l’habit ne fait pas le rêveur ! Fraya paraissait douce, fragile et tellement féminine. Qu’elle ne fût pas sa surprise lorsqu’il la vus pour la première fois entrée dans le rôle du maître. De douce, elle devint intraitable, de fragile, elle devint dure. De féminine, elle devint maître. Oui, Aristide écrivit sont premier poème après seulement 6 mois auprès d’une marchombre. Marchombre chevronnait certes, mais cela n’était pas la raison pour laquelle Aristide c’était si rapidement avancer sur la voie de l’harmonie. Sur la voie du marchombre. Pour lui, c’était l’amour. L’amour pour cette femme qui pour le moment était son maître. Ils venaient donc de rentrée, d’une éprouvante sortie nocturne comme Fraya en avait le secret. Après avoir dû sauter, grimper, courir, se battre et recommencer inlassablement jusqu’à se que Fraya soit satisfaite. Aristide et Fraya était rentré dans un appartement que possédait la marchombre dans l’Al-Jeit. Aristide n’arrivait plus à cernait Fraya. Elle venait de lui proposer si gentiment de s’assoir et de se reposer tandis qu’elle lui préparait un repas, alors que quelques minutes avant, elle avait voulut lui trancher la carotique lorsqu’Aristide lui avait dit qu’il voulait abandonner le combat qui l’opposer un à ivrogne. Se fût le déclic dans la tête d’Aristide. Il se saisi de sa dague et traça dans le bois, ces mot :

Une femme, un homme,
Un maître, un élève,
Etre unique, Harmonie…

Lorsque Fraya arriva avec le repas, Aristide pris sa part et partis par la fenêtre se réfugier tout en haut de la tour. Il avait lançait un regard dans lequel Fraya put y lire un simple merci. Un merci profond, un merci sincère. Tandis qu’elle méditait là dessus, sont regard tomba sur le poème de sont apprenti. Une larme unique roula sur sa joue, elle se saisit de là dague et écrivit en dessous du poème de sont élève :

Voie de l’harmonie,
Voie de l’amour,
Deux voies, pour un but unique, liberté…

Le temps passa, Le maître et élève filait le long de la voie, amour et harmonie. Aristide fût un élève comme aucun maître n’aurait voulu. Il n’était pas brillant, il était lumineux. Lorsque Fraya voulait lui montrer le chemin qu’il lui restait à parcourir pour la rattrapait, Aristide lui montrait qu’elle était déjà en retard. Certes Fraya était loin d’être la plus grande marchombre de la guilde, cependant elle était une marchombre accomplie et reconnu par ces pairs. Aristide passa sans encombre, toutes les formalités de la guilde. Il eut sa greffe sans surprise pour Fraya. Se qui là surpris, fût qu’Aristide n’avait jamais parlait de sa greffe à Fraya. Il s’était contenté de lui dire qu’il l’avait obtenu. Et pour cause, au moment, où fraya venait vers lui pour sa voir, lui qui croyait se l’être fait refuser, il lui arriva quelque chose d’assez « étrange ». Il vit fraya s’approchait de lui, dans sont habituel tenu de cuir noir, quand tout à coup, les vêtements de fraya devinrent aux yeux d’Aristide transparent. Le rouge lui monta de nouveau aux joue, et il essaya de cacher tant bien que mal sont embarra à sont maître. Ne voulant pas s’attardait sur le « type » de greffe qu’il avait reçu, il se contenta de dire qu’il l’avait eu. Avec de la pratique, Aristide arriva à contrôler ces pupilles. Le Rentaïs lui avait donc octroyait des pupilles, capable de voir à travers la matière. Et pas seulement les vêtements. Non Aristide pouvait voir à travers le bois, le métal, etc... Bien sur, sa greffe avait des limites. Il ne fallait pas que la matière soit trop épaisse…

C’est ainsi qu’Aristide termina sont « apprentissage ». Une fois se dernier terminer, d’Aristide ou de Fraya, bien malin était celui qui aurait put dire qui était le maître. Bien que les 10 ans de plus de Fraya lui apportait une expérience qu’Aristide ne pouvait combler par le talent, se dernier faisait preuve de compétence inédite aux yeux de Fraya. Malgré tout, Aristide ne pouvait pas être doué partout, s’il y avait bien une chose pour laquelle il n’était pas doué, c’était le combat. Bien sur, le terme doué était très vague lorsque l’on parlait d’Aristide. Disons simplement, qu’il n’était pas plus doué que la moyenne des marchombres dans se domaine. Et que le fait de ne pas aimer sa, rendait difficile pour lui, la progression dans se domaine. L’une des premières choses qu’Aristide fit, lorsque Fraya le libéra de ces « chaînes », fût d’aller rejoindre sa famille, une famille, qu’il n’avait pas vu depuis longtemps. Lorsqu’il arriva là bas, tout se passa comme il l’avait pressentit. Se fût sa plus jeune sœur qui le reconnut. En quelque seconde, tout les paysans de la ferme, stoppèrent leurs travaux et virent étreindre Aristide. Certain, dont sa mère avait pensé au pire, il l’avait crut mort. Aristide appris, avec joie, que ces deux plus vieux frère ainsi que sa plus vieille sœur, c’était marier. Et même, que l’aîné de la famille, avait agrandi cette dernière, en offrant une jolie petite fille. La fête qui suivi le retour d’Aristide dura une semaine entière ! Une semaine ou les vins coulaient à flots, et ou la nourriture, était omniprésente et en quantité gargantuesque. Aristide, goûtait avec plaisir, à ces retrouvailles. Cependant, il sentait tout au fond de sont cœur, que sa place n’était pu ici. Il le savait, d’ici quelques jours, il repartirait, telle était sa destinée. Aristide était devenu, une âme errante, sur le chemin de la vie. Il n’en éprouvait aucun remord, il était heureux de sa vie, heureux de se qu’il avait pu apprendre et désireux d’apprendre d’avantage. Et Puis, il voulait voyageait, avec l’espoir, que sa route rencontre rapidement celle de Fraya…

Aristide partis à peine dix jours après être rentrée « à la maison ». Il quitta les siens, leur expliquant que sa vie n’était pas ici, qu’il était encore plus désireux de parcourir le monde, plus que la première fois qu’il était partit. Sa mère le savait, cela ne l’empêcha pas de versait une larme lors de sont départ. Trois ans, Aristide voyagea au grès de ces envies durant trois longues années, s’arrêtant de temps à autre dans la ferme de ces parents, appréciant les instants passés avec ces frère, ces sœurs mais aussi ces neveux et nièces. Aristide avait revus fréquemment Fraya. Leur relations, en avait d’ailleurs évoluaient. N’étant plus maître et élève, mais étant simplement deux marchombres, il avait appris à se redécouvrir. Leur relation, devint même des plus ambigus. Pas tout à fait amoureuse, mais bien plus qu’amicales. Il fallut donc ces trois années à Aristide pour se décider. Pour se décidait à enfin, se mettre à enseignait. Sont choix c’était portait, sur un jeune homme qu’il avait rencontré lors d’une mission qui consistait à protéger un convoi. Un jeune homme de taille moyen, musclé mais pas à outrance. Un jeune homme dont les yeux sombre comme la nuit, brillait d’une joie de vivre incroyable. Il était souple, rapide et possédait un esprit rebelle qui plus tout de suite à Aristide. Il s’appelait Ollid Nil'Sadi. Ollid fût donc le premier apprenti d’Aristide. Et qu’elle apprenti fût il. Un excellent marchombre qui volait littéralement sur la voie. Un apprenti qui eut pour maître, un marchombre d’exception, Aristide. Il était encore jeune, 24 ans seulement pourtant, il dégageait un charisme, une sagesse qui faisait de l’ombre à celle des maître marchombre siégeant au conseil. Comme toutes personnes possédant des dons aussi fabuleux, Aristide avait lui aussi sa part de folie. Ollid l’appris à ces dépends. En effet, cela faisait seulement quelques semaines qu’Ollid était devenus l’apprenti d’Aristide. Se dernier, avait décidé d’emmenait Ollid, aux dentelles vives, afin d’évaluer ces capacités d’escalade et de désescalade. Aristide choisi bien sur une falaise des plus abrupte et donc des plus difficile même pour un marchombre confirmé. Ollid escalada la falaise avec énormément de difficulté, tombant à plusieurs reprise et se faisant rattraper in-extrémiste par Aristide à chaque fois. Il lui fallu pas loin de trois jours pour réussir à arrivé en haut de la falaise. Tandis qu’Ollid reprenait sont souffle en regardant la magnifique vison qui s’offrait à lui, Aristide c’était approchait dans sont dos. Il lui murmura :

- Magnifique endroit n’est ce pas ?
- Oui, je ne regrette pas d’être monté jusqu’ici !
- Malheureusement mon cher apprenti, il va falloir redescendre et tout de suite !

Ollid, regarda sont maître dans les yeux essayant des trouvaient une quelconque farce. Malheureuses pour lui, Aristide ne plaisantait pas et Ollid allait devoir désescalade la falaise. Il n’avait jamais entreprit se genre d’exercice et surtout pas sur des versent de falaise aussi abrupt. Sentant sont élève hésitait, Aristide s’approcha encore de sont élève et comme pour le décidait à s’élançait, Aristide poussa directement Ollid dans le vide.
Cette anecdote, avait valut à Aristide le surnom de maître fou de la part d’Ollid. C’est donc de cette manière, qu’Aristide finit de formé sont premier marchombre. Un formidable marchombre qui fut approuvait par c’est pair comme sans doute l’un des futurs tout meilleurs marchombres.

27 Ans, c’est à 27 ans qu’Aristide refusa pour la première fois un poste de maître marchombre du conseil. La raison lui était simple. Il n’avait pas encore assez voyageait, il n’avait pas assez vus et découvert de merveille dans se monde pour se permettre de restait siégeait à un conseil toute la journée. Il continua donc sont exploration du monde, s’arrêtant quelques fois à la ferme familiale, saluant les anciens, découvrant les nouveaux. Profitant quelques autres fois de merveilleux moment avec Ollid ou avec Fraya. D’ailleurs, les relations unissant Fraya et Aristide avait prit un nouveau tournant, et il était rarement maintenant pour Aristide, de ne pas voir Fraya au moins une fois par semaine. Cela continua ainsi durant encore deux ans. Deux années merveilleuses, qui firent malgré tout bien pâle figure, avec l’annonce, la demande de Fraya. Un mariage ! Fraya voulait s’unir avec Aristide et se dernier en était devenu l’homme le plus heureux du monde. Cependant, Aristide et Fraya souhaitaient gardé cette particularité pour eux. Se fût donc uniquement entouraient de leur famille respective et de quelque uns de leur meilleurs amis telle que Ollid, qu’ils célébrèrent leur mariage, dans la ferme familiale. Un an plu tard, Aristide las de courir le monde avec sa femme, décida d’accepter la proposition du conseil et entra donc comme maître marchombre. Il s’installa dans un magnifique appartement suspendu au dessus de la rivière d’Al-Jeit avec Fraya. Bien que cette dernière partait de temps à autres changeait d’air comme elle disait, leur vie devint assez calme tout en restant loin d’être monotone. Aristide débordait d’idée plus farfelus les unes que les autres, et Fraya, étant assez téméraire se trouvé toujours partante… Le couple vécu une parfaite idylle durant 15 longues années. Durant ces 15 longues années, Aristide et fraya eurent trois enfants. Achille l’ainé, Tolèhen la seconde et Théobald le petit derniers. Malgré ces années de bonheur, en famille, Aristide commença à se lassait d’Al-Jeit, se lassait de la société, de la foule. Il se lassa même de la guilde, de ces pseudos membres qui généralement aimaient venir lécher ces bottes. Non, décidément, Aristide était las de cette vie et lorsqu’il en parla à Fraya, il vit s’allumer dans ces yeux, cette flamme qui à l’époque ne la quittait jamais. La flamme de l’aventure. Quittant tout du jour au lendemain, Aristide et sa petite famille allèrent s’installer dans une charmante maison de pierre, avec une magnifique vu sur l’océan du sud et proche d’Al-Vor pour que leurs enfants puis aller en ville sans avoir à partir en périple durant plusieurs jours. Aristide était alors âgé de 45 ans. Sa femme Fraya 55 et leur enfants avaient respectivement 13, 10 et 7 ans.
Leurs vies, se déroula comme un long fleuve tranquille, certes, il ait bien arrivé une ou deux fois quelques petites péripéties avec un tigre des prairies, ou avec quelques pirates alines des plus enhardie, mais rien qui ne puis inquiéter notre belle famille. Aristide emmenait fréquemment ces enfants, à la ferme familiale. Leur laissant ainsi découvrir leur famille, leur cousin, cousine, oncle et tante. Il arrivait aussi de temps à autre que Fraya ou Aristide quitte le foyer conjugal pour quelques mois, afin de partir à la découverte du monde, comme il se plaisait à le dire. Les années passèrent donc ainsi. Puis vint le jour ou Achille, l’ainé se trouva en âge de quitté le foyer. Puis se fût le tour de Tolèhen, elle fût rapidement suivi par Théobald. Aristide et Fraya, goutèrent à quelque chose qu’il n’avait plus connus depuis longtemps. La solitude. Mais aussi la peur, la peur de se qui pourrait arrivait à leurs enfants. Les deux anciens maître marchombre, eurent du mal à accepter cela, ils eurent encore plus de mal, lorsqu’un matin, un garde d’Al-Vor vint leur portait une nouvelle des plus cruel. Achille, leur fils ainé, celui qui avait héritait des talents de combattant de ces parents, avait péri au combat, sur le champ de bataille, face à une horde de raïs. Se fût sans doute la période la plus difficile pour Aristide et Fraya. Afin de pouvoir encaisser se coup dur, et pouvoir reprendre leur vie, les deux maîtres marchombres, prirent congé l’un de l’autre durant quelque temps, quelques temps de solitude, ou chacun alla puisait dans la source de la vie sont réconfort, et la force nécessaire de poursuivre sont existence. Puis la vie reprit c’est droit. Tolèhen leur fille, se maria durant leur absence et venait de mettre au monde un joli petit garçon, leurs premiers petit fils. La vie en était ainsi. Se fût en autre fait majeur, qu’Aristide souffla c’est soixante bougie, entourait de sa femme, sa fille, sont fils et les deux petit enfants que sa fille lui avait donnait. Il reçu d’ailleurs à cet anniversaire, un magnifique cadeau. Un pair de dague magnifiquement sculptés. Mais le malheur rodé toujours sur la famille d’Aristide. Se dernier, ne tarda pas à réapparaitre, un an après sont soixantième anniversaire, Aristide enterra sa femme. Elle était décéder de mort naturelle, à l’âge de 71 ans. Depuis se moment, Aristide reprit sa vie de marchombre, n’oubliant pas quand même d’aller saluer sa famille à la ferme, s’arrêtant à la taverne de sa fille à Al-Vor et croisant de temps à autre sont fils…

Aristide, venait de rentré la vieil au soir, d’un long périple, et il comptait bien profiter un peu du confort de sa magnifique maison, face à l’océan pendant quelque mois. Mais quels ne fût pas sa surprise, lorsqu’il entendit frapper à sa porte. Allant ouvrir, il reconnut immédiatement Ollid, sont premier apprentie. Après se très chaleureuse salutation, Ollid présenta à Aristide, sa nouvelle apprentie, une jeune fille des plus doué d’après Ollid. Elle se nommé Iris Izeur. Et le moins qu’Aristide puis dire, c’était que la jeune fille n’était pas des plus commodes. Déjà, ces long cheveux blanc ne passaient pas inaperçu, mais ces yeux, avec leur petite particularité, ne cessait de rendre la demoiselle fascinante. Aristide sourit, devant le fort caractère de la jeune fille. Il pensa qu’elle ressemblait beaucoup à Ollid, sans doute aussi beaucoup à lui. Il éclata littéralement de rire, lorsque la jeune fille commença à lui confier, qu’elle avait des doute quand à la santé mentale de sont maître. Elle lui raconta, que se dernier, pour lui apprendre à descendre une tour, l’avait gentiment mais surement poussait dans le vide. Devant les larmes de bonheur qui perlait dans les yeux d’Aristide à l’évocation des mésaventures d’Iris, cette dernière en conclut que sont maître était aussi fous que se vieux marchombre… Ollid décida de restait une petite semaine dans la maison de sont ancien maître. Une semaine, pendant laquelle, Iris n’eut pas un mais deux maîtres. Suite un soir à une discussion avec Ollid, se dernier lui avait demandé de l’aider à dompter sa jeune apprentie. Aristide s’occupait généralement d’enseignait à Iris des choses qui au premier abord pouvait paraitre d’une banalité des plus ennuyeuse. Mais, Aristide, fort de sont expérience, savait qu’Iris aurait un jour besoin de ces conseils. Se fût le dernier jour, peu de temps avant qu’il ne part, qu’Aristide consenti à montrer quelque chose d’incroyable à iris. Cette dernière, était en plein méditation marchombre, lorsqu’Aristide vint à elle. Après une discutions des plus animé, comme il en était devenu coutume, Aristide montra à Iris, l’importance de l’écoute. Ecoutait le vent, les arbres, les pierres ou bien encore l’eau. Iris éclata de rire et répliqua qu’il n’y avait rien à faire, qu’Aristide et Ollid étaient tout deux bel et bien fou. Puis, comme pour appuyer se qu’il venait de dire, Aristide s’approcha de l’océan. Il commença à tremper ces pieds dans l’eau. Enfin c’est se que crut iris, mais que ne fût pas sont étonnement, lorsqu’elle s’aperçut qu’Aristide n’était dans l’eau, mais sur l’eau ! Il marchait littéralement sur l’eau. Il conclut sa démonstration en rappelant à Iris, que l’important était de toujours écouté se que les choses avait à dire, et lorsque le marchombre devient ami avec ces dernier, alors, il pourra se révélait capable de prouesse des plus incroyable. Se fût sur ces mots, qu’Iris repartis avec Ollid. Se fût la seul fois, ou Aristide rencontra la jeune marchombre. Il fut des plus ravi, lorsque quelques années, sont amies le vent, lui apporta un message des plus surprenants. Iris Izeur venait de se voir attribuait la greffe par le Rentaïs. Arisitide offrit sont plus beau sourire à sont ami le vent, et lui confia un message. A des milliers de kilomètres de là, Iris, était en au sommet de la fameuse montagne, le rentaïs. Alors qu’elle était terriblement épuisait après les événements qui lui permirent d'obtenir la greffe, un courant d’air froid, s’engouffra dans sa tête. Une sensation étrange s’empara d’iris, comme si le vent lui souffler des félicitations. Iris sourit au ciel, pui avec un léger sourire aux coins des lèvres ele descendit rejoindre Ollid qui l'attendait plus bas.

Ensuite, Aristide ne connus rien de bien extraordinaire, il continuait sont exploration du monde, comme il l’avait nommé il y a bien longtemps. Et il était ravi de voir, que chacun de ces voyages, lui apportait toujours quelque chose de nouveau. Aujourd’hui, âgé de 71 ans, Arisitde pourrait se faire vieux, mais, cela n’est pas vraiment le cas. Pourquoi, tout simplement parce qu’il est et resteras à jamais, un enfants en quête du savoir. Un apprentie marchombre pour l’éternité…




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AVEZ-VOUS LU LES RÈGLES ? : Oui
PREUVE : Juin
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Deuxième perso d’Oril
REMARQUES : Bah la guilde des marchombres et temporairement fermé donc… Sinon, je me suis améliorer depuis Oril, cette fois ci, j’ai utiliser le formulaire conventionnel
IDÉE D'AMÉLIORATIONS ? : Ré-ouvrir temporairement la guilde des marchombres ???

MON presque "grand père!" XD OUAIIIIS!!!

(Bon je vais lire xD)

lol
Je te souhait une bonne lecture^^

Et j'ajoute au passage, que je cherche activement une image représentatif de papi

Mais qui voilà

Ce bon vieux Oril On te reconnait tout de suite part ton style d'écriture^^.
Deux personnages ce n'est pas trop dur à gérer pour toi? J'espère que non, on pas as finis de RP ensemble (je me sens machiavélique ce matin, mais je ne sais pas pourquoi)

Ne t'inquiéte pas, les rp que je ferais avec Aristide seront beaucoup mon nombreux^^

Aristide est un perso "secondaire" qui me permet de changer littéralement de point de vue et si tu lis bien, tu verras qu'il est totalement axer sur un autre style de rp que Oril

hahaha !! Ce bon vieux grigou qui fait des siennes ! Ainsi donc tu nous as fais honneur d'un marchombre ce coup-ci? Fort à ton aise; je me demande quoi lui réserver maintenant

Oril, le retour ^^
Tu as fait l'équivalent inverse de moi avec Raffli'sh... Je lirai ton histoire en détail quand j'en aurai le temps ;p
Sur ce, bon rp !

Je sens que la bataile Chaos vs Harmonie approche..

ho!Un marchombre je n'aitais pas encourent que la guilde êtais reouverte!

Hum non... elle ne l'est pas. Lui c'est juste un cas spéciale à définir (c'était prévue d'avance)

Dommage j'aurer aimer avoir un nouveaux maitre et terminer ma formation.

Bienvenu à moi! 0_0

Oui je sais.... mais bon

Sinon, je suis toujours à la recherche d'une image pour papi!

J'ai hate de rencontrer papy Aristide.... xD je vais bien m'amuser!

.J'aillais luis s'aitais la bienvenu,alord qu'il est en qu'elle que sorte plusn ancient que moi

lol, oui d'un certain côté, papi est la depuis longtemp :p

Sinon, iris pour rencontrer papi en rp faudrait déjà réussir à lui trouver une image

Oui oui je sais!

Ro la la! Tu crois que c'est facile quand on te kidnap? XD

Double poste oblige...





Bon pour l'instant j'ai ça ^^

le second ! le second ! le second !

Rhaaa vous allez me provoquer une attaque cardiaque, bande de marchombres !!!

Vu l'histoire et votre complotage dans mon dos chuie obligée de l'intégrer à une guilde surpeuplée

fait pas la tête Eo^^, celui-là était prévue avant la fermeture me semble-t'il.

(Mesdames et messieus, merci d'être venue si nombreux en secret pour cette nouvelle affaire. Alors qui allons nous désigner pour remplacer l'administratrice actuelle? x)

Et bien pour le moment, entre les deux photos présenté, bah je ne sais vraiment pas^^
La première, le perso me semble un poil trop vieux
Pour la seconde, le perso fait "méchant" et ne correspond pas tout à fait à ma description^^

Dans le doute, en attendant, je vais mettre une ptit photos qu'un de mes coloc ma trouvé^^ (je suis obliger sinon il va me frapper )

Avant de gaffé, (oui, je sais sa m'arrive assez souvent )
Je suis bel et bien validé?

Enfer et madame au ski ! Tu m'obliges à utiliser la maniere fort !

Par le décret administratif n°xx, et en vertue des lois sur la consommaton d'herbe à chat après 22 heure, JE TE VALIDE

Gloire à toi, ho grand modérateur corompu!
Que ta voix, qu'elle quelle soit, t'emmenais au paradis de la sagesse, gentillesse et la coruption infini!

Tu vas me faire rougir surtout que je n'y vais pas de la main morte dans le duel (oui je l'écris)