Convoie Al-Far/ Al-Chen

Atelée à sa tache sous le soleil brulant, Faigane repensait machinalement à une question qu'un confrère lui avait posé: "Pourquoi incorporer du sang dans tes bijoux? C'est un peu gore non?". Effectivement c'est une pratique plus que bizzare, mais bon, elle trouvait cela jolie. Retrouvant alors une fiole provenant d'un donnateur ou d'un client qui en avait fournis en surplus, elle versa minutieusement son contenue dans un trou minuscule de l'émeraude, laissant apparaitre lentement l'image d'un phenix aux ailes déployées. Tres satisfaite du résultat de ces heures de travailles, elle reboucha le trou, et rangea la pierre dans une petite boite.

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Le gros nuage de poussière accompagné de martèlement de sabot avait inquiété tout le convoie. Et lorsque la silhouette des cavaliers se distingua, le chef hurla de se mettre en formation de défense.

* Sa tombe bien j'avais besoin de faire des petites réserves.*

Attrapant un cheval au passage, Faigane alla se positionner au devant avec le gros des troupes; marteaux en main, ses entrainements particuliers chez les Thüls allaient faire leurs preuves...

Derrières eux, le convoie continua en direction du défilé.

[ Hors-jeu: j'ai l'impression que Faigane est un peu morbide sur les bords, non?]

Un martèlement sourd se fit entendre de plus en plus fort. Cela inquiétait sérieusement le convoi. Mais lorsque l'identité de l'origine du bruit fut formelle, le chef demanda la position de combat. Shania, qui devait être hors de combat, se plaça dans la chariot en regardant les lignes de combat se former...

Elle aurait préféré qu'aucune bataille n'ai lieu, mais elle était inévitable...


Elle regarda les lignes de combat se former lentement (c'était son impression), chaque personne rejoignant sa place; et elle se mit à avoir des pensées macabres du style de : *combien sont-ils?* ou encore *combien restera-t-il de personnes après le combat ?* et j'en passe. C'était là toutes les pensées qu'elle avait à la veille d'une bataille. Elle se cala entre deux caisses et attendit les premiers bruits indiquant le début de la bataille...

Des cavaliers approchaient dans un nuage de poussière. Apparemment, leurs intentions étaient belliqueuses. Barahir ne s'était pas trompés.
"Les voilà," murmura-t-elle, plus pour elle-même que pour Cuian, qui était à ses côtés.
Quand le chef de convoi lança des ordres pour que les chariotss conrinuent la route tandis que l'escorte s'arrêterait pour intercepter les poursuivants, elle perçut une ombre de désaccord sur la physionomie de Cuian. Elle suivit son regard et vit, elle aussi, ce qui attendait la caravane. Des mercenaires... Un sourire farouche étira les lèvres de la Faëlle tandis qu'elle tirait ses dagues. Elle bondit, refusant de rester à l'arrière quand les combats les plus intéressants se trouvaient en tête de convoi. Une pluie de flèches s'abattit sur l'escorte comme elle s'élançait vers l'avant, mais elle ne s'en inquiéta guère ; Cuian avait plongé dans les Spires pour repousser les projectiles acérés à l'aide de bourrasques.
Courant avec légèreté, elle voyait les mercenaires se rapprocher de plus en plus, immobiles, attendant de pied ferme...

Des cavaliers approchaient. Ils étaient qu'une dizaine mais ils ne ralentissaient pas. Le maitre de convoi lança des ordres et les soldats se placèrent à l'arrière des chariots.
*Je sens le piège*
Le convoie avançait mais il s'arrêta bientôt car un autre groupe de cavalier apparu devant le convoi. Des archers étaient positionner en hauteur et commençaient à nous bombarder de flèche.
*Mercenaires....*

Je lança mon cheval au galop en cherchant Cuian des yeux. Il essayait de dessiner, je le voyait à son regard absent. Eryndel attendait les mercenaires. je lança mon cheval à la rencontre des mercenaires qui nous attaquaient de front. Ils étaient très nombreux et malgré mon entrainement je doute survivre face à des dizaines de mercenaires.

[ je fais juste un ptit rapel, Iris et Vel j'attend vos rp pour pouvoir poster. Sinon, je respecterais dans mon rp l'ordre dans le quel vous avait poster pour le combat. Enfin, j'ajoute que si certain aimerait quelque chose de "spéciale", ils peuvent me contacter par mp afin que l'on voit sa ensemble ]

[ Ha zut Vel^^ l'enemie étant des tueurs de marchombres, Oril a dit qu'ils étaient 40, contre 45 de notre côté sans nous compter (sinon 50) Par contre les forces de frappes sont effectivements inégale xD]

Iris se releva vivement. Des bruits de sabots au galops. L'attaque commencé elle en était sur. Balançant les navets et pommes de terres elle traversa la pièce en courant. Passant devant les itinérants sans leur accordé un regard elle se précipita vers sa couchette et en tira son sabre et son habit de cuir noir. Elle les regarda longuement et se déshabilla. Elle enfila sa tenue fétiche et tira son sabre de son fourreau. Elle attacha ses cheveux en une lourde tresse. Elle raccrocha sa ceinture ou pendait ses poignard et sortit de la pièce.
Des yeux tournèrent vers elle. La cuisinière était devenue une redoutable guerrière. Mais elle était plus que ça. Marchombre disais sa démarche, ses postures, son regard.

La jeune femme chercha des yeux le groupe de mercenaire. Le voyant un rictus déforma sa bouche. Oril Taurop était la. Elle le savais. Les chevaux était tous montaient. Apercevant le deuxième éclaireur passer prêt d'elle elle sauta derrière lui.

-Désolé pas trop le choix. Dès qu'il seront la je sauterais.

(J'espère que c'est bon =s? )

Un sourire dès plus malsain, barrait le visage d’Oril. Il était réellement heureux. Sont stratagème fonctionnait à merveille. A l’arrière du convoi, le groupe de défense était au prise avec la dizaine de cavalier qu’Oril avait envoyé, dix excellent guerriers dont ces deux lieutenants. En haut des gorges, se trouvait les quelques archers qu’Oril avait prévu, et chose qu’il n’avait pas prévu au début, ces archers se trouvait commander n’ont pas par un de ces lieutenants, mais par Van Drakken, un mentaïs ! Enfin, en bas, à l’entrée des gorges, Oril et le gros de sa troupe attendais de pied ferme le convoi. Oril eut un sourire encore plus grand lorsqu’il aperçu que le convoi n’avait pas jeter toutes ces forces à l’arrière, en effet, quelques guerriers, se trouvait à l’avant du convoi. Oril se félicita d’avoir accepté l’aide de Van Drakken, car lorsque ces archers eurent commencé leurs œuvres de mort, des bourrasques de vent violent se soulevèrent et balayèrent les flèches. Un dessinateur, il posséder donc un dessinateur ! Oril leva là tête vers la position de Van Drakken et vus que se dernier c’étais déjà atteler à la tâche de détruire le dessinateur adverse.


Van Drakken, aperçu à l’entrée des gorges le début du convoi ; Avec un plaisir non dissimuler, il ordonna aux archers de tiraient. Six, six hommes tendirent dans un même mouvement la corde de leur instrument de mort. Six, six flèches mortellement ajuster furent tirer en même temps. Van Drakken fût impressionner par le professionnalisme des hommes d’Oril.
*Une véritable machine à tuer* Pensa-t-il.
Cependant, aucunes des six flèches ne trouva sa cible. En effet, un vent violent fit sont apparition et balaya les flèches. Van Drakken perdit instantanément sont sourire. Il l’avait senti, c’était un dessin. Tandis que ces archers réitérer leur tire, Van Drakken alla se positionner dans les spires. Il l’aperçu tout de suite. C’était un jeune homme avec un drôle habillement. Van Drakken sourit, et sortis des sbires quelques secondes afin de voir le résultat du dessin de sont adversaire. Se dernier avait encore repoussé les flèches des archers. Et tandis que ces derniers retiraient une volée, Van Drakken produit un dessin très fin, une véritable œuvre d’art, emprunt d’une finesse absolu. En effet, Van Drakken avait simplement imprégner les flèches de sa volonté, afin qu’un simple vent ne puisse pas les balayaient. Le dessin étant très fin, il n’y avait peu de chance que sont adversaire le remarque. Ces donc avec une certaine ironie marquer sur le visage, que le mentaïs attendait de voir le résultat.


Pendant se temps, à l’arrière du convoi, on se préparer à la bataille. Le choque fût très violent. Les cavaliers se percutèrent avec force. Hans, l’un des lieutenants d’Oril n’avait pas était le moins du monde secouer par le choque. Et à peine fût il au contact de l’ennemie que sont sabre commença à danser entre ces mains. La danse était magnifique et les coups mortels. Un homme tomba, une plaie béante au cou, suivi de près par un autres, un trou dans la poitrine. Et tandis que les minutes filer, se fût non pas deux, mais trois, quatre, cinq hommes qui tombèrent. Bien que les soldats du convoi était nombreux, ils n’avaient rien de l’art du combat des ennemie habituel des envoleurs. En effet, aucun de la quarantaine de soldat ici présent n’avait une goutte de sans marchombre. Tandis qu’Hans médité sur cette pensée en décapitant un onzième ennemi, à moins que se ne soit un douzième, sont regard fût attirait par une femme monter sur un cheval, elle posséder une magnifique chevelure rousse et combattait avec hargne, un marteau dans chaque mains. Hans sourit, certes l’inconnue se défendait bien et utiliser un art du combat proche de celui des guerrier thüls, mais on voyait tout de suite qu’elle n’était pas une combattant. Elle ne passer pas plus de dix heures par jour à s’entrainer à l’art du combat, comme le faisait Hans. Tandis que se dernier s’approcher de la jeune femme rousse, en tuant tout ennemi qui se mettait en travers de sa route, la jeune femme le remarqua et dans la seconde qui suivi, le combat débuta entre l’inconnu aux deux marteaux, et Hans, lieutenant d’une cohorte d’envoleur.


Tandis que le combat faisait rage à l’arrière et un duel de dessinateur venait de débuter à l’avant. Oril qui était avec ces hommes, à l’entrée des gorges, habiller de la même manière qu’eux et portant le même casque du chaos ordonna à ces hommes d’attendre. Rompus aux ordres, Ces hommes attendaient, toutes armes dehors. En face, certain courait vers eux à pied. Oril reconnus à la manière de courir, une marchombre. Tandis que d’autre leur arriver dessus à cheval. Oril voulant donner assez de rage à ces guerriers poussa un véritable rugissement qui fût repris par le reste de ces hommes, puis il lança la charge. Oril en tête suivi de ces hommes, ils fonçaient littéralement vers les guerriers adverses. Oril foncer vers un cavalier, c’était le premier à avoir osé les charger (je parle de toi Bara là ). Alors que le cavalier et Oril ne se trouver plus qu’à quelques mètres, Oril attendit que sont adversaire amorce un mouvement avec sont sabre. Voyant le positionnement de l’homme et surtout du sabre, Oril comprit que se dernier aller lui asséner un coup dit de « taille ». Oril plongea en rouler boulet vers l’avant, et tout en frôlant le cheval de sont adversaire, il plaça un coup de sabre qui coupa la lanière de la selle du cavalier. Se dernier tomba de selle et se retrouva à terre, face à plusieurs des envoleurs d’Oril qui avait suivis leur commandant.


Oril ne s’arrêta pas là. Il continua sa course vers le chariot, et commença sont œuvre de mort parmi les artisans et commerçants cacher dans les chariots. Tandis qu’il venait de trancher le cou d’une petite fille qui pleurait sur le corps de sa mère qu’Oril venait de tuer, un bruit derrière des caisses l’attira. Il s’approcha, de sa démarche mortellement souple et tira par les cheveux, une jeune femme qui se cacher là. (C’est toi sa Shania^^). Soudain, il vit passer devant lui un étalon noir, sur lequel était monté deux personnes. Oril ne connaissait pas l’homme qui tenait les rennes, par contre il reconnut sans mal la chevelure blanche de sont pire ennemi. Malgré le bruit infernal des combats, Oril réussit à se faire entendre :

- Izeur !!!!

L’interpeller se retourna et lorsqu’elle vit et reconnu Oril, qui venait de retirer sont casque et qui tenait par les cheveux la jeune fille, elle sauta du cheval et se rétablie sur ces jambes, après un acrobatique salto arrière, ces dagues en mains et un rictus de colère déformant sont visage…



*Enfin*, le commandant avait enfin lancé l’assaut à l’avant. Barauss, nouvelle recru d’Oril, n’avait qu’une hâte, celle de montrer à sont commandant, sa véritable valeur. Arriver tout nouvellement dans la cohorte d’Oril, Barauss devait sa place à ces prédisposition pour la « chasse » aux marchombres ; En effet, Barauss les connaissaient bien, pour avoir fait parti des leur quelques années avant d’avoir trouvé là véritable voie, celle du Chaos. Barauss courait vers l’ennemi, ces deux dagues en mains, il cherché des yeux un adversaire à sa mesure. Enfin, il là trouva. Devant lui, une jeune femme se battait, ou plutôt virevoltait. Il n’y avait pas de doute à avoir, elle respirer le marchombre à plein nez. Tandis qu’elle retirait sa lame d’un troisième envoleur qu’elle venait de tuer, Eryndel aperçu dans sont angle mort, une ombre approcher. Elle se décala de quelque centimètres, et échappa donc de peu à un coup de dague magistralement ajusté. Rapide, silencieux et mortel, Eryndel avait l’impression d’avoir enfin trouvé un ennemi à sa hauteur…

Tandis que les combats était enfin engager à l’avant du convoi, Aline, avait réussi à se glisser tout comme sont commandant, en direction des chariots. Aline, envoleuse de haut rang, était aussi belle que redoutable. Tandis qu’elle réfléchissait à la meilleur façon de faire plaisir à sont commandant, des bruits de sabot la ramenèrent à la réalité. Un jeune homme monté sur un magnifique étalon noir (C’est toi sa Vel ) fonçait vers elle, armes au poing. Aline sourit, un sourire doux qui contraster avec le sabre qu’elle tenait en main. Un magnifique combat l’attendait…


[HJ] Voilà, j’espère que je n’ais oublier personnes, et si quelqu’un aimerait que je change quelque chose, ou aimerait me parler d’une idée pour la suite, je suis dispo par mp [HJ]

La bourasque étant constante, il n'avait plus à la recréer à chaque salve. Mais avec le mentaïe comme adversaire, il fallait être prompt à réagir à tout type d'attaque. Ainsi, malgré sa surprise à voir les flèches traverser son mur, il riposta au quart de tour:
Une masse grouillante d'étoile de jet en verre se matérialisa sur le trajet des projectiles mortelles, formant un nuage scintillant dans lequel les flèches s'engouffrèrent. Deux réussirs à s'en sortir indemne, tandis que les autres en ressortaient en charpie.
Aux côtés de Cuian, deux soldats tombèrent l'empennage du projectile depassant de leurs armures...

Ce dessinateur du Chao devait être éliminé rapidement. Et il fallait également régler le compte à ces archers.

Reprenant sa bourrasque encore présente, il la mêla avec les étoiles de jet, et dans une rafale puissante, il fit remonter le coup en direction des mercenaires. Comme il s'y attendait, ceux-ci se mirent à l'abri des projectiles; Cuian dirigea alors son vent vers le mentaïe, et en augmenta radicalement le puissance; le projetant dans les airs. Toujours dans la rafale, il fit chuter son adversaire à grande vitesse, mais celui-ci, en tant que guerrier et dessinateur aguéri, fit apparaitre un énorme tas de matelas qui amortie sa chute à temps, le gardant intact. Il se releva alors, fit disparaitre les matelas, et après un rapide signe de main en direction de ses coéquipiers,... il se baissa rapidement, évitant de justesse la faux de Cuian qui fendit l'air au dessus de lui. Celui-ci avait profité de son attérisage pour se transporter rapidement vers le mercenaire et tenter de le surprendre.
Le mentaï se releva alors, et dégaina sa lame tout en visant le flanc droit de Cuian. Celui-ci du inverser radicalement la direction de sa faux pour dévier la lame de son énemie, transformant le coup qui l'aura transpercé, en une simple estafilade dans son dessus.

Le corps à corps s'engagea...

[Bon, il est une heure du matin, je vais dormir un coup... 2222 messages xD]

[C'est à qui?]

[A qui le veut^^ chacun étant sur son front, tu peux poster maintenant si tu veux]

[O_o Trop fort Bara x) ]

[HJ] Je sens que Bara va être très néfaste pour la santé de mes mercenaires

Au faite, je n'avais pas préciser, mais j'ai essayer de "créer" des mercenaires personnaliser pour chacun de vous (sauf pour Bara, j'avais pas trop d'idée avant^^) Donc s'ils vous plait ne les tuer pas en un post sinon, la bataille risque de tournée cours
Si vous avait envie de le tuer rapidement car vous avez une idée (exemple, aider l'un des autres participant) fait moi le savoir par mp svp [HJ]

Placé malgré elle en troisième ligne de défense, Faigane assista avec stupeur au choc violent provoqué par la rencontre des deux groupes armés. Leurs adversaires n'étaient qu'une dizaine, et pourtant ils éxerçaient une pression énorme sur eux. Sabre au clairs, ils menaient une dance fluides et mortelles, qui fauchait leurs adversaires comme des fêtus de pailles sous la faux du paysans lors des grandes récoltes saisonnières.
Inéluctable, ils avançaient , ne formant qu'une seul ligne dévastatrice que les défenseurs, pourtant bien entrainés, n'arrivaient pas à briser.
Sentant alors son chevale broncher et trembler, elle eu du mal à le convaincre par les mots de se tenir tranquille, car marteaux en mains, elle ne pouvait le mener par la bride.

C'est alors qu'une brèche s'ouvrit devant elle, le cavalier qui défendait plus sa peaux que le convoie venait de tomber le cou transpercé par une lame noire.
La sueur perlant sur son front, et son sourire disparut, Faigane se concentrait, prête à entammé le corps à corps avec le mercenaire.
Elle intima l'ordre à sa monture d'avancer doucement, pour ne pas la déstabiliser. Arrivé au niveau de l'homme au habits sombres comme ses intentions, celui-ci porta un coup transversale, destiné à lui ouvrir la gorge, qu'elle para d'un croisement d'arme.
L'échange débuta...
Tout aussi violent que spectaculaire, elle se sentait presque dominé malgré ses usages d'agilité, de précisions et de vitesse, qui lui était propre. Elle se mettait sur la défensive, tentant de repérer ou créer une brèche pour porter un coup. L'autre semblait être plus à son aise, laissant de temps en temps de longues éstafilades et déchirures sur les vêtements de la rouquine.

Se coulant alors vers la droite, elle para des deux marteaux un coup déstiné à transpercé son côté gauche; repoussant la lame sur le côté, elle fit remonté son arme jusqu'à la poitrine de l'enjoleur, lui défonçant le torax qui se brisa dans une série de craquement. N'en ayant pas finis malgré ce coup fatale, Faigane empoigna un de ses sertisseurs pendu à la ceinture, et en transperça le cou du mercenaire, qui après retirement de la lame, tomba de sa monture.

- Un de moins... pfouu...pfouu...c'é...tait dur, laissant elle échappé entre quelques reprise de souffle.

Mais à peine eu-t'elle le temps de resaisir ses marteaux, qu'elle réussit à parer in-extremis un puissant revers, qui faillit la faire chuter.

* Haaaa non! Encore un autre de suite!*

Mais en plus, à côté d'elle, la boucherie continuait.

[Oubliez vous que je suis un Frontalier? ^^]

[Et eux des enjoleurs ]

[envoleurs Cuian envoleurs xDDD]

[Oril, spécialiste en élimination d'insecte, avec ses enjoleurs élevés avec des produits naturelles xD]

[xDDD bon je repondrait a se rp plus tard. Plus le temps ^^]

[HJ] Je t'en foutrait moi des enjoleur Cuian!!!
Je vais te lacher la cohorte entière aux fesses dans mon prochain rp sa te feras les pieds! :p [HJ]

[C'est à qui de bouter les enjoleurs maintenant? ]

[HJ] Et ben il reste Iris, Vel, Eryndel et Shania Ho grand modérateur :p [HJ]

Iris vit passé un envoleur, celui ci avait réussi a monter sur le chariot.
-VITE APPROCHE TOI DU CHARIOT!
Le marchombre hocha la tête et fit se qu'elle lui demandé.

- Izeur !!!!

Iris se retourna légèrement et le vit... Oril Taurop. Celui si avait retiré son casque et le tenait maintenant a la main et de l'autre avait empoigné les cheveux de la rêveuse de la compagnie d'itinérant.
Un haut le cœur la saisie. Cet être n'était même pas a la hauteur des excréments d'un Ts'lich, il n'était qu'une erreur tombé parmi les hommes.
La marchombre sauta du cheval et se rétablie sur ces jambes, après un acrobatique salto arrière, un rictus de colère déformât ses beau traits.

-Fils de chienne, la facilité a toujours était la plus sur de tes amies. Cette fille n'est même pas armée... mais c'est ta spatialité si je me souviens bien. Lâche la.

L'ordre était sans équivoque. Iris n'allait pas attendre. Elle pivota et lâcha l'un de ses poignards. Celui-ci fusa avec précision et a une vitesse spectaculaire et se planta jusqu'à la garde dans sa cible. Le poignet. Juste entre l'intersection entre le bracelet protégeant l'avant bras du mercenaire et la main plongé dans les cheveux de la malheureuse. Peu de marge mais suffisant.

Oril poussa un cri et desserra sa prise. Iris s'élança tout en priant pour que la jeune femme profite du relâchement pour se dégager. Dans le même mouvement elle dégaina son sabre