La quête de l'assassin (3)

J'étais enfin arrivé. Parcourant le rues pavés, je me mis en quête d'une auberge pour me loger.
Rien ne pressais, je flânais donc parmi les étals de plusieurs marchands. Arrivé a la hauteur d'un marchand de tissus je lui demandais:
_Excusé moi, savez-vous ou je pourrais trouver une auberge qui sert des repas mangeables et des lit sains pour pouvoir passer quelque jour ici?
_Oui, bien sur l'auberge du "siffleur sifflant" est assez réputé.
_Merci, ou est l'établissement?
_Continué dans cette rue-ci, c'est une rue commerçante ou il y a toujours foule. Le seul moment ou elle se fait moins grande c'est vers le soir vers 22 heures.
_Merci beaucoup, tenait, pour service rendue.
_Merci mademoiselle a votre service!
Je me mêlais donc a la foule. J'évitais les coups de coudes, faisais des croches pieds a tout les tires bourses que je rencontrais et aux chevaliers qui jouaient des coudes. Je m'arrêtais saisi par le choc. L'auberge du "Siffleur sifflant" était... disons spéciale. La porte était faite en bois. La porte avait l'aire d'être taillé pour un colosse. En y regardant bien, l'établissement entier était plus grand que la moyenne. Mais ce n'étais pas sa seul particularité. La porte avait était peinte dans un rouge pétant ainsi que les fenêtres et les murs en jaune Canaries. Le gout était assez douteux mais je poussais la porte. Pour me retrouver dans un salle plus que particulière. Des plantes avaient poussées partout. Un espèce de lierre avaient recouvert table et chaises. Une petite cascade coulait de nul part a coté du bars. Un petite rivière faisait le tour de la pièce pour finir dans des tubes de verres. Je n'y connaissais pas grand chose mais c'était claire, il s'agissait d'un dessin! Je me retourné encore vers le ber et je le vis. Je ne compris pas toute suite comment je ne l'avais pas remarqué toute suite. Un colosse, fait de muscle est de tatouage faisait au-fisse de barmaid. Apparemment c'était le patron vue ces vêtement vert tilleul et bleu glacé. Et le dessinateur en question puisque il venait de faire apparaitre un verre pour en remplacer un autre qui venait de tomber. Je m'avançais vers lui remise de ma béatitude.
_Bonjours, ce lieux est spectaculaire!
L'homme faisait bien trois tête de plus que moi alors que j'étais grande.
_A merci, j'en suis assez fière! Il ma fallu plusieurs années avant de la finir. Que puis-je pour vous?
_Une chambre pour une personne et un repas.
_ Je regarde si il men reste.
Il se retourna ouvrit une porte d'une armoire et se saisie d'une claie.
_Voila, c'est la chambre grise argenté.
Il me fit un clin d'œil.
_En harmonie avec vos cheveux.
Je lui souriais.
_Il n'y a pas du numéraux?
_Ho vous la trouverais facilement ne vous en faite pas!
_Merci, je m'installe et je reviens.
_Prenez votre temps et profitais de nos installations que vous ne trouveriez nul part ailleurs.
_Promis a toute a l'heure!
Je montais les escaliers et me retrouvais dans un couloir incroyablement neutre pour cet établissement. Les murs étais en boiseries discrète, des petits globes de lumières bleuté éclairé des portes qui elles n'avaient plus rien de neutre.
Je me mettais en quête d'une porte argenté.
Quand je l'eus trouvée je l'ouvris et examina ma chambre.
Le lit avait une parure blanche et une armature ne métal, une chaise et une table de bois blanc était disposé a coté de la fenêtre, une armoire de métal était disposé a coté du lit, une petite table de chevet faite en bois blanc et en métal soutenait une lampe et d'après la porte que je voyait cette chambre avait une salle d'eau. Cet établissement allait me couter une fortune. Je poussais la porte et me retrouvé avec une cabine. L'un des tuyaux que j'avais aperçue en-bas passé par le sol et se finissait au dessus de la cabine en forme de cône.
*Merveilleux!!*
Je retirais d'un cran une plaque de métal qui bouchais le tuyaux et de l'eau se mit a couler dans la cabine. De l'eau chaude!
*T'en pis pour l'argent, je reste!*
Je descendais en me demandant si les autres personnes étaient arrivées.
Cette auberge était merveilleuse mais je devais commencer a enquêter.

hj: Super auberge complètement farfelue xD! Le numéraux 3 est ouvert! N'oubliais pas, si vous voulez interrogeait le seigneur d'ici, entrez juste dans la pièce. Je jouerais le rôle du seigneur en question ^^.

Un jour. Un jour qu'il était arrivé à Al-Far, et il n'avait toujours pas commencé l'enquête. Cela avait commencé avec son arrivé en ville; il avait du attendre le couvert de la nuit pour pénétrer par la voie des airs dans la ville. Bien sur, si il avait décidé de passer devant les colosses gardant la porte principale, il se serait vite fait interpelé à cause de sa faux trop bien à vue, et trop bien effilée pour être considéré comme un simple outil de paysan. De plus, son accoutrement ainsi que ses manières froide l'aurait vite mis en garde-à-vue pour tenter de savoir qui il était, et il ne donnait pas longtemps avant que l'on découvre qu'il était un Aline immigré clandestin.
Et c'est ainsi que vers les deux heures du matin, Cuian Aiofal, guerrier d'élite Aline, pénètre dans la quatrième ville de l'empire.
Son premier objectif était de trouver une auberge sympathique, servant de la bonne nourriture, dans cette ville où le train de vie majoritaire égalait celui de simple paysan entre la fin de l'hiver et le début du printemps. Comme ce n'était pas sa première visite "touristique", Cuian connaissait bien une petite auberge assez excentrique répondant au nom du "Siffleur sifflant", mais où la chair était bien rôtie, et les jus de fruit coulaient à flot. L'aubergiste, une espèce de géant-nain aux muscles d'acier mais au cœur d'or, l'avait accueillit...à bras ouvert pensait-il, et lui avait donné la clé de sa suite royale; enfin, telle-était le terme utilisé par les quelques badauds qui avait réussi à dévorer avec envie, la vue de quelques parcelles de ces chambres qui leurs semblaient d'un luxe absolue.
Puis, il avait flâné tout le reste de la nuit et de la journée à observer attentivement le quotidien des habitants, ainsi qu'une de ses nouvelles créations, histoire de préparer à l'avance le terrain pour son enquête. Mais honnêtement, il n'en savait pas plus. Et ce fut après cette morne journée d'observation attentive, qu'il rejoignit la foule, pour ensuite retourner à l'auberge, où il avait déjà laissé sa commande pour le soir.

- Bien le bonsoir Cuian, lança le colosse de derrière son comptoir.
- Bonsoir.
- Vous avez passé une bonne journée j'espère, les truands parcours les rues à foison. Et il est souvent dur de les repérés parmi les simples passant.

Ignorant sa dernière remarque, il s'installa à une petite table chevauchant le ruisseau, et se mit à l'ombre que lui offrait le coin de la salle.

*Un nouvel occupant, songea-t'il en remarquant la clef manquante.*

[Hj: bon, on vous attend à l'auberge ^_______^]

Le voyage avait été long et ennuyant... Enfin sauf au moment où elle avait rencontré ce bandit de grand chemin. Croyant avoir à faire à une proie facile, le pauvre s'était retrouvé entre les mains du dernier Nécrark et de voleur il était passé à une simple poupée de chiffon sans vie. La belle Kael au cœur inerte passa devant les gardes de l'entrée non sans un ravissant sourire suivi d'un délicieux clignement des yeux pour ces hommes obligés de passer la journée presque immobiles. Malgré la peau immaculée de l'étrangère, elle passa sans plus de soupçon que cela. Après son passage les deux soldats se regardèrent et d'un simple hochement de la tête, ils s'accordèrent sur le fait qu'elle était bien trop mignonne pour être une redoutable assassine immortelle.

Al-Far était une grande cité, hélas moins agréable qu'Al-Jeit. Kael ne resta pas très longtemps dans les quartiers les plus pauvres de l'entrée de la ville. Bien que les petits actes criminels y étaient plus fréquents et qu'elles auraient pu y assouvir ses pulsions meurtrières en paix, ces endroits manqués terriblement d'esthétisme et de luxe à ses yeux sans pupille. Elle franchit l'unique portail d'un rempart intérieur dont la herse levée laissé libre court au passage des habitants et des commerçants en charrette entre deux secteurs.

Le soleil amorçait sa descente, il allait bientôt laisser place à l'astre lunaire et à la tranquillité qui l'accompagnait d'un soupçon d'inquiétude souvent amplifié par l'imagination des uns et les craintes des autres. Même si répandre la rumeur qu'une silhouette aussi blanche que la mort tuait des innocents la nuit tombée faisait parti de ses petits pêchés mignons, elle songea plus sérieusement à trouver une auberge où passer la nuit. Au cours de ses déambulations crépusculaires, son regard de braise fut attiré par une enseigne aux couleurs vives '' Le Siffleur Sifflant '' y avait été peint.

Si le nom de l'établissement lui paraissait horriblement dénué d'originalité, ce fut la décoration improbable qui excita sa curiosité. Cet assemblage impossible invitait la nature à pénétrer à côté de la clientèle attablée autour d'un plat ou d'un verre avec un goût certains. Kael ne prit pas en compte la rusticité de la bâtisse et parvint également à surmonter son dégoût concernant le tas de muscles penché derrière le bar :

« Bonsoir, dit-elle d'une voix chaude presque chuchotée.
- Bonsoir à vous madame ! Lança-t-il joyeusement à la nouvelle cliente.
- Mademoiselle ! Répondit-elle sèchement, effaçant le sourire benoit de son interlocuteur gêné par cette vive remarque.
- Pardonnez moi mademoiselle... Que puis-je faire pour vous ?
- J'aurai besoin d'une chambre évidemment, le ton sur lequel avait été prononcés les mots accusés l'homme d'avoir posé une question d'une grande stupidité. Que croyez-vous que je viendrai faire ici à une heure pareille ?
- Euh oui, en effet... Excusez moi, je... Enfin l'habitude sans doute. Il était presque comique de voir cette force de la nature plier sous l'autorité inflexible d'une femme à l'allure si frêle. L'aubergiste décrocha une clef et la tendit à Kael qui s'en saisit et tourna immédiatement les talons sans un remerciement.
- Vous ne voulez pas manger ? L'interrompit dans son ascension vers l'étage supérieur.
- Je doute que vous ayez de quoi rassasier ma faim. »

Et elle disparut du champ de vision au grand soulagement du tenancier qui était en train de se dire qu'il ne faisait pas un métier très facile. Finalement Kael n'avait même pas vu que Cuian était présent, assis dans un coin sombre de l'auberge.

[Raaaaaaa, après avoir lu ton poste je me sens vraiment inapte à concourir contre toi pour le concour de nouvel. En faite, c'est juste que je parlais de la clé qu'Iris avait reçu^^, donc il va falloir faire un petit changement^^]

[Voilà qui est fait :-), sinon pour la nouvelle ne t(inquiète pas je ne fais absolument pas ça pour gagner, c'est juste que j'ai une idée et que ce concours est l'occasion d'y participer en mettant à profit cette idée. Puis qui c'est peut-être que mon idée n'est pas si bonne que ça... On ne peut pas gagner à tout les coups ni plaire à tout le monde, alors crois moi je doute fortement que qui que ce soit qui y participe puisse se sentir inférieur à une moyenne totalement fictive et ce serait très stupide d'en établir une d'ailleurs. Et puis méfie toi car maintenant il y a Eryndel et là tu verras qu'elle aussi elle n'en n'est pas à ses premières lignes loin de là. C'est juste qu'elle ne le dit pas mais elle écrit aussi une longue histoire sur un blog et des poèmes qui te ferait baver d'admiration, allez lui demander un peu les liens de ces blogs vous verrez].

hJ:Je l'ai vue ^^. C'est en passant par son blog que je suis tombé sur le tien. (Elle t'avait dans ces amies ^^)

Artémis arriva dans Al-Far alors que le soleil venait de se coucher, et laissait sa place à une lune presque pleine, qui éclairait de sa pâle lueur, les rues et ruelles de la ville. Le jeune homme resortit de l'une de ses poches le parchemin, sur lequel il avait noté le lieu de rendez-vous qui avait été donné : l'auberge du siffleur sifflant... Nom ridicule, soit dit en passant, mais bon, Artémis n'y accorda pas son attention bien longtemps, il avait depuis longtemps laissé tomber l'idée de se moquer pendant des heures du manque d'imagination stupéfiant des hommes. Il ne connaissait pas cette auberge, cependant, et c'est pourquoi il fut obligé de demander son chemin, chose qu'il détestait. Il considérait que cela était une dépendance à quelqu'un, sans qui il serait perdu, et cela, il avait du mal à l'accepter. Il s'y résigna cependant, ne voyant aucun autre moyen, qui soit aussi rapide que celui-là.
Il arrêta donc un des rares passants encore présents dans les rues alors que la nuit était tombée et lui demanda, avec un manque de politesse notable, le chemin qui le mènerait le plus rapidement à l'auberge du siffleur sifflant. Bizarrement, le passant lui répondit avec une impolitesse à la hauteur de celle d'Artémis. Le main d'Artémis tremblait d'excitation à l'idée de s'emparer de son poignard et de trancher la gorge de ce mal-élevé en trop peu de temps pour qu'il s'en rende compte, mais il était pressé et avait envie de dormir...
Il passa donc son chemin et se rendit à l'auberge. Quelle ne fut sa stupéfaction lorsqu'il aperçut l'auberge, qui même à la pâle lumière de la lune, ne pouvait passer inaperçue, de par les couleurs dont elle était peinturlurée...
Artémis se dirigea vers l'auberge, dont il ne pouvait réellement apprécié les couleurs... Il entra cependant dedans, et son étonnement, qui avait commencé à faiblir parce qu'il s'était un peu habitué aux couleurs extérieures, le reprit de plus belle à la vue de la luxuriance de la végétation dans la salle, du petit ruisseau qui coulait au sein même de l'auberge et même de la figure bienveillante de l'aubergiste qui contrastait avec sa musculature impressionnante... Tout dans cette auberge respirait l'originalité, le jamais-vu. Artémis se souvint de sa remarque et son ressenti à la vue et à la lecture du nom de l'auberge... Artémis reprit ses esprits et s'avança vers le tenancier.

- Bonsoir, une chambre s'il vous plaît... Et montez moi un repas dans ma chambre s'il vous plaît, le voyage n'a pas été de tout repos...
- Bonsoir jeune homme. Je vous apporte ça tout de suite. En attendant, je vous invite à prendre connaissance de votre chambre, elle est au premier étage, c'est la chambre bleu ! Très belle chambre, vous y serez bien. J'espère juste que le clapotis de l'eau ne vous dérange pas pour dormir...
- Ca ira... lança Artémis, en se saisissant de la clef.

En se dirigeant vers l'escalier, Artémis aperçut Cuian, dans un coin de la taverne. Parfois, le meilleur moyen de ne pas être vu était de rester dans la lumière. S'assoir dans le seul coin sombre de l'auberge était le meilleur moyen d'attirer l'attention, en tout cas du point de vue d'Artémis, qui avait l'habitude de toujours se méfier des endroits sombres...

*Alors, est-ce que c'est réellement toi l'espion dans notre groupe ? Peu m'importe, je ne compte pas partager la récompense...*

Artémis arriva à sa chambre, et entra. La salle était magnifique, même Artémis devait le reconnaître. Les murs de la chambre étaient colorés en un dégradé de bleus. L'armature du lit lui-même était d'un bleu sombre, le drap, couette et oreillers étaient aussi bleus. La lumière qui éclairait la chambre était légèrement bleutée. Un petit ruisseau coulait en continue dans la pièce, provoquant un petit clapotis... Une fois dans la salle de bain, Artémis put contempler ce qui était probablement la plus belle salle de bain qu'il avait pu voir de sa vie : De couleur bleue elle aussi, elle était au moins aussi grande que la chambre, et ce n'était pas une baignoire qui servait pour se laver, mais une sorte de source chaude, un grand creux entouré de rochers, rempli d'eau chaude naturelle.
Artémis contempla la pièce un instant, puis en sortit lorsque l'on frappa à la porte. Le jeune homme alla ouvrir, et l'aubergiste entra, un plateau dans les mains. Il le posa sur une table, au milieu de la pièce, et demanda :

- La chambre vous conviendra, monsieur ?
- Probablement beaucoup mieux que la chambre jaune, ou orange... Laissez-moi seul s'il vous plaît, j'ai besoin de repos. Merci à vous, et bonsoir.

L'aubergiste quitta la pièce et retourna à ses affaires. Artémis s'assit face au plateau, et fut content de se rendre compte que la nourriture apportée était d'une qualité acceptable. Finalement, cette auberge n'était peut-être pas aussi désagréable que son nom le laissait penser...

[Dommage que tu ne participes pas au concour de nouvelle. Tu aurais pus nous mettre un écrit fort plaisant et intéressant . Mais sinon, c'est à Iris de poster ou je peux? Bon, on se rassemble sinon?]

Poste je suis débordé --" Je dois créer plein de nouveaux sujets.

Malgré l'envie de se faire la malle, qui le rongeait, Cuian était resté bien tranquille, dans son coin d'ombre. Mais recherchait-il vraiment la discrétion dans l'ombre, ou était-ce juste une que ce manque de lumière lui donnait envie de s'y installer? En tout cas, peu importe. Artemis l'avait déjà repéré de toute façon, et il ne voudrait pas à avoir à changer de place. Par contre, il semblerait que l'ombre fut efficace contre Kael. Quelle ironie. Elle ne l'avait pas du tout remarqué, et il aurait pus très bien lui planter quelques flèches dans le dos, avant qu'elle ne se rende compte que la vie s'échappait de son être. Mais bon...il n'était pas là pour sa.
Malgré son envie de continuer l'enquête pour rapidement la boucler, Cuian savait qu'il devait révéler les informations qu'il ne leurs avait pas dévoilé à table. En gros, sans celle-ci, l'enquête n'irait pas bien loin (je me demande comment vous avez fait pour sa...). L'ombre de vêtements en cuir noir qu'il avait entrevue par une fenêtre auparavant, lui fit rappeler qu’Izeur devait sans doute être déjà là. Il était donc temps de réunir le chenil avant d'effectuer la lâché des chiens. Plus vite il en aura finis, plus vite le renard croupira dans la collection de peau de bêtes.

- Monsieur?
- Oui jeune homme, que puis-je pour vous?
- Apportez-moi un jus de fruit de saison avec trois gouttes d'alcool maison s'il vous plait. Et aussi, allez me chercher vos trois derniers logés de la soirée.
- Bien monsieur.

Cuian sortie alors quelque chose de sa poche, et des scintillements apparurent dans la paume de sa main. Il fit alors un mouvement de lancer, et ce fut quelques pièces de monnaie qui sortirent de l'ombre, pour atterrir en douceur sur le comptoir, juste devant le colosse, ébahit. Celui-ci eu alors un sourire, et prenant la boisson que Cuian avait commandé, il se concentra, et ce fut un pont de glace et de cristal qui apparu entre lui et Cuian. Il pose alors le verre dessus, et celui-ci, utilisant la pente, la dévala pour finalement s’arrêter au centre de la table devant son destinataire. Puis le pont s’en fût, dans une légère bruine qui s’envola par la fenêtre ouverte.

La belle Kael avait pris place dans la chambre noire, la pièce lui plaisait beaucoup. Le plafond était d'un noir parfait et absolu, une lampe en forme de croissant de lune diffusait une lumière lunaire, tandis que de petites loupiotes imitaient une constellation d'étoiles. Les murs étaient peints d'un bleu nuit crépusculaire. Tout le pourtour de la pièce était orné de plantes grimpantes et de massifs d'arbustes touffus donnant lieu à une improbable ambiance de forêt endormie. Un petit ruisseau coulait tranquillement à travers la pièce et rythmait ce doux silence par un écoulement monotone propice au repos et à la détente.

Même si Kael préférait la froideur de l'architecture Nécrark elle apprécia l'environnement qui l'entourait, ce qui relevait du véritable exploit. Puis trois coups à la portes vinrent troubler la tranquillité de la pièce. Hors d'elle, elle ouvrit violemment la porte et hurla :

« Quoi encore ?! Proche de l'hystérie, le tenancier de l'auberge sursauta et recula d'un pas.
- P... Pardonnez moi, mais je... Je... Euuh... Enfin il y a un homme qui... Qui veut vous voir, il a une faux et je... Kael lui flanqua la porte au nez. »

Elle prit un vase et l'envoya valser à travers la fenêtre ouverte. L'objet vola et s'écrasa dans la rue, elle prit sa ceinture sur laquelle pendait ses lames serpentines et rouvrit la porte. Elle passa devant le barman collé contre le mur en face de la chambre noire, il n'osa même pas lui dire qu'elle devrait rembourser tant il était tétanisé par le comportement enragé de cette jeune femme à la peau blanche.

L'espionne dévala les marches, repéra presque immédiatement Cuian attablé dans son coin d'ombre. Elle s'avança vers lui, à cet instant le clandestin aline sut qu'il allait passer un sale quart d'heure :

« Quoi ?! Qu'est-ce que tu me veux ? T'as pas vu l'heure espèce de crétin ?! »

Tous les clients cessèrent leurs discussions pour se tourner vers la dispute. Kael les foudroya du regard et ils détournèrent les yeux, mais restèrent néanmoins silencieux.

Iris attachait ses cheveux en une lourde queue de cheval quand on frappa a sa porte.
Elle se leva et ouvrit.
Le Propriétaire, un homme d'une stature impressionnante mais agréable lui faisait face, livide.
- Pa...pardonnez-moi, Je...j...je voulais vous dire qu'un homme avec une faux vou...voulez vous pa...pa...parlez.
L'homme glapit en se protégeant le visage et partit en courant sous le regard étonné de Iris.
Cuian. Elle qui voulait manger seul et dans la paix... Elle poussa un long soupir.
Elle ne serait pas de bonne compagnie se soir, elle qui aurait désiré récupérer de son voyage. Elle attrapa rageusement sa clé et ferma sa porte.
Elle descendit les escaliers et d'un pas énergique et se dirigea vers Aifoal attablé a une table avec Kael. Elle tira une chase et ne bougea plus. Elle resta figer dans une position neutre, bras croisés et visage de marbre.
_ Aifoal, cervelle de piaf, donne moi une bonne raison pour que je reste a cette table. Je suis crevée et je ne supporterais pas longtemps tes discours.

hj : Désolé de pas avoir posté avant, j'étais parti en vacances, sans prendre le temps de prévenir ^^'

Alors que le tavernier allait frapper à la porte de la chambre d'Artémis, ce dernier étant le dernier à ne pas avoir été prévenu de la réunion organisée par ce cher justicier du dimanche, Artémis ouvrit la porte. Il tomba sur le tenancier, son épais bras levé en direction de la porte, l'autre rapproché contre son abdomen, la partie que les gens apeurés avaient tendance à protéger... Artémis leva un sourcil à la vue de l'homme qui le dépassait d'une tête, et demanda :

-Que puis-je pour vous ?
-Euh... Rien du tout ! C'est juste... que.. . on vous attend en bas. Un homme avec...

L'homme finit sa phrase face à une porte fermée. Artémis n'avait pas attendu qu'il finisse pour vérifier la présence de son poignard et de sa dague à ses côtés, et était déjà dans l'escalier. Contrairement aux deux autres qui venaient d'être prévenu, Artémis n'était pas particulièrement en colère de cette réunion improvisée. Tout au plus, ça le gonflais, mais bon, ce serais peut-être une occasion de se débarasser de son cher ami espion paysan...

Il arriva dans la grande salle et vint s'assoir avec les autres, sans un salut... A part pour ce fameux Cuian :

Bonsoir espion, je suppose que c'est toi qui nous as invité à partager une table, afin de mettre les choses au clair ?

- Quoi ?! Qu'est-ce que tu me veux ? T'as pas vu l'heure espèce de crétin ?!

- Aifoal, cervelle de piaf, donne moi une bonne raison pour que je reste à cette table. Je suis crevée et je ne supporterais pas longtemps tes discours.

- Bonsoir espion, je suppose que c'est toi qui nous as invités à partager une table, afin de mettre les choses au clair ?

Les trois réquisitionnés arrivèrent en trombe à la table, dégageant des émanations de colère, sauf pour le dit Artemis dont l'arrivé calme témoignait plus de sa contrariété. Mais la balance penchait majoritairement en faveur de la rage saupoudrée de violence gratuite contenue, qui donna à Cuian l'envie de boire une autre lampée de son breuvage sucré.
A cet instant, alors qu'il se devait de relever la tête pour avaler sa gorgé, il aperçu l'aubergiste, visiblement traumatisé et souffrant, vue l'état de son nez et le fait qu'il se massait le dos.

*Allons bon, sa va être à moi de rembourser; après tout, c'est moi qui lui ai demandé de faire venir les autres.*

Sentant que l'envie d'en découdre augmentait rapidement au sein des deux femmes, Cuian reposa son verre, et décida d'entreprendre la suite:

- Comme vous le savez, nous sommes actuellement sur une enquête importante, à la solde de l'empereur...

Bien sur, son discours s'adressait surtout à Izeur et Artemis, vue que Beleth était à la solde du seigneur ambitieux (et non ambidextre, enfin je ne me suis pas renseigné T_T).

- ... Quand vous êtes arrivé l'avant-veille dans la taverne, vous avez tous répondue Al-Far comme lieu susceptible de receler des indices. Hors cela n'est pas suffisant pour trouver des informations sur notre homme. Et ayant eu vent de départ précipité de l'affaire, cela nous fais des effectifs en moins, ainsi que d'éventuelle information qui s'échappe. Alors je vous pose la question suivante:
Avez-vous la moindre idée sur ce qu'il nous reste à faire ici?

Il leva légèrement la tête en direction des trois visages, attendant une réponse.

- Comme vous le savez, nous sommes actuellement sur une enquête importante, à la solde de l'empereur...Quand vous êtes arrivé l'avant-veille dans la taverne, vous avez tous répondue Al-Far comme lieu susceptible de receler des indices. Hors cela n'est pas suffisant pour trouver des informations sur notre homme. Et ayant eu vent de départ précipité de l'affaire, cela nous fais des effectifs en moins, ainsi que d'éventuelle information qui s'échappe. Alors je vous pose la question suivante:
Avez-vous la moindre idée sur ce qu'il nous reste à faire ici?

La colère de Iris se calma instantanément.

-Aifoal... c'est une blague? Nous sommes effectivement plus que quatre. Le guerrier c'est volatiliser, le maître marchombre et son apprentie son partie, car la situation devenait trop périlleuse. Il a voulue continuer l'entrainement de Nienna.
Ce que nous avons a faire ici? Tu n'as eut être pas songé a interroger le seigneur des lieux? Je vais vous dire... il y a top d'indice qui converge ici. Je n'y crois pas vraiment. Mais il faut au moins interroger le seigneur. Tu négliges beaucoup de chose Aifoal. Il faut aussi interroger la guilde d'on faisait partie notre assassin. Si tu as trop peur de faire ça, laisse donc cette mission a l'un d'entre nous.

Kael, elle, ne s'était pas calmée le moins du monde et profita de la remarque d'Iris pour cracher son venin :

« Oui Aiofal tu ferais mieux de laisser la noblesse aux nobles et de te concentrer sur ces paysans d'assassins ! Tes manières brutales et irréfléchies risqueraient de nous fermer les portes des riches demeures d'Al-Far. Sans parler de ta façon de t'exprimer toujours insinueuse, tu manques d'assurance lorsque tu expires des mots à peine chuchotés. Comment pourrions-nous avoir confiance en une personne qui se terre dans les coins sombres ? Et qui manigance des choses la nuit tombée !

Je propose que nous nous séparions en deux groupes, Cuian et Artémis, vous mènerez votre enquête sur cette mystérieuse guilde d'assassins. Quant à Iris et moi, nous avons déjà de l'expérience concernant la haute société, il est donc plus logique que nous allions rendre une petite visite au seigneur local. »

Cuian reprit une gorgée de sa boisson, tandis que la belle dame blanche se levait de table et se penchait sur Artémis, elle mit ses bras autour de son cou et approcha ses lèvres de son oreille. Le contact était glacial, mais le jeune homme ne frémit pas, conservant une remarquable maîtrise de soi.

« Comme ça tu pourras le surveiller, mon petit chéri... Lui susurra la Nécrark sans que les autres ne puisse comprendre ce qu'elle disait à cause du bruit ambiant. »

Elle attrapa le verre de Cuian alors qu'il levait la main pour en boire une autre gorgée. Kael se redressa, renifla l'étrange mixture et l'a bu d'un trait, évidemment les aliments n'avait plus aucun goût pour son corps mort et ne comblait pas sa faim d'essence vitale :

« Pauvre en goût et horriblement classique. Cela manque cruellement d'originalité, tu te contente de peu mon cher ami. Oh ! A moins que ce ne soit tout ce que te permette ta bourse ! Elle retourna s'asseoir un sourire narquois aux lèvres. »

[Hey mais ce vava 3 D c'est moi xD!!! Avec les cheveux, les yeux et la cape et les poignards de plus ^^. Lol je dois avoir bon gout!]

[Bien vu lol, faut dire physiquement nos persos ont quelques points communs, on peut pas dire qu'ils se ressemblent non plus, mais bon j'ai effectivement repris ton perso et oui tu as bon goût lol.]

[xD Sa ne me dérange pas et effectivement nos perso se ressemblent quand même un peu ^^. Merci .]

[xD: Iris, je te rapelle que je suis le seule qui a un indice pour trouver la guilde de l'assassin, mais chut, tu ne le sais pas ><]

[Heiiiiiiin! Je dois vérifier! x)]

La jeune femme pâle proposa des équipes. Iris et elle d'un côté, pour s'intéresser à la haute société d'Al-Far, et aller chercher des indices là où c'était probablement le plus confortable et le plus luxueux ; d'un autre côté, le paysan et Artémis lui-même, pour s'occuper des bas fonds de la ville, des quartiers sales et pauvres. Cette réunion commençait déjà à fatiguer Artémis, il ne prit donc pas la peine de contredire la proposition de la Nécrak.
Cette dernière vint se coller à lui, caressant de ses lèvres froides la joue du jeune homme. Son contact était des plus étranges. Une intense fraîcheur suivi le baiser qu'elle venait de déposer sur sa joue, mais Artémis parvint, non sans mal, à ne rien laisser paraître. Cette femme n'avait rien de rassurant, voire rien d'humaine, si ce n'est son apparence. Enfin, Artémis était mal placé pour jugé, lui qui ne pouvait pas connaître l'une des plus grandes craintes de la race humaine : vieillir.
Dans tous les cas, la jeune femme pâle comme la lune n'avait pas tord : être en équipe avec Cuian permettrait à Artémis de se forger une idée plus solide sur la nature de l'homme à qui il allait être associé. Etait-il vraiment un espion dans le groupe, s'est-il seulement trouvé au mauvais endroit au mauvais moment... Artémis ne tarderait pas à le savoir.

Ca me va... J'irais avec le paysan espion, pour nous renseigner sur la guilde de l'assassin. Tâcher de ne pas revenir les mains vides, je suis lasser de cette quête et des ses protagonistes...
Si vous le permettais, je vous abandonne. Bonne soirée à vous.

Le jeune homme se leva, considérant que tout avait été dit. Demain commencerait la recherche d'indices, les groupes étaient faits, avec apparemment des objectifs fixés. Qu'ajouter à tout cela, si ce n'est "bonne soirée" ?
Artémis partit non pas en direction de l'escalier menant à sa chambre, mais vers la porte de sortie : il voulait allait faire un tour en ville, reprendre les marques qu'il perdait entre deux passages par Al-Far...

Inhumaine, ou juste que ses gouts étaient trop différents? Cuian ne savait pas trop qu'en déduire; son jus de fruis terminé, il s'était fait apporter une boisson de luxe, résultant de mélange de saveur et d'ârome, au prix exhorbitant correspondant à la moitié d'un bon repas. Et pourtant, Kael resta insensible à une telle boisson de luxe, que seul la bourgeoisie et la noblesse pouvait se permettre à chaque tablée
Alors humaine? ou non....

- Ca me va... J'irais avec le paysan espion, pour nous renseigner sur la guilde de l'assassin. Tâcher de ne pas revenir les mains vides, je suis lasser de cette quête et des ses protagonistes...
Si vous le permettais, je vous abandonne. Bonne soirée à vous.

Le fait de faire équipe avec Artemis le laissait indiférent, bien qu'ils en avaient l'inverse quelques temps auparavant. Mais ce qu'il ne comprennait pas, c'était terme "guilde d'assassin", alors que leurs cible appartenait à une simple bande de voleur comme tant d'autre à Al-Far. Surement parce qu'il ne leur avait toujours pas fait par totalement de ses propres découvertes...
C'est alors que l'aubergiste s'amena, apportant avec lui quatres assiettes bien remplit, d'où un fumet agréable se dégageaient. Apercevant qu'il y'en avait en trop, Cuian lui dit:

- Excusez-nous, mais deux suffiront pour le moment. Ne vous inquiétez pas, je vous payerais les quatres pour la peine.

Dans ce "deux" il n'incluait que lui et Iris. La réaction de Kael pourrait être intéressante.
Troublé par le nombre différend entre les plats et les clients, il s'éxécuta néanmoins, et pencha son énorme ossature pour déposer les deux assiettes devant les concernés.
Voyant qu'il suait à grosse goute, Cuian tourna la tête vers "l'exclue", et vit que ses yeux brillaient d'une lueur sombre et inquiétante, et que son corps semblait être parcouru de spasme.

Cela pourrait être instructif...

Iris fut tiré de ses pensées par l'aubergiste. Un peu avant Artémis s'était retiré pour regagner sa chambre. Le jeux qui se jouait avec finesse autours de cette table la laissée de marbre. Elle n'était pas d'humeur a si mettre elle aussi.

- Excusez-nous, mais deux suffiront pour le moment. Ne vous inquiétez pas, je vous payerais les quatre pour la peine.

Aifoal venait de parler. Faisant plus attention a se que portait le patron des lieux la marchombre se rendit compte qu'effectivement l'homme était bien trop chargé.
Le fixant avec plus d'attention elle remarqua une goute de sueur perlant a son front. Et ses yeux! Ils étaient fiévreux. Pansent que l'aubergiste était un peu malade elle ne se posa pas plus de question.

Fixant son attention sur Kael elle attrapa sa fourchette et picora un bout de viande.

- Nous nous lèverons a l'aube. J'ai entendue dire que le seigneur de cette citée était légèrement paranoïaque et qu'il avait adopté un curieux mode de vie. Les visiteurs ne sont pas autorisé a rentré dans le château sans autorisations, nous devrons donc nous infiltrer dans l'édifice sans attiré l'attention. J'espère que tu sais grimper.

Posant a fourchette sans appétit elle regarda Cuian

- Nous nous retrouverons en milieu d'après midi a cette table.

La jeune marchombre s'étira avec lenteur et se leva. Sans ajouté un mot elle quitta l'auberge. Elle ressentais de nouveau l'envie de prendre l'air. La compagnie de ses personnes ne lui réussissait pas. Iris se sentait plus tendue que jamais. Pressentiment? Simple stresse causait par les personnalités plus qu'originale les une que les autres de ses compagnons? En attendant son malaise persisté mais bien entendue elle n'en montrerais strictement rien. Attiré par une place éclairé la jeune femme s'y rendit. Des marins jouaient au cartes, installaient contre un arbre assis sur des pierres. Décrochant une bourse de sa ceinture le jeune femme se laissa tomber et posa le sac sur la planche qui leur servait de table.

- J'ai besoin de distraction messieurs, je suis bonne joueuse mais intransigeante, n'essayer pas de me voler ni de tricher ni de me proposer un autre divertissement.
Qui distribue?

Les marins la regardèrent puis lorgnèrent sa bourse. L'un de distribua.

Iris n'avait jamais eu besoin de beaucoup d'heures de sommeil, elle serait aussi fraiche le lendemain qui si elle avait dormit dans un lit.


-

Le plat passa sous le nez de la Dame Blanche en dégageant une odeur absolument nauséabonde pour les narines de la Nécrark. Elle grimaça en mettant le revers de sa main devant sa bouche comme pour accentuer encore plus la puanteur de l'assiette. Alors que le patron de l'auberge passait devant elle en transpirant à grosses gouttes, elle éclata de colère. Le pauvre homme crut que son compte était bon cette fois-ci, mais ce n'était pas après lui qu'elle en avait c'était après Cuian :

« Pauvre gamin puéril ! C'est tout ce que tu as trouvé pour m'agacer ? C'est de la manipulation de bas étage espèce de paysan ! Et j'ai horreur qu'on face preuve d'une telle négligence à mon égard ! Si tu voulais m'insulter et bien c'est réussit. Je n'ai pas eu à manger ? Soit ! Toi non plus tu n'auras rien ! »

D'un coup Kael balaya la table, renversant l'assiette de Cuian par terre avant même qu'il n'eut commencer sa première fourchette. La furie se retourna et foudroya du regard le serveur qui se cachait déjà à moitié derrière son bar. S'il n'avait pas compris qu'elle lui interdisait de resservir l'homme à la faux c'est qu'il était plus que suicidaire. Sans patienter davantage elle monta dans sa chambre en pestant de bon cœur au grand étonnement des clients témoins de la dispute.