Nom: Aifoal
Prenom: Cuian
Surnom: On a jamais pus encore lui en trouver un...
Âge: 19 ans
Sexe: Homme
Race: Humain
Guilde ou clan: ancien guerrier Aline à la solde de l'armé Alivarienne, reconvertit en guerrier/dessinateur indépendant
Caractère:
Un calme à toute épreuve, très pensif, mais assez solitaire. Malgré son indifférence pour ce qui l'entoure, il ne peut laisser passer une injustice sans réagir. Par contre il peut-être serviable avec ceux qui restent polis avec lui. Il est bon travailleur pour les petits boulots, mais change tout le temps d'employeur. Rare sont ceux qui l'on garder plus de 1 journée. Il a étudier les techniques de combats de maitres marchombres, mais n'a jamais cherché à entrer dans la guilde à cause de sa façon de pensé
Qualité/Defauts:Pas très sociable, calme, réfléchie, froid.
Goûts:La nature, les nuits à la belle étoile et un bon repas chaud...
DESCRIPTION PHYSIQUE / IMAGE :1m67; assez musclé; cheveux brun finnissant en queue de cheval. Des yeux invisibles caché sous une coiffe rouge
Particularités::
Grande agilité et vétéran de l'escalade.
Objets, armes::
Ensemble de dagues et coutelas, une grande faux, ainsi qu'un arc et un carquois remplie de flèches au pointes aiguisés comme une lame de rasoir, ainsi qu'une toile pliable qu'il utilise comme "voile".
Don scécial:Dessinateur spécialisé dans le vent.
Histoire:J’avais 10 ans ; je vivais avec mon père et ma mère à la campagne dans un petit village, j’aidais mon père dans les champs en semant et en ramassant les épis ; je me souviens encore que je lui demandais souvent de m’apprendre à utiliser la faux qu’il utilisait pour faucher les céréales. Il me répondait toujours que je n’avais pas encore l’âge, et qu’une faux qui était un outil pratique, pouvait se transformer en la pire des armes si elle était mal utilisée. Malgré cela je persistais, croyant être assez responsable pour l’utiliser. Ma mère était une femme douce, calme et attentionnée, qui s’occupait de la maison et de mon éducation ; elle était belle et vraiment gentil avec tout le monde, elle avait le cœur sur la main ; mon père me disait souvent que c’était un ange tombé du ciel porté par le vent jusqu’à lui. A cette époque je savais sourire, je savais rire, je savais être heureux. Mais cela ne dura pas longtemps…
C’était une nuit clair, sans nuage, j’étais monté en secret sur le toit de notre maison pour admiré les astres ; perdu dans mes pensés sur le nombre d’étoile dans le ciel, je ne le vis pas arriver alors qu’il passait sous moi ; je n’entendis ni la porte s’ouvrir, ni la 6eme marche de l’escalier grincer sous ses pas furtifs ; je n’entendis pas l’individu entrer dans la chambre de mes parents ; seul le chant de la lame qui s’abat auquel s’en suivit un silence pesant m’extirpa de ma transe. Pris d’une soudaine peur, je redescendis le plus silencieusement possible autant que ma hâte le permettait. La porte de la chambre de mes parents était ouverte, et aujourd’hui encore, je regrette amèrement d’avoir vue le spectacle qui s’en suivit :
Etendu sur le sol, éventré de toutes parts avec une violence inhumaine, tandis qu’une mare de sang se formait sous ces deux êtres, eux qui furent mon père et ma mère…
Une cascade de cheveux d’or apparut à ma droite, derrière laquelle s’élevait un rire démoniaque, une incarnation humaine de la beauté, dont le visage était souillé par le sang avec laquelle elle s’était abreuvée, et qui coulait encore de ses lèvres.
Le noir se fit autour de la scène, mon cœur faillit cesser de battre, des larmes montèrent de mes yeux ténèbres, et coulèrent tandis que je hurlais de désespoir…
J’ouvrais les yeux sous les rayons de soleil matinaux, j’étais étendue par terre dans leur chambre, leur restes étaient encore là, le sang était devenue noir, « elle » avait disparue, et je me mis à pleurer à chaudes larmes….
Combien de jour ce sont écouler ? Combien de fois la lune à t’elle brillée ?
Je ne savais pas. Tout était devenu gris et froid pour moi ; et je n’aspirais qu’à une chose :
Vengeance.
Malgré mon âge, je savais me débrouiller ; rage au cœur, je pris la faux de mon père, je mis son manteau sur mon dos, quelque provision et de l’argent ; et je partie en quête de cette femme aussi belle que cruelle, avec l’ambition de la faire souffrir avant de lui trancher la tête.
J’avais besoin de devenir fort, et de trouver des informations. Je partis donc vers la capitale, chercher des dessinateurs et guerrier capable de m'aider.
J’avais 10 ans, j’étais seul, faible, ignorant et petit face à ce monde, avec pour seul allié la détermination qui m’empêchait de reculer.
Avez-vous lu les règles? : Bien sur^^
Preuve: Beeeeeen, je ferais pas deux compte.....je pense (que dire...)
Comment avez-vous connu le forum? : Un membre de forum me l'a montré
Idée d'amélioration ? : Ne pas en avoir est déjà un bon départ.
Remarques: Sa va poster sans flooder^^