NOM : Nil’Ayan, du nom de sa mère. Cependant, sa proximité avec l’œil d’Otolep le pousse à aimer se faire appelé Artémis Otolep.
PRÉNOM : Artémis
SURNOM : /
ÂGE : Précisément, il n’en a aucune idée. Il a environ 30 ans, mais un corps de jeune homme de 18 ans.
SEXE : Masculin
RACE : Humain, né d’une mère Alavirienne, et d’un père Krivaïte.
GUILDE OU CLAN : Il n’appartient à aucune guilde, aucun clan. Il en a eu plusieurs fois l’occasion, mais n’a jamais voulu.
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CARACTÈRE : Au départ un enfant sage, serviable, souriant, Artémis changea à la mort de ses parents. En effet, cet évènement marqua beaucoup sa vie. Il développa presque deux personnalités différentes : renfermé, introverti, intéressé que par lui-même lorsqu’il était en présence d’autres gens, et heureux de vivre, joyeux, heureux lorsqu’il battait la campagne, à cheval, son chien/loup courant à côté de lui.
QUALITÉS/DÉFAUTS : Artémis a une très bonne condition physique. Il est d’une rare intelligence, pour sa condition de « paysan », et est très débrouillard. Il se sort de presque toutes les situations sans trop de difficulté, sait se battre, et est capable de survivre dans des conditions que l’on pourrait considérées d’invivables. Vous remarquerez sûrement que toutes ces qualités ne sont pas des qualités très utiles pour se lier d’amitié avec quelqu’un. Et c’est bien là son principal défaut : il ne recherche en aucun cas la compagnie d’autres hommes. Il n’apprécie guère la compagnie humaine, considérant qu’ils ne lui apporteraient rien d’utile. C’est pourquoi, en leur présence, il est lointain, hautain, mauvais, voire violent, voleur. Il prend plaisir à les dépouiller, de leur fierté, leur argent, ou leur vie ! Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne fuit pas les villes, ne les contourne pas, et apprécie même d’y passer des jours et des jours…
GOÛTS : Artémis haït autant la race humaine, les Raïs, les Ts’liches qu’il adore les moments dans la nature, que ce soit une forêt profonde et luxuriante, d’une contrée verdoyante, ou d’une plaine d’herbe rase. Il aime aussi se battre, prouver qu’il est fort, et que personne ne parviendra à le tuer. Et plus encore, il s’aime lui…
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DESCRIPTION PHYSIQUE / IMAGE : Malgré ses 30 ans, Artémis a le physique d’un garçon de 18 ans. Les cheveux couleur ébène, un œil marron, un œil rouge foncé car imbibé de sang depuis la mort de ses parents, il donne l’impression qu’une aura de mystère flotte en permanence autour de lui. Les deux ailes que l’on peut observer sur l’avatar n’appartiennent pas à Artémis, il n’en possède pas (sauf si les administrateurs me l’accordent, peut-être pas tout de suite, mais plus tard, mais ça m’étonnerait ^^), elles représentent seulement les deux facettes de sa personnalité : un côté sombre, autant développé que son bon côté. Voilà pourquoi il ne peut se résoudre à appartenir à une guilde ou un clan.
Artémis mesure environ 1m75, il est mince, élancé, mais quand même musclé. Il est rarement souriant en présence d’autrui, et son visage reste la plupart du temps impassible. Il ne laisse que très rarement ses expressions se voir sur son visage, ou dans son attitude.
PARTICULARITÉS : Physiquement, Artémis ne vieilli pas. Son corps reste toujours semblable, ne fatigue que très peu, même après des heures de combat…
OBJETS, ARMES : Artémis, au cours des années, de ses escapades dans les grandes villes, est parvenu à s’approprier un objet d’une valeur inestimable : un poignard dessiné, dessiné comme l’a un jour fait la plus puissante dessinatrice de Gwendalavir, dessiné pour l’éternité, inaltérable ! Un de ses buts est d’en trouver un second, car il aime se battre avec deux armes, une dans chaque main. Mais à l’heure actuelle, il doit se contenter d’un, et, en plus de ce poignard, il garde une dague, aiguisée et volée. Et pour finir, il a toujours à porter de main un arc, et quelques flèches. N’ayant aucune activité prédéfinie et obligatoire, il a eu tout le temps de s’améliorer avec ces armes. Mais l’arme qu’il manie le mieux, ce sont ses mains : il se bat mieux que quiconque à mains nues.
DON SPÉCIAL : Son seul don, c’est le fait que son corps ne vieilli plus, et qu’il ne fatigue presque jamais. En dehors de ceci, c’est sa détermination de vivre qui peut être comparé à un don…
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HISTOIRE : Artémis est né de l’union de Wendy Nil’Ayan, une jeune femme noble originaire d’Al-Jeit, et d’un habitant de Krivaï, dont le nom s’est perdu dans les méandres du temps, la cité la plus au Nord des mondes de l’Est. C’est certes une union des plus inhabituelles, mais qui pourtant était bâtie d’amour, de bonheur… Mais laissez-moi vous conter leur histoire.
Alors que la guerre battait son plein en Gwendalavir, que le verrou Ts’lich empêchait toute incursion dans l’Imagination, et que les mondes de l’Est étaient encore totalement inconnu, Wendy Nil’Ayan décidait de quitter Al-Jeit, la bourgeoisie, et tout ce qui faisait sa vie, dans l’unique but de voyager. A des milliers de kilomètres de là, un jeune homme, pauvre, mais possédant le don particulier qu’ont les habitants des mondes de l’Est lié à la volonté, décidait de fuir la misère de Krivaï où il vivait depuis sa naissance. Partie avec un vaste convoi protégé, Wendy parvint sans trop de difficulté à atteindre la rive de la Mer des Brumes, où le convoi n’allait, évidemment, pas plus loin. De son côté, ayant quitté Krivaï, traversé la chaîne de la Langue, suivi le fleuve baptisé Lazuli par la seule force de ses jambes, surmontant toutes les difficultés qui se présentaient à lui, persuadé que chaque pas qu’il faisait le rapprochait d’un avenir plus propice au bonheur, il atteint lui aussi les rives de la fameuse mer. Lui et Wendy avançait seuls, chacun d’un côté de la Mer des Brumes. Wendy atteint la rive de cette mer, non loin d’une rive de l’œil d’Otolep, du côté alavirien. Le Krivaïte, après avoir traversé le désert de Gourou, parvint à la mer des Brumes par la rive est. Son voyage aurait tué n’importe quel homme seul, même quelqu’un que l’on qualifierait de puissant. Lui n’était pas puissant, il était beaucoup plus que ça : déterminé ! Il était à bout de force, épuisé, meurtri, blessé, mais ne s’était jamais senti aussi bien que loin de Krivaï. Tout du moins, jusqu’à ce qu’il soit pris par un bateau de Pirates Alines, qui s’était approché des côtes le l’Est. Déjà à l’époque, ces pirates s’intéressaient aux côtes, et se permettaient d’y accoster. Ne voulant se contenter d’un homme à moitié mort, les pirates traversèrent la mer, et accostèrent sur les côtes alaviriennes, non loin de l’endroit où s’était arrêté Wendy. Le hasard fit qu’à son tour, elle fut prise, avec une dizaine de personne du convoi qui l’avait accompagné depuis Al-Jeit, et qui étaient tenté par l’aventure ! Enfermé dans la calle de ce bateau qui les menait peut-être à leur mort, Wendy ne put se résigné à laisser cet homme blessé, à l’agonie, qui apparemment avait du être pris peu de temps avant eux. Laissant de côté sa timidité et sa peur, la jeune femme avait réussi à soigner du mieux possible cet homme qui avait quitté Krivaï des mois plus tôt ! Cela avait rapproché les deux personnes, évidemment. Et l’occasion pour l’homme de remercier la jeune femme lui fut offerte 9 jours après leur arrivée sur le bateau. En effet, les troupes de l’empire de Gwendalavir pris d’assaut le bateau, essayant de le faire couler par tout les moyens. Lorsque la porte de la calle s’ouvrit, découvrant un pirate de grande taille, musclé, une épée à la main, qui avait dans l’espoir de se servir de leurs prisonniers comme d’otages, il fut cueilli sous le menton par le poing du Krivaïte. Ce dernier parvint à faire quitter le navire à 7 des 12 personnes qui avaient été faites prisonnières, les autres tombant sous la lame des pirates. De cette expérience horriblement marquante naquit un lien très puissant entre les deux jeunes personnes.
Six ans plus tard, installé sur les rives de l’œil d’Otolep, le couple connu un des plus grands bonheurs du monde : la naissance d’un enfant. Mais cette naissance ne fut pas des plus simples : sorti en barque à une petite centaine de mètre de la rive, le couple n’eut d’autre solution que de faire l’accouchement sur cette barque, sur les eaux de l’œil d’Otolep. Il se fit sans problème, et l’enfant, qui fut baptisé Artémis, fut lavé avec l’eau de ce lac puissamment magique. C’est sûrement à ce moment là que commença l’étrange phénomène qui allait rythmer la vie d’Artémis. En effet, ce jeune garçon allait connaître une évolution particulière : arrivé à l’âge de 18 ans, son corps n’allait plus vieillir. En effet, la naissance du jeune homme sur le lac magique, son passage dans ses eaux quelques minutes après sa naissance, et les nombreux bains qu’il y fit étaient sûrement à l’origine de ce vieillissement stoppé prématurément. Notons que sa capacité à entrer dans les eaux du lac n’avait jamais choqué ni Wendy, ni le Krivaïte, qui n’avaient jamais entendu parler de ce lac auparavant.
La vie du jeune homme se passa comme celle de n’importe quel enfant paysan : il vivait avec ses parents, qui l’éduquaient, lui enseignaient de nombreuses valeurs, des connaissances qu’ils avaient sur le monde dont ils venaient chacun. Ces trois personnes étaient, à l’époque, peut-être les seules à connaître l’existence de ces deux mondes ! Puis vint un jour où les Raïs, ces guerriers cochons stupides, mais nombreux, firent une attaque dans les environs de la petite maison où vivaient la petite famille. Ce fut le jour le plus horrible, monstrueux même, pour le jeune Artémis : il vit sa mère décapitée par un coup d’épée, son père se défendre comme il pouvait, tuant le plus de Raïs, à la fois par son don pour le dessin des mondes de l’Est, et par sa volonté de venger sa femme, un couteau à la main, une faux dans l’autre. Mais il finit par tomber, sous les assauts répétés des guerriers cochons. Artémis ne dut sa survie que grâce à sa capacité à entrer dans les eaux de l’ Œil d’Otolep, endroit où les Raïs ne pouvaient même pas s’approcher. Mais si ce n’étaient les Raïs ce serait la faim, la solitude, la soif, ou le froid qui tuerait le garçon. Il avait 12 ans lorsqu’il quitta les rives de l’Œil d’Otolep, quelques mois après avoir enterré les corps de ses parents, et brulé ceux des Raïs. Il n’éprouvait pas de haine pour ces guerriers, ou peut-être en éprouvait-il trop pour s’en rendre compte. Il partit, se laissant guider par ses intuitions, ses envies, le hasard… Il parcourut des milliers de kilomètres, ne pouvant pas se nourrir tous les jours. Mais il grandit, se muscla, appris à se battre à mains nues, à chasser, à se débrouiller seul, à voler, à obtenir ce qu’il voulait en poussant les gens à les lui offrir, à mentir, à tuer… Mais dans les environs de 25 ans, il se rendit compte de quelque chose : son corps ne vieillissait pas. A l’époque, la vie était dure, au point que n’importe quel homme ou femme, à 30 ans, commençait déjà à avoir des rides, les trait tiré par la fatigue, voire quelques cheveux blancs. Lui non, il avait le corps d’un jeune homme de 18 ans, en pleine forme. 5 ans plus tard, c’était toujours la même chose. Son esprit se développait, apprenait la vie, connaissait de plus en plus de chose, et son corps restait toujours aussi jeune, pour son plus grand plaisir, il devait le reconnaître. Il commença d’ailleurs à ne plus compter les années qui passaient, ça ne lui importait plus. Il vivait, c’est tout ce qui l’intéressait ! C’était ce qui lui importait : sa propre vie. Jusqu’alors, il ne s’était jamais lié vraiment avec un humain. Ses seuls compagnons étaient un cheval de qualité, plein d’énergie, mais volé, et un chien/loup, qu’il avait rencontré au cours de ses années d’errance. Cette solitude, et cette perte horrible de ses parents forgea le caractère d’Artémis. Et ce caractère était assez spécial, très centré sur lui-même, introverti, mais l’avenir vous permettra peut-être de le connaître un peu plus…
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AVEZ-VOUS LU LES RÈGLES ? : Evidemment
PREUVE : « 07, ou Juillet, si vous préférez :p »
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? J’avais envie de faire partie d’un forum à propos d’Ewilan, celui-ci m’a plu.
IDÉE D'AMÉLIORATIONS ? : Actuellement, non ^^’
REMARQUES : Si jamais je reste sur ce forum quelques temps (ce que j’espère, ça voudra dire que je m’y plaît), je préfère le dire tout de suite : je ne pourrais pas forcément répondre toujours très vite, vu que je suis en terminale S et que j’ai pas mal de travail, et le bac en fin d’année.
Dim 3 Mai - 1:02
( Nous finissons toute nos posts et on débarque ^^.)
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, et finalement, Eh bien.. j'aime ta présentation tout simplement... et pour la longueur, tu réduis les notres à l'état de fourmis! 
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